Ce qu’il faut semble avoir été écrit comme il se lit, dans une forme d’urgence. Pas celle de la précipitation mais celle de la nécessité intérieure, sous le flux tendu du va-et-vient dans le temps devenu “suspendu” le long de dix-neuf chapitres d’une écriture fluide comme la vie.
D’une telle intensité qu’il se lit en un souffle, ce texte tire de sa part d’ombre (la disparition brutale de sa famille, le chaos de la vie après) une luminosité bouleversante. Réci...
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