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Citations sur Sept jours pour une éternité... (169)

La création humaine est peut-être imparfaite, mais rien n'est plus parfait dans l'univers que deux êtres qui s'aiment.
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.. Il parait que de temps en temps les histoires d’amour finissent bien !
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Il est déjà dans tes veines, il ira jusqu'à ton cœur. Il y récoltera les émotions que tu y as cultivées avec tant de précautions. Puis il te pourrira d'espoirs. La conquête amoureuse est la plus égoïste des croisades.
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Une amie, Ca sait entendre ce que l’autre ne dit pas .
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Zofia,
Je te regarde dormir et Dieu que tu es belle. Tu te retournes dans cette dernière nuit ou tu frissonnes , je te sere contre moi, je pose mon manteau sur toi , j'aurais voulu pouvoir en mettre un sur tous tes hivers. Tes trais sont tranquilles , je caresse ta joue, et, pour la première fois de mon existence je suis triste et heureux à la fois.
C'est la fin de notre moment, le début d'un souvenir qui durera pour moi l'éternité. Il y avait en chacun de nous tant d'accomplie , tant d'inachevé quand nous étions réunis.
Je partirai au lever du jour, je m'éloignerai pas à pas, pour profiter encore de chaque seconde de toi, jusqu'à l'ultime instant. Je disparaitrai derrière cet arbre pour me rendre à la raison du pire. En les laissant m'abattre, nous sonnerons la victoire des tiens et ils te pardonneront, quelles que soient les offenses. Rentre mon amour, retourne dans cette maison qui est la tienne et qui te va si bien. J'aurai voulu toucher les murs de ta demeure à l'odeur de sel, voir de tes fenêtres les matins qui se lèvent sur des horizons que je ne connais pas, mais dont je sais qu'ils sont les tiens. Tu as réussi l'impossible, tu as changé une part de moi. Je voudrais désormais que ton corps me recouvre et ne plus jamais voire la lumière du monde autrement que par le prisme de tes yeux.
Là ou tu n'existes pas, je n'existe plus. Nos mains ensemble en inventaient une à dix doigts ; la tienne en se posant sur la moi devenait mienne, si justement, que lorsque tes yeux se fermaient, je m'endormais.
Ne sois pas triste personne ne pourra voler nos souvenirs. Il me suffit désormais de fermer mes yeux pour te voir, cesser de respirer pour sentir ton odeur, me mettre face au vent pour deviner ton souffle. Alors écoute : ou que je sois, je devinerai tes éclats de rire, je verrai les sourires dans tes yeux, j'entendrai les eclats de ta voix. Savoir simplement que tu es là quelque part sur cette terre sera, dans mon enfer, un petit coin de paradis.
Tu es mon Bachert.
Je t'aime
Lucas.
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Laisse-moi t'emmener dans mon monde, j'y guiderai chacun de tes pas, j'apprendrai tes réveils, j'inventerai tes nuits, je resterai près de toi. J'effacerai tous les destins tracés, recoudrai toutes les blessures. Tes jours de colère, je lierai tes mains dans ton dos pour que tu ne te fasses pas mal, je collerai ma bouche à la tienne pour étouffer tes cris et rien ne sera plus jamais pareil, et si tu es seul nous serons seuls à deux.
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"Là où tu n'existes pas, je n'existe plus."
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« Vous avez peur ! dit-il. C'est ça, vous être pétrifiée de trouille. Contre vos ordres établis, c'est vous qui refusez de voir, vous qui parliez d'aveuglement et de sincérité. Vous prêchez la bonne parole à longueur de journée, mais dénués d'acte les serments ne sont rien. Ne me jugez pas, c'est vrai, je suis votre opposé, votre contraire, votre dissemblance, mais je suis aussi votre ressemblance, votre autre moitié. Je ne saurais pas vous décrire ce que je ressens parce que je ne connais pas les mots pour qualifier ce qui me hante depuis deux jours, au point de me laisser croire que tout pourrait changer, mom monde, comme vous disiez, le vôtre, le leur. Je me fous des combats que j'ai menés, je me moque de mes nuits noires et de mes dimanches, je suis un immortel qui pour la première fois a envie de vivre. Nous pourrions nous apprendre l'un l'autre, nous découvrir et finir par nous ressembler... avec le temps. »
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Ce n'est pas l'homme qui est unique en soi; c'est lorsqu'il commence à aimer qu'il le devient.
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Il a le charme du diable .. Elle a la force des anges ..
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