Simultanément - hélas -, je vois cette dernière se dissoudre dans le brouillard de réalisme magique qu'enveloppe toute chose fixée sur une pellicule que l'on peut visionner que mille fois. C'est-à-dire qu'au moment même où j'entre vraiment en contact avec mes personnages, ceux-ci s'évaporent dans la fiction. Dommage, j'aurais bien aimé pouvoir leur serrer la main.