Marx, une biographie dessinée

Je veux étudier la philo. Mais que va dire mon père ?
« Mon très cher fils, je suis malade et très faible. J’ignore si je te reverrai. Suis ton cœur, étudie ce que tu veux. Mais fais attention à l’argent. »

p.25.
Dans notre monde, tout s’achète, tout se vend ! Les capitalistes nous vendront même la corde pour les pendre. Hélas, je ne pourrai pas l’acheter, je suis trop pauvre.

p.49.
La possession rend les gens sots et bornés.

JOURNALISTE DU CHICAGO TRIBUNE (JCT)
- Comment vous situez-vous, Karl Marx ?
KARL MARX
- Hum, une chose est sûre, je ne suis pas marxiste.
JCT
- Mais alors, que pensez-vous des marxistes ?
KM
- J'ai voulu fonder une science, pas une secte.
JCT
- Le bonheur pour vous, Karl Marx, c'est quoi ?
KL
- Le bonheur... C'est un château Margaux 1848. Plus rouge que lui, tu meurs ! Santé !

Je détrônerai Dieu et j'abattrai le capitalisme.

Je m'appelle Karl Marx,
J'ai jadis été surnommé ... le Diable
Car j'ai voulu mettre à mort le capitalisme

Les philosophes Feuerbach, Bauer, Proudhon se sont trompés ! Ils n’ont fait qu’interpréter le monde, ce qui importe, c’est de le transformer !

Dans la famille, l’homme est le bourgeois ; la femme joue le rôle du prolétariat.

p.9.
C’est la réalité sociale qui détermine notre conscience.

p.3.
Il faut libérer l’humanité. De la misère. Des inégalités. De l’exploitation. Du chômage.