Gaius: Maintenant écoute-moi bien, jeune homme, parce que je ne vais pas me répéter. Si tu t'approches à nouveau de ma fille, je te couperai personnellement les testicules et j'en bourrerai ta grande gueule ! M'as-tu compris, Marcus Valerius Falco ? Ou faut-il que Cabar te le répète à coups de pied ?
Marcus: Entends-tu par là que tu refuses ma demande en mariage ?
(Marcus vient voir son père très malade. C'est son père qui parle)
Approche... tu es devenu un homme enfin. J'ai entendu parler de tes prouesses... Je suis fier de toi. Tu as finalement compris que griffonner et rimailler ne sont que des passe-temps inutiles et infantiles, pour occuper l'esprit malade des rêveurs efféminés.
Comme celui de ce misérable Ovide, qui échangea son glaive contre un stylus et qui maintenant pourrit en exil, comme il est juste. Comment veux-tu conquérir de nouvelles provinces et défendre l'Empire avec un maudit stylus?
Me voilà libérée de la cage des vestales pour atterrir dans les mains d'un homme que je n'aime pas. Quelle ironie....
Distrayons-nous avec les femmes de nos ennemis et espérons que cette maudite guerre soit bientôt finie.
Tu es devenu un homme enfin. J'ai entendu parler de tes prouesses....Je suis fier de toi. Tu as finalement compris que griffonner et rimailler ne sont que des passe-temps inutiles et infantiles, pour occuper l'esprit malade des rêveurs efféminés.
Qu'en serait-il de l'Empire si tous les officiers se sacrifiaient à la place de leurs hommes?
Arminius : Nous, les Chérusques, ne manquons pas de courage pour agir ! ... Si le père de l'élue nous la refuse, nous prenons sa fille de force. Mon grand-père l'a fait, mon père l'a fait... et s'il le faut, je ferai de même !
Marcus Falco : Voila pourquoi on vous appelle "sauvages".
Arminius : Sauvages, oui, mais heureux au moins !
Qu'advient-il de la fraternité d'âme et d'armes lorsque l'amour pour une femme surgit?
- Tu es de retour depuis hier, et au lieu de rentrer chez moi, ta femme, tu ne trouves pas mieux à faire que d'aller sauter cette salope !
- Une année d'abstinence entre soldats, c'est long. Les prostitués, au camp, n'étaient pas à mon goût.
- C'est monstrueux de dire cela !
- Je ne t'aime pas Silvia... A quoi bon faire semblant ?
Notre mariage a été arrangé par nos pères... Il n'a jamais été question d'amour dans le contrat...
Soigne bien ce glaive. N'oublie pas, les épées sont comme les femmes, pour qu'elles restent jeunes et loyales, il faut bien les graisser... A ton retour, tu me dois un petit-fils.