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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Aujourd'hui sort chez Fleuve éditions ainsi que chez l'éditeur numérique 12-21, le Principe de parcimonie, cinquième tome des Chroniques barbares de Mallock. Auteur complètement inconnu pour moi, je me suis lancée dans ce tome 5 qui peut se lire séparément malgré un léger fil rouge.

Paris sous une pluie torrentielle, La Joconde volée, un artiste blessé, des personnalités mutilées. le commissaire divisionnaire, Amédée Mallock n'est pas sorti de l'auberge. Ce Polichinelle qui se fait appelé Ockham, brave la police, leur envoi des petits cadeaux "originales" et surtout reste un mystère pour Mallock et ses collègues.

L'auteur, l'homonyme de notre "héros" Mallock, nous entraîne dans une enquête riche et sombre. de la façon la plus crédible, on assiste Mallock et tous les policiers du 13 rue du Cloître Notre-Dame dans cette chasse à l'homme invisible. Ockham, le Polichinelle, un artiste bien particulier qui combat les futilités et les vices de la société. Personne n'est épargné, de la Joconde, au chanteur populaire en passant par des avocats. Il pointe du doigt ces personnalités qui ont fait fi de la loi et de la morale. Élevé au rang de héros par la population puisque ce brave Ockham fait enfin ce que la police ne fait pas.
Bien sur, très vite Paris déchante et surtout Mallock et son équipe. Malgré des victimes mutilés, mais encore capables de témoignés, des bocaux contenant leurs restes, cheveux ou langue et j'en passe, l'enquête n'avance pas. Ockham reste un mystère.
Pourtant l'auteur arrive à nous garder en haleine. On avance à petit pas dans un brouillard sans nom, croisant au détour d'un chemin, un scalp tout juste découpé ou encore un coeur fraichement péché dans le torse d'un homme.

En plus d'une enquête qui paraît lente, mais parfaitement mené avec forts détails, nous avons une palette de personnages variés et uniques.
Tout commence avec Amédée Mallock, commissaire à l'âme torturé. On découvre un homme bourru, mais perspicace. Malgré un physique d'ours, on s'attache à cet homme que la vie n'a pas épargné.
Très bien entouré, le commissaire a une équipe avec autant de personnalités et de compétences qu'il y a de personnages au cours du roman. le tout s'articule pour rendre l'enquête cohérente, un puzzle que chaque personnage complète de sa pièce.

Mallock et son cinquième roman m'ont fait regretter de ne pas l'avoir découvert avant. Grande fan de thriller qui en lit peu (j'avoue), j'ai retrouvé dans le Principe de parcimonie, tout ce que j'aime à ce genre : une enquête riche, des personnages profondément humains et attachants, un vrai méchant qui te prend aux tripes, du sanglant, du tordu, voilà la recette qui me botte!
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Il est très rare que j'accepte de lire des tomes x sans avoir lu les précédents, car j'ai toujours peur de perdre la continuité de l'évolution des personnages principaux. du coup, j'avais ici peur de ne pas m'y retrouver et d'être un peu perdue quant aux événements des quatre tomes précédents. Mais l'appel du résumé a été plus fort que mon obsession à lire les sagas dans l'ordre et, faiblement, je me suis lancée. Et c'était une excellente surprise, car tout était limpide !

Ce livre peut être lu comme un roman individuel : certes, il est fait mention d'éléments des tomes précédents, mais, dans tous les souvenirs, on ignore ce qui était important ou non, et du coup on n'est perturbé par aucun spoiler. Cela est rassurant pour les personnes qui, comme moi, voudraient lire ensuite le début. En plus, l'histoire nous porte et nous entraîne auprès de Mallock et ses détectives, dans cette affaire incroyable et terrifiante à la fois. le style est aussi soigné que le cloisonnement du tome dans la saga, alors vous ne pouvez qu'adhérer.

Pour l'histoire, je dirais qu'il y a deux grandes parties. La première concerne les deux premiers livres de ce tome (il est découpé en trois morceaux). Ce début est prenant, excitant (dans le mauvais sens du terme…), et terrible. Ockham, le grand méchant, me faisait peur car il n'avait absolument aucune limite dans ses agissements. Une petite chose agréable : j'espérais qu'un personnage en particulier soit Ockham, ou au moins impliqué dans cette histoire, mais tout faisait qu'il ne le pouvait pas. Je n'ai pas été déçue, car l'auteur a pris le risque de le mêler à tout ça et les pirouettes scénaristiques étaient parfaitement crédibles et expliquées.

Simplement une fois ce mystère élucidé, nous entrons dans le livre III, et là, je me suis un peu plus ennuyée… En effet, l'explication était donnée et même si la suite était intense, elle n'avait plus le même goût que le début du roman : le soufflet était pour moi un peu retombé, car cette fin ne m'a pas autant passionnée. Toutefois, j'admets avoir été surprise à certains moments et avoir beaucoup aimé l'épilogue.

En bref, il s'agit d'un excellent roman, dont je vais m'empresser de trouver la suite… ou plutôt le début, car je ne peux quand même pas quitter Mallock comme cela !
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Gorgé d'intelligence, inondé de références historiques et artistiques, presque épique… c'est tout cela un roman de Mallock. Et c'est bien plus encore.

Il apporte l'assurance de se cultiver à travers ses mots, il oblige à retenir des détails dont nous n'aurions pas même soupçonné l'existence ou l'intérêt que nous pourrions y porter. Littérature, peinture ou encore philosophie… son lecteur doit à Mallock une foultitude de mots et de noms qui viennent nourrir sa curiosité intellectuelle.

Mallock maîtrise l'art de la rhétorique à merveille et réconcilie allègrement littérature et roman noir. Que les détracteurs et autres dénigreurs de polar parlent maintenant ou se taisent à jamais, il est des auteurs qui manient leur plume sombre avec érudition. Mallock en fait assurément partie.

Dans ce cinquième opus des « Chroniques barbares », son personnage éponyme flirte avec un dément idéaliste et iconoclaste. Un fou aux rasoirs aiguisés, dont l'utopie paraîtrait presque sensée. Presque… Un dingue irrationnel haïssant la vacuité.

Tout y passe ou y trépasse, c'est selon. Télé réalité, médias, politique…toute ressemblance avec des personnes existantes n'est pas fortuite et j'ai cru voir déambuler déci delà un philosophe aux cheveux longs bien connu ou une starlette éphémère et siliconée. Quelque politique à la mode ou autre acteur « people ». Au royaume des orgueilleux, les vaniteux sont rois mais finissent au bûcher.

Mallock fait mouche, Mallock touche juste avec son personnage de flic bourru, triste et parfois, oui… presque drôle. le pseudo du créateur se fond dans le patronyme du héros. Mallock s'immisce par procuration dans les vies d'Amédée, Amédée vit grâce à Mallock. L'auteur se glisse au sein des pages, se propulse dans les aventures de son reflet obéissant à sa plume. Les deux ne font qu'un au final.

Cette cinquième chronique est un roman noir intelligent dont la lecture est à la fois savoureuse et ludique. Malgré quelques scènes qui soulèvent le coeur (et le reste aussi d'ailleurs), malgré des transitions parfois un peu rapides et qui auraient gagné à être développées à mon sens, « le principe de parcimonie » est une vraie et belle réussite, à l'instar de ses quatre prédécesseurs.

Une écriture tout à la fois farouche et délicate. C'est le paradoxe de Mallock et l'un des socles de son talent.

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Le Mallock nouveau est arrivé, nouveau décor, nouvelle atmosphère, signé de la patte inimitable d'un auteur hors-normes.

Si vous ne connaissez pas Mallock (le personnage), il est grand temps de vous frotter à cet ours attachant et parfois mal léché, flic visionnaire qui fait autant marcher sa cervelle que ses intuitions, sorte d'aruspice* des temps modernes (merci à l'auteur au passage pour me faire découvrir à chaque fois de nouveau mots, comme celui-ci).

Il est difficile de parler de ce roman en adoptant le principe de parcimonie, tant le lecteur en prend plein les mirettes. Grand spectacle en technicolor et en odorama, rempli de bruits et de fureur, ce nouveau Mallock est une vague qui renverse tout sur son passage. A l'image de son grand méchant du jour, pas très poli(chinelle) avec les pseudos « institutions » de notre société du paraître. Stars de la chanson, politiciens, journalistes, héroïnes de la télé-réalité…, ils passent tous au broyeur des mains assassines du criminel de l'histoire et des mots assassins d'un auteur qui s'en donne à coeur joie dans le pilage de nos « icônes » contemporaines.

Les romans de Mallock sont des thrillers addictifs, jusqu'au-boutistes parfois, qui prennent une autre dimension par la grâce de l'écriture unique de l'écrivain ; sorte de poésie désespérée, emplie de fulgurances. Un vrai virtuose des mots, qui élève les scènes de violence (parfois extrêmes) au rang d'oeuvres d'art.

Il faut dire, qu'une fois de plus, le dangereux dément de l'histoire est un vrai personnage de théâtre. Oui, Mallock a théâtralisé son intrigue pour la placer dans les mains d'un grand guignol mortifère comme on en rencontre peu dans les romans du genre. L'auteur, pointilliste, s'en donne à coeur joie : et que je coupasse ce pic qui dépasse (et les couilles aussi).

On suit cette enquête avec sidération, les yeux grands ouverts, empli d'une certaine fascination laudative devant cet auteur impavide.

Même si cette nouvelle enquête n'est pas ma préférée de la série, j'en suis une fois de plus sorti épuisé et réjoui par tant de verve et par la manière dont le dramaturge Mallock mène sa barque, entre dénonciations et grand spectacle. Une oeuvre ludique qui est pourtant bien davantage qu'une banale pantomime. Une oeuvre unique, surtout.
Lien : https://gruznamur.wordpress...
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Une chose vraiment appréciable, c'est que les chapitres ne sont pas tirés en longueur, c'est une chose que j'ai vraiment aimé car un chapitre trop long quand je dois arrêter de lire eh bien je n'aime pas couper dans un chapitre mais bien à la fin. Avec celui-ci ce fut donc possible.

J'ai déjà lu plusieurs critiques des parutions de Mallock, et pour l'avoir enfin découvert de moi-même via le principe de parcimonie, je regrette vraiment de ne pas m'être lancée bien avant.

En quatre mots : inondation ... Joconde ... Paris ... immersion.

Mallock est un personnage haut en couleur que j'ai adoré, il mène son enquête de main de maître, mais attention à l'adversaire qui peut tout faire capoter.

Ce livre, il a beau avoir plus de 400 pages, je l'ai dévoré en un temps record, je ne m'attendais pas du tout à arriver à la fin si vite (enfin façon de parler lol je ne l'ai pas lu en 2h), j'étais prise dans l'enquête et je n'ai pas vu les heures tourner, un vrai régal.

La plume de l'auteur m'a convaincue de par sa délicatesse à me prendre dès le départ et à me relâcher au moment du mot fin, une plume sans temps morts qui m'a ravie.

Un enquêteur et un auteur à découvrir sans attendre si vous le connaissez pas.
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Tout commence par le vol de la Joconde et sa destruction spectaculaire en direct devant des milliers d'internautes. L'auteur du crime est un étrange individu, qui se fait appeler Dr Ockham, tout entier revêtu de latex et affublé d'un énorme bec jaune qui lui masque le visage. Ockham s'en prend ensuite à des célébrités, politiques, avocats et personnalités de tout bord en leur coupant doigts, langue ou oreilles, selon des préceptes qui lui sont propres comme "Tu ne toucheras pas aux enfants avec des pensées sales". Ockham envoie ses bocaux remplis des membres coupés au commissaire Mallock, chargé de l'enquête. Au même moment, Paris est sous la pluie et s'apprête à vivre une des plus exceptionnelles crues de la Seine.

C'est la première fois que je lis une enquête du commissaire Mallock et pourtant, il s'agit de la cinquième "chronique barbare" de l'auteur, qui prend comme pseudonyme le nom de son personnage. Heureusement, on peut lire ses chroniques indépendamment les unes des autres, même si l'on perd ainsi la chronologie des personnages. Et quels personnages ! Au premier plan Mallock, décrit comme un ours, est un commissaire intelligent, complexe, au caractère bien trempé, qui choisit les meilleurs enquêteurs, génies de l'informatique, linguistes, scientifiques et autres talents pour intégrer son équipe qu'il dirige d'une main de fer. C'est un homme indépendant, qui n'aime pas la hiérarchie ni obéir aveuglément, et qui éprouverait presque de la sympathie pour Ockham jusqu'à que celui-ci fasse des victimes et s'en prenne même à son équipe... Respecté par toute son équipe, c'est un acharné prêt à tout pour découvrir qui est Ockham et quelles sont ses intentions.

Menée par un personnage aussi intéressant, l'enquête est riche en rebondissements et les crimes d'Ockham montent en puissance tout comme la Seine qui menace de déborder. La tension est donc bien là au fur et à mesure de notre lecture et il devient presque difficile de lâcher ce roman policier ! Voilà une belle découverte qui me donne envie de lire les quatre premières chroniques barbares et notamment, d'en savoir plus sur le passé de Mallock qui, d'après ce qu'il en est dit dans le principe de parcimonie, semble particulièrement dramatique.
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"Le Principe de Parcimonie" est mon premier roman de Mallock. Je découvre donc ici le personnage homonyme mais aussi la plume de l'auteur. Dès le début je comprend l'efficacité des mots de l'auteur qui arrive à faire entrer son lecteur immédiatement dans son univers. Une crue spectaculaire menace Paris, il pleut en discontinu depuis des jours, un artiste a été blessé violemment au Louvre lors du vol de la Joconde. L'ambiance est particulièrement pensante. Et ce n'est que le début.

​S'en suit une enquête des plus déconvenante pour Mallock et son équipe, rythmée par les actes barbares d'un certain Ockham qui s'amuse à mutiler les personnes qui représentent pour lui la futilité dans notre société.
​Les actes du genre s'enchaînent sans que l'enquête n'avance, les mois passent et Mallock s'enfonce d'une incompréhension la plus totale. L'enquête est un échec total, elle s'enlise aussi rapidement que la Seine sort de son lit. le lecteur devient tout aussi frustré que les enquêteurs.... Incompréhension totale, addiction totale au roman pour tenter de comprendre.

​Et puis de temps en temps il y a de très courts chapitres. Il y en a peut être 5 au total, ils arrivent un peu au hasard mais sont très dérangeants par les faits qu'ils exposent. Si il manquait un élément pour parfaire l'ambiance pesante de ce roman, ces chapitres finissent de la compléter.

​L'auteur joue avec ses personnages comme avec ses lecteurs: tout a coup l'enquête prend un tournant inattendu. Un rebondissement qui pourrait bel et bien clore cette enquête mais à 200 pages de la fin ... le reste s'avère rapidement être une succession de surprises, rebondissements qui laissent le lecteur à bout de souffle.

​"Le Principe de Parcimonie" est vraiment un roman au rythme croissant. La plume de l'auteur rend le suspense efficace et progressif: le lecteur ne réalise pas à quel point il devient oppressé par sa lecture. J'ai passé un excellent moment avec ce roman, je vous le conseille pour une expérience déroutante.
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Première livre de la série du commissaire Mallock Amédée que je lis (le 5ème de la série) et vraiment une belle découverte, pouvant se lire séparément et faisant partie des chroniques barbares.

J'ai vraiment beaucoup aimé ce livre et me suis beaucoup attaché au personnage de Mallock, un homme ayant vécu plusieurs drames dans sa vie et ayant survécu chaque plus fort, entouré d'une équipe d'enquêteur hors normes. Tous les ingrédients sont réunis pour débuter un thriller haletant mêlant horreur, à amour, amitié, tout ça dans un fond de catastrophe naturel et dans le milieu de l'art.
Pour résumer un thriller qui nous tiens en haleine avec un suspens jusqu'à la toute dernière. Une chose est sûr je vais lires les autres enquête de Mallock . Dernier conseil; : âmes sensibles fuyez ce livre !
Lien : http://bookliseuse.blogspot...
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Il a tout pour séduire le commissaire Amédée MALLOCK, les cheveux blonds, les yeux bleus et le sens de l'humour. Une envie, le suivre dans son enquête avec son équipe de choc qui du 36 quai des orfèvres a déménagé au 13, ce chiffre lui portera-t'il bonheur ? Et oui, notre commissaire est superstitieux et croit aux signes et situations étranges. il faut dire que sa nouvelle enquête est tout sauf simple et ordinaire.
Le personnage traqué passe de l'homme sympathique au plus cruel qu'il soit.
Une fois les premières pages lues, on est pris dans l'engrenage de cette enquête et impossible de poser ce polar avant le mot fin.
J'ai adoré, j'ai souri et j'ai également eu peur, tout ce qui fait un bon thriller.
Ma seule envie est maintenant de lire les précédentes enquêtes de Mallock.
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Cinquième roman de la série du Commissaire Mallock (et oui l'auteur a pris comme pseudonyme le nom de son héros), il peut être lu sans avoir au préalable fait connaissance avec le protagoniste divisionnaire, non pas au 36 mais au 13, puisque ses bureaux ont déménagé. Amédée entouré de son équipe, reflet de la diversité à la française, experts et profileurs réunis, va s'introduire dans le milieu artistique alternatif, pour résoudre une énigme criminelle qui ne se révèle meurtrière qu'au chapitre 31. le tout au coeur d'une catastrophe naturelle puisqu'en cette fin d'année Paris connaît une crue centennale, suivie d'une glaciation, qui privent ses habitants de métro et les contraint à utiliser la barque ou le patin à glace … A côté de son équipe le commissaire sait recourir aux ressources atypiques et amicales et c'est une autre galerie de personnages bien sympathiques à découvrir. le principal suspect passe du rôle de Robin des bois revisité par les scénaristes de Seven de David Fincher à celui de promoteur d'un vaste complot plus apparenté aux méfaits terroristes malheureusement d'actualité. Une enquête qui s'accélère au rythme de l'ampleur du désastre que Mallock cherche à déjouer et un final étourdissant, qui laisse le lecteur sans souffle.
C'est donc le premier Mallock que je lis et j'ai beaucoup aimé. Un peu désappointée par le début un peu lent, mais vite rattrapée par le tourbillon dans lequel l'auteur nous entraîne. En conclusion je vais vite reprendre la chronologie de ces « chroniques barbares » pour mettre à jour mes fiches !
Pour la petite histoire, la référence à Ockham et à son rasoir me fait penser à Henri Loevenbruck qui lui attribue une méthode d'élucidation des enquêtes alors que Mallock y voit sa source sans « le petit prince »… chacun reconnaitra les siens !
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