- Tu sais, parfois, c'est difficile de tourner la page quand le chapitre d'avant était joli et qu'on trouve injuste de devoir en lire un nouveau.
- Mais dans les nouveaux chapitres, il y a plein de choses intéressantes aussi.
- Oui, mais tant qu'on ne sait pas, on s'attarde sur ce qu'on a déjà lu et qu'on connaît.
- Je pourrais faire quoi pour lui donner envie de lire le prochain chapitre ?
Et j'ai pensé à toi. Et puis à Geneviève, qui m'aime depuis quinze ans, sans condition, et sans faillir. Qui m'aime avec trente kilos en plus ou cinquante en moins. Qui m'aime avec ou sans barbe, qui m'aime aussi quand je reviens d'avoir bricolé l'après-midi entière et que je sens la terre, la sciure et le bouc. Qui m'aime quand je suis malade ou fatigué, irritable ou excédé. Parce qu'elle aime ce que je suis en acceptant mes faiblesses et pas ce que je voudrais être, c'est-à-dire parfait.
Gustave leur apprendra l’enfance du matin pour leur laisser une chance de ne pas s’endormir trop vieux le soir.
Laissez s’installer un peu d’amour au fond de vous’ et tout pétilla à nouveau.
Tirez trop fort les vers du nez d’un homme, et ses secrets s’envolent comme un papillon craintif. Il faut les approcher doucement, attendre qu’ils viennent se poser délicatement sur le bord de votre ouïe.
Le soleil des uns éclaire le crépuscule des autres quand ils sont liés d'amitié.
Un papillon ne se déplace jamais en ligne droite. Probablement parce qu'il ne cherche pas à aller précisément quelque part.
Voilà peut-être la réponse.
« Quand on aime trop vite, trop haut, on a plus d’élan pour sauter dans le vide et s’écraser plus fort en bas. »
Tu sais, parfois, c’est difficile de tourner la page quand le chapitre d’avant était joli et qu’on trouve injuste de devoir en lire un nouveau.
- Mais dans les nouveaux chapitres, il y a plein de choses intéressantes aussi.
- Oui, mais tant qu’on ne sait pas, on s’attarde sur ce qu’on a déjà lu et qu’on connaît.
- Je pourrais faire quoi pour lui donner envie de lire le prochain chapitre?
Et j’ai pensé à toi. Et puis à Geneviève, qui m’aime depuis quinze ans, sans condition, et sans faillir. Qui m’aime avec trente kilos en plus ou cinquante en moins. Qui m’aime avec ou sans barbe, qui m’aime aussi quand je reviens d’avoir bricolé l’après-midi entière et que je sens la terre, la sciure et le bouc. Qui m’aime quand je suis malade ou fatigué, irritable ou excédé. Parce qu’elle aime ce que je suis en acceptant mes faiblesses et pas ce que je voudrais être, c’est-à-dire parfait.