Peter Pan, tome 6 : Destins

- Regarde-le, il s’accroche à ce petit chapeau comme si quelque chose en lui ne voulait pas oublier.
– Oublier… il n’a pas notre chance, n’est-ce pas, Pholus ?
– Hm… Est-ce une chance ?… Je n’en suis pas certain… Si, nous, nous oublions nos bons comme nos mauvais souvenirs, Picou, lui, n’oubliera jamais…

- Mais pour son frère... vous savez... le petit Picou depuis cette triste histoire... il est là, prostré, à se balancer d'avant en arrière... on ne sait plus quoi en faire.
- Eh bien, tuez-le.

Ben oui, pas'que des mamans, j'en ai déjà deux !
Une qui habite dans le ciel, et puis une autre vraie pour de faux qui s'appelle Rose.

Regarde ma Clochette, que ce soit le bien ou le mal, tout finit par disparaitre...seuls les rêves perdurent.

Que ta folie soit pleine de douceurs...oublie tout ça pour être vivant...

Pour une fois, je reconnais que l'idée n'est pas mauvaise, même si elle n'est pas de moi.

Pour certains, la vie est comme l'étincelle...elle ne brille qu'un court instant.

...Et rappelle moi, pour voir...les cheveux de ce petit salopard...Peter...de quelle couleur étaient-ils ?
- ...Peter ?! Aaahh...facile ! Roux, capitaine. Couleur vieille carotte malade. Roux, sans intérêt !

- Bah! pour certains, la vie est comme l'étincelle... Elle ne brille qu'un court instant.