On passe notre vie à fuir l'ennui. Alors on travaille, on s'invente des passions, des occupations. Tout ça n'est qu'un leurre qui dissimule notre vacuité.
C'est parfois si brutal... un mot.
"_Moi j'aime m'ennuyer, j'ai l'impression que ça rallonge le temps qu'il me reste.
_Au fond, on passe notre vie à fuir l'ennui. Alors on travaille, on s'invente des passions, des occupations. Tout ça n'est qu'un leurre qui dissimule notre vacuité."
"_Comment s'est-elle suicidée ? Personne n'a voulu me le dire.
_Défenestration.
_C'est parfois si brutal...un mot."
Une nudité qui ne se dérobe pas au regard ne peut être salie. Mais le voyeur ressent-il le même plaisir ?
(page 155)
- Je l'ai vu deux fois, pépé. Il y a très longtemps. Il était gentil avec moi.
- Ça ne veut rien dire, Laura. Les gens te montrent ce qu'ils veulent que tu voies.
- Pierre, comment as-tu compris que tu étais différent ?
- "Différent" ? Ne prenez pas de détour avec moi, Anna. Quel concept se cache derrière ce mot ?
- La naissance des pulsions macabres.
On passe notre vie à fuir l'ennui. Alors on travaille, on s'invente des passions, des occupations. Tout ça n'est qu'un leurre qui dissimule notre vacuité.On passe notre vie à fuir l'ennui. Alors on travaille, on s'invente des passions, des occupations. Tout ça n'est qu'un leurre qui dissimule notre vacuité.
Prenez garde à la colère d'un homme patient.
C'est parfois si brutal... un mot.