Avec le recul, j’ai induit Woodley en erreur, car ni lui ni moi n’avons su déceler la vraie nature de cette affaire : menaçante, puissante et sournoise, le genre que l’on ne voit pas venir, mais qui est capable de faire volte-face et de vous surprendre avec sa morsure acérée. Un vrai requin en somme.
... : les histoires ordinaires n'intéressent personne. Elles ne font pas vendre de journaux et n'encouragent pas les donations. ( p 220 )
Parfois, on a hâte de se lancer dans l’interrogatoire d’un témoin ou d’un membre de la famille que l’on soupçonne de négligence ou de complicité, alors qu’à d’autres moments les questions peuvent vous sembler cruelles, même si l’on a l’intention de découvrir la vérité. Si ce n’était pas déjà le cas, je me trouve maintenant dans cette situation.
Sofia déteste pleurer. Au travail, quand les mères de nouveau-nés pleurent, elle trouve cela beau et juste, mais quand elle-même cède aux larmes, elle se sent laide et faible.
Lecteur avide et autodidacte d’une curiosité insatiable, Nur sait que le canal fait partie de l’ambitieux projet technique conçu à l’ère victorienne, à l’origine du port flottant, ouvrage qui a contribué à la prospérité économique de Bristol. L’histoire commerciale pittoresque de sa ville d’adoption n’a plus de secret pour lui et dans l’ensemble elle lui inspire de l’admiration malgré tout ce qu’elle a de honteux. Il l’admire car il croit en l’avenir et que les efforts sont toujours récompensés. Il croit que les gens et la vie ont du bon. Son optimisme lui donne la force de se lever tous les matins et leur a permis, à sa famille et à lui, d’arriver jusqu’ici depuis la Somalie.
Lecteur avide et autodidacte d’une curiosité insatiable, Nur sait que le canal fait partie de l’ambitieux projet technique conçu à l’ère victorienne, à l’origine du port flottant, ouvrage qui a contribué à la prospérité économique de Bristol. L’histoire commerciale pittoresque de sa ville d’adoption n’a plus de secret pour lui et dans l’ensemble elle lui inspire de l’admiration malgré tout ce qu’elle a de honteux. Il l’admire car il croit en l’avenir et que les efforts sont toujours récompensés. Il croit que les gens et la vie ont du bon. Son optimisme lui donne la force de se lever tous les matins et leur a permis, à sa famille et à lui, d’arriver jusqu’ici depuis la Somalie.
Ça n’a rien de personnel, disons juste que je n’aime pas parler de ma vie privée avec des inconnus.