Un méticuleux tueur en série, surnommé Automnal.
Un brillant commissaire : Corso Bramard.
Deux victimes qui lui sont très chères.
Sa vie qui bascule...
Turin, la montagne, les longues nuits sans sommeil, l'alcool, les envies suicidaires...
20 ans qui passent. Une reconversion professionnelle, mais toujours cette haine qui le ronge, l'obsède. A jamais.
Des courriers de l'assassin, pour remuer le couteau dans la plaie.
Jusqu'à l'erreur.
La traque peut recommencer.
Comme une dernière chance de retrouver enfin la paix.
Avec toute la force du désespoir.
C'est
L'affaire Bramard.
La promesse d'une histoire palpitante, d'une tension à son comble, d'une atmosphère oppressante, d'émotions fortes, d'un rythme soutenu.
Mais malheureusement,
Davide Longo n'a pas réussi à me captiver... à m'emporter.
J'ai mis beaucoup de temps à rentrer dans l'histoire. A y comprendre quelque chose, surtout.
Faisant des retours en arrière pour m'assurer que je n'avais rien loupé.
J'ai décroché à de nombreuses reprises.
Avec ce sentiment de ne pas avoir tous les éléments nécessaires pour suivre convenablement.
J'en suis venue à mettre en cause, peut-être, la traduction de l'italien (?!). Je ne sais pas.
Sans empathie, ni attachement ou sentiments quelconques, je reconnais que l'intrigue n'était pas inintéressante, que les personnages avaient du potentiel, mais ça n'a pas été suffisant pour moi. Pas assez abouti.
L'enquête a cruellement manqué de densité, de rythme et ne m'a pas captivée, comme j'aurais pu l'espérer.
Je remercie Babelio et les éditions le masque de leur confiance.