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3,17

sur 39 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un méticuleux tueur en série, surnommé Automnal.
Un brillant commissaire : Corso Bramard.
Deux victimes qui lui sont très chères.
Sa vie qui bascule...
Turin, la montagne, les longues nuits sans sommeil, l'alcool, les envies suicidaires...
20 ans qui passent. Une reconversion professionnelle, mais toujours cette haine qui le ronge, l'obsède. A jamais.
Des courriers de l'assassin, pour remuer le couteau dans la plaie.
Jusqu'à l'erreur.
La traque peut recommencer.
Comme une dernière chance de retrouver enfin la paix.
Avec toute la force du désespoir.
C'est L'affaire Bramard.
La promesse d'une histoire palpitante, d'une tension à son comble, d'une atmosphère oppressante, d'émotions fortes, d'un rythme soutenu.
Mais malheureusement, Davide Longo n'a pas réussi à me captiver... à m'emporter.
J'ai mis beaucoup de temps à rentrer dans l'histoire. A y comprendre quelque chose, surtout.
Faisant des retours en arrière pour m'assurer que je n'avais rien loupé.
J'ai décroché à de nombreuses reprises.
Avec ce sentiment de ne pas avoir tous les éléments nécessaires pour suivre convenablement.
J'en suis venue à mettre en cause, peut-être, la traduction de l'italien (?!). Je ne sais pas.
Sans empathie, ni attachement ou sentiments quelconques, je reconnais que l'intrigue n'était pas inintéressante, que les personnages avaient du potentiel, mais ça n'a pas été suffisant pour moi. Pas assez abouti.
L'enquête a cruellement manqué de densité, de rythme et ne m'a pas captivée, comme j'aurais pu l'espérer.

Je remercie Babelio et les éditions le masque de leur confiance.
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Un ancien commissaire de police reconnu comme un des meilleurs limiers d'Italie s'est reconverti en professeur après avoir «dévissé » ; une enquête compliquée se retourne contre lui, son épouse et sa fille en sont les victimes. Il ne peut oublier d'autant que le présumé coupable lui envoie des lettres énigmatiques ; La dernière reçue relance Bramard, il est accompagné pour ce faire d'une jeune fille pâle copie de « Lisbeth Salander » .
Si l'écriture est simple, j'ai trouvé ce texte confus comme si l'auteur avait bien son histoire dans la tête, mais avait oublié que derrière lui il y avait des lecteurs… Faire des efforts pour trouver un coupable, normal, mais dans un dialogue, peiner pour comprendre qui parle, c'est déplaisant.Bref, un polar qui passe vite.
Merci aux Edts du Masque et à Babelio pour cet envoi.
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C'est un polar à ranger dans la catégorie « enquêteur dont la vie a été détruite par le criminel qu'il cherchait à attraper ». C'est le genre d'histoire qui peut rapidement tomber dans les clichés. Et c'est d'ailleurs le cas ici. Corsi est jeune et prometteur. Un tueur en série s'en prend à sa femme et à sa fille. Il part en vrille, quitte la police, tente de survivre à tout ça, mais reste poursuivit toute sa vie par ce tueur qu'il n'a jamais réussi à arrêter. Il est poursuivit au sens propre comme au figuré, puisqu'il reçoit plusieurs lettres pendant les décennies qui suivent le drame.
Comme vous pouvez le constater, ce polar ne révolutionne pas le genre. Ce n'est pas forcément quelque chose qui me dérange. Une lecture agréable n'est pas toujours originale. Et j'aime bien les personnages écorchés vifs, ça donne souvent des histoires tragiques qui génèrent des rebondissements intéressants.
Donc, sur ce polar, je valide l'histoire.
Mais le style m'a posé un peu plus de problèmes. J'ai eu beaucoup de mal à accrocher. J'ai trouvé l'organisation de l'ensemble un peu brouillonne, avec des enchaînements parfois flous. Et quand l'accroche n'est pas là, l'esprit s'envole ailleurs et on loupe des bouts d'histoire. Et ça m'agace de devoir revenir en arrière pour relire des passages, juste parce que le style n'a pas fait le job. C'est dommage, parce que les personnages et l'histoire méritaient mieux que ça.
Ça reste néanmoins une bonne lecture dans l'ensemble, même malgré ses défauts. Mais elle ne va pas être inoubliable.
Je remercie tout même Les éditions du Masque et la masse critique Babelio pour ce moment de lecture.
Lien : https://www.facebook.com/Les..
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Le personnage de Corso est un assez joli personnage mais un peu trop retranché du monde des mortels pour attirer une sympathie immense. Les personnages autour sont plus crédibles que ce soit sont ancien chef ou son ami restaurateur, son "adjointe" est assez réussie, dommage que l'auteur se soit senti obligé d'en faire une lesbienne rebelle même si je sais que c'est tendance dans les polars ces temps ci ...

Le personnage du tueur en série est finalement assez peu décrit et sa "démarche" reste confuse. C'est d'ailleurs l'une des difficultés de ce roman, beaucoup de points restent dans l'ombre, dans les non-dits , à peine évoqués, suggérés et le lecteur doit beaucoup construire sa lecture. Ce n'est pas forcément désagréable bien qu'on soit à la limite du manque d'informations .

En conclusion je dirais que c'est un roman policier étrange, déroutant pas inintéressant mais qu'il lui manque un petit quelque chose, un brin d'humanité pour y adhérer complètement .

Merci à Babelio et aux Editions du Masque pour l'envoi de ce roman.
Lien : http://theetlivres.eklablog...
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Le résumé de ce roman, allié au premier chapitre très percutant, laissait présager une suite haletante. Pourtant, je n'ai pas été tant emportée par cette lecture...
L'affaire Bramard fait référence à Corso Bramard, ancien commissaire de police italien, qui a quitté ses fonctions après que sa traque d'un tueur en série se soit retournée contre lui, l'assassin lui prenant sa femme et sa fille. Devenu professeur, il reste tourmenté par cette affaire, les souvenirs restant d'autant plus vivaces malgré les presque 20 ans écoulés qu'il reçoit régulièrement des lettres du tueur. Mais la dernière est différente et cette fois, Corso veut y croire.
L'intrigue possède un réel potentiel, mais je n'ai malheureusement pas vraiment adhéré à la plume de l'auteur, ni à sa façon de mener ce roman. J'ai en effet trouvé l'ensemble assez confus et surtout, j'ai eu souvent cette impression qu'il me manquait des éléments pour avoir une bonne compréhension de l'ensemble, comme si des événements s'étaient produits dans des tomes précédents, ce qui ne semble pourtant pas être le cas car il me semble que c'est justement ce roman qui ouvre la série des enquêtes de Corso Bramard.
Davide Longo apporte aussi une grande dimension psychologique à ses personnages, ce que j'apprécie toujours dans les romans, mais une fois encore cela est souvent confus, d'autant que les liens entre certains personnages sont parfois presque à deviner.
Une lecture en demi-teinte donc. le personnage de Corso m'a pourtant plu, mais cette lecture n'est probablement pas faite pour moi. Je remercie Babelio et les éditions le Masque pour son envoi dans le cadre d'une opération masse critique et espère qu'il plaira à d'autres lecteurs.
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J'ai eu beaucoup du mal avec le début (les 100 premières pages) ils ne se passent pas grand-chose, très peu de dialogue, je me suis dit, si tous le livre est comme ça, ça ne va pas être facile.

Mais pour un cheveu retrouver dans une envelope, il va recommencer a enquêter, et la le rythme est là, et l'action est présente, et la lecture devenait plus plaisante.

C'est vraiment l'histoire d'une obsession d'un homme qui as vécu un drame 20 ans plus tôt, j'ai bien aimée le zeste historique qui l'as incorporée a son récit.

Par contre la fin est étrange, je préfére une conclusion claire et conscive, mais aprés cela reste juste mes préférences.
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Je remercie BABELIO et les Editions DU MASQUE pour l'envoi de ce polar.

Le premier personnage se nomme Corso Bramard, il est solitaire et introverti, aux tendances presque suicidaires lorsqu'il s'aventure sur les pics montagneux.
Il y a 20 ans, il a été le plus jeune commisssaire d'Italie et s'est distingué par ses intuitions proches de la voyance.

L'enlèvement et le meurtre de sa femme Michelle et de sa petite fille Martina par le tueur en série qu'il traquait, on fait basculer son existence.

Retiré dans une vieille maison délabrée dans les collines et une reconversion pour être prof dans un lycée rural, il ne fait pas d'efforts pour retrouver le goût de vivre.

Le nouveau message inspiré d'une chanson de Léonard Cohen que lui envoie le meurtrier lui fait l'effet d'un électrochoc. Voici Corso qui redevient un flic qui est à nouveau en chasse il est secondé par une jeune flic, Isa, aussi rebelle que perspicace. Une alliance improbable se noue entre ces deux personnalités dissemblables.

"L'affaire Bramard" est un polar qui aurait pu être un très bon polar mais le style m'est apparu compliqué, je n'ai pas accroché à la plume de l'auteur, de plus j'ai eu beaucoup de difficultés de suivre les enchaînements et je ne me suis pas attachée aux personnages.

Mon esprit s'est détaché de nombreuses fois de ma lecture. C'est dommage. Je crains que ce polar sorte très vite de ma mémoire.

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Beaucoup de choses enthousiasmantes dans ce roman policier mais au final une réelle impression de gâchis.
Je l'ai aimé instantanément ce flic taiseux, solitaire, retranché dans les montagnes avec son lourd passé. Je l'ai donc suivi jusqu'au bout malgré le fait d'avoir rapidement senti un hic dans la narration. On tombe dans l'histoire comme si il manquait les 50 premières pages. Si j'aime les non-dits, les trous à reconstituer, j'ai parfois eu l'impression que j'allais devoir inventer toute seule le passé de Corso.
Et puis l'intrigue est incroyablement confuse. Je ne suis même pas sure d'avoir compris le dénouement.
Au final, on se retrouve avec un truc bancal. Et c'est vraiment dommage parce qu'il y a une jolie plume, parce qu'il y a une ambiance singulière.
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Très mitigée...

J'ai passé toute ma lecture a le dire qu'il devait y avoir eu des tomes avant, dont je n'avais pas connaissance, ce qui expliquait pourquoi par moment j'étais larguée. Mais non après vérification ce tome est le premier d'une série de quatre.

Cela démontre le plus gros problème de cette lecture. L'auteur passe d'une idée a l'autre sans poser les jalons de son histoire. Les personnages nous sont jetés a la figure, comme si nous devrions les connaîtres et cela rends la lecture pénible.

D'autant plus que l'auteur se focalise sur des détails, tandis qu'il passe sous silence des chapitres qui rendraient le récit plus complet.

Pourtant il y a une vraie idée de base, des personnages à fort potentiels et une idée de souffrance éternelle absolument démoniaque. Donc oui les idées, bonne qui plus est, ne manque pas. Mais l'exécution laisse à désirer.

En bref, une lecture très mitigé.

Belles lectures à tous.
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La rencontre ne s'est pas faite avec ce roman, hélas.
Je n'ai pas réussi à accrocher à ce personnage un peu lunaire de Corso, sans doute parce que le texte est trop souvent confus et embrouillé pour moi. Trop de digressions, de personnages qui apparaissent sans rien apporter à l'histoire.
À de nombreuses reprises, j'ai eu le sentiment que les situations et les faits n'étaient que des prétextes pour caser une jolie phrase ou une réflexion sur la vie.
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