Le Trône de fer, tome 3 : La Bataille des rois

Ceci est juste une parenthèse avant de poursuivre ma lecture du Trône de Fer afin de vous parler en quelques lignes de mon engouement pour cette série !

Je viens de refermer le troisième tome du Trône de Fer à l'instant, et que dire... Whaouuu !!!! J'en veux encore !! J'ai autant aimé celui-ci que les deux précédents. L'auteur fait fort pour nous inclure dans un univers riche magnifiquement imaginé, avec des personnages forts et extrêmement attachants. Et là encore c'est une réussite. Et puis tout s'accélère et on brûle de connaître la suite !...

Décidément, tout me plaît dans cette série : le style de l'auteur, toujours aussi fluide, soigné et évocateur, auquel une excellente traduction française rend vraiment hommage (pour une fois !), les différents points de vue des personnages qui tous assistent aux cataclysmes en cours et à venir, leurs souhaits, leurs espoirs et les rêves de grandeur de chacun, la perversion des autres, le courage ou la sagacité qui ne font jamais défaut à tous ces nouveaux héros qui sont en train de voir le jour...

Pas une seule seconde d'ennui à mon actif durant la lecture de la Bataille des Rois, l'action se poursuit sans relâche, on y découvre de nouveaux personnages forts dont on avait seulement entendu parler jusqu'à maintenant et qui font enfin leur apparition, et une fin qui s'achève sur d'ultimes questions dont les réponses vont heureusement m'être apportées très vite !

Je n'ai qu'une envie après avoir tourné la dernière page : lire la suite, connaître le dénouements de certaines actions, retrouver les Starks, bref : replonger dans le monde passionnant de G. R. R. Martin et tout de suite !
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Nous commençons ici la deuxième partie de la saga. Ce troisième tome correspond, en effet, au début du second tome us. Robert est mort, Eddard aussi et les rois pullulent.
Contrairement à mon souvenir, ce tome est captivant. Je trouve même de l'intérêt à ce qui se joue en Essos. Maintenant que l'hiver et la guerre sont là, nous entrons de plein pied dans les intrigues.
Avec Ned, nous arrivions lentement étrangers à ce monde de fausseté. Avec Tyrion, nous assistons à des tractations brillantes. Les échanges entre le Lannister et Lors Varys sont particulièrement succulents.
Parallèlement, à travers les yeux d'Arya ou ceux de Jon, nous rencontrons la misère du monde. Les grands seigneurs se querellent pour le trône, mais au-delà du mur et sur les routes du conflent, c'est autre chose. Il n'y a pas que de preux chevaliers et de gentes demoiselles. Nous nous en doutions dans les deux premiers tomes, maintenant tout est clair. À Winterfell, loin de l'activité principale. Nous découvrons la gestion quotidienne de l'une de couronnes, les querelles sans panaches et les difficultés du prince brisé qui doit trouver sa place dans le monde.
Il est clair encore que la plupart des personnages font n'importe quoi. Ils ont beau être coiffés d'or, ils restent humains.
Nous rencontrons enfin des personnages dont on nous avait parlé, le roi Stannis et ser Davos. Paradoxalement, alors que ce dernier (avec Mestre Cressen) permettent de voir ce qui se trame à Peyredragon, aucun chapitre ne nous parle de Hautjardin.
C'est dans lutte que les caractères base révèlent. Nous tremblons avec Sansa et nous nous réjouissons des échecs de Théon.
Au delà des guerres, des dragons et des intrigues, nous découvrons des personnes qui cherchent désespérément leurs places dans un monde en pièces.

Sur fond de guerre, La Bataille des rois va néanmoins axer son regard sur les personnages qui ne sont, pour la plupart, nullement aux commandes. Arya, Sansa et Bran Stark, dispatchés entre Winterfell et Port-Réal, sont plutôt impuissants face aux événements, essayant de survivre alors qu'ils ne semblent pas avoir en main les propres fils de leur destinée. Si Bran semble en sécurité au sein de la forteresse des Stark, ses deux soeurs ont beaucoup moins de chance. Prise dans les filets d'un jeune roi sadique ou sur la route en compagnie de criminels partant au Mur, les filles Stark apprennent malgré leur jeune âge à s'endurcir.

Toujours aussi riche, tant au niveau de la complexité des personnages qu'à celui des descriptions qui nous font plonger facilement au sein de cet univers de fantasy aux diverses palettes de gris, La Bataille des rois est aussi passionnant à lire que les deux premiers tomes. Néanmoins, il m'a semblé un petit plus lent alors que paradoxalement, la guerre commence à se lancer. le goût de l'auteur à la contemplation est toujours présent, principalement lors des chapitres sur Bran qui apprend à vivre avec son infirmité tout en essayant de comprendre ses rêves de loups.
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Installé confortablement sur mon trône, je peux reprendre cette épique saga et commencer à lire la deuxième partie. de plus, je trouve qu'on replonge assez facilement dans le livre et au besoin l'excellent site "La garde de nuit" renseigne excellement bien

La partie recommence là où nous nous sommes arrêtés : beaucoup de personnes lorgnent sur le trône, mais un enfant a grimpé dessus. Pourtant, on a l'impression que c'est plus une reine qui tient les fers. Mais gare aux apparences, car le royaume semble au bord de la rupture. Chaque point cardinal recèle d'ennemis et de problèmes : il faudra donc être le plus vil pour s'en sortir...

On s'en pourlèche les babines tel un lion ! Nos crocs de loup étincellent dans la nuit ! Bref, vanité, carnages, alliance, coup-bas : rien n'est trop dur pour tous nos personnages. Et ce n'est que le début... Hâte de lire la suite !

La série Game of Thrones étant ma série préférée de tous les temps, c'est avec plaisir que j'ai ouvert le tome trois de la saga dont elle est adaptée, qui est le premier tiers du deuxième roman américain (ô, joie des redécoupages français).

Nous retrouvons donc le royaume de Westeros, plongé dans un climat froid et ostile, après la mort du Roi et de sa Main. Dans le ciel, passe une comète rouge, que beaucoup verront comme un présage. Présage de malheur pour certains, présage de gloire à la guerre pour d'autres. Tout cela va provoquer une anarchie naissante dans le royaume : la paix va voler en éclat. Tandis que Joffrey se terre dans la capitale, quatre hommes se préparent à un seul but : devenir roi. Alliances, trahisons : la guerre approche.

Ce tome-ci se concentre plus sur Arya, Bran et Tyrion. J'ai été particulièrement contente de ceci, étant donné que Arya et Bran sont deux de mes personnages préférés, et que c'est vraiment amusant de voir Tyrion se jouer de tout le monde. Mais, évidemment, on a également le point de vue d'autres personnages, tels que Daenerys, Catelyn ou encore Theon. Un des énormes avantages de cette saga est la diversité et la complexité des personnages. Il n'existe pas de "méchants" ou de "gentils". C'est vraiment plaisant de passer d'un point de vue à l'autre, et de couvrir tant de situations différentes en quelques centaines de pages. Certains pourront voir cela trop complexe, mais ça ne m'a pas dérangé du tout. Oh, et, énorme point fort de ce roman : la rencontre de Arya avec Gendry (mes deux chouchous ensemble, c'est un peu trop pour mon petit coeur).

L'histoire, comme d'habitude, est vraiment géniale et recherchée. La tension monte à Westeros, et on sent que quelque chose de gros se prépare. Tyrion s'occupe de la politique en tant que remplaçant de la Main du roi, Arya prend un côté plus féroce en se faisant passer pour un garçon en rentrant chez elle, et Bran va être le seul point d'accroche à Winterfell. de plus, à chaque fois que je lis un nouveau tome, je suis vraiment surprise d'à quel point la série est bien adaptée au livre. C'est vraiment très agréable.

Evidemment, seul désavantage de cette saga pour tout bon français : le découpage médiocre des tomes. On sent vraiment la casse dans le rythme entre deux livres. Mais l'écriture de Martin reste simplement magnifique, et c'est vraiment surprenant d'une telle poésie pour décrire des scènes si crues, comme des scènes de sexe par exemple (Tyrion Lannister sera d'accord avec moi).

Bref, cette saga continue à m'épater. Je ne saurais trop vous la conseiller. Pour moi, ce tome frôle le coup de coeur.

J'ai attaqué ce 3e tome avec le même engouement que les deux premiers voire même avec plus d'enthousiasme dans la mesure où il n'a pas encore été adapté par la série TV, la surprise a donc été totalement préservée.

De nouveaux personnages se voient mis à l'honneur par un chapitre qui leur est consacré. Il ne s'agit pas de personnages totalement nouveaux pour la plupart car on les a déjà rencontrés au travers des yeux des autres personnages mais il est intéressant de voir l'histoire de leur point de vue.

Côté intrigue, il est vrai qu'il ne se passe pas grand chose dans ce tome. Cependant, il n'en demeure pas moins qu'il a son importance. En effet, si le rythme semble ralentir, les pièces de l'échiquier se mettent en place, la tension monte encore d'un cran et la bataille semble imminente.
Quoiqu'il en soit, cela ne m'a pas empêché de dévorer ce tome jusqu'à la dernière page !

Ce que j'ai beaucoup apprécié dans ce tome, c'est la place qu'occupe Tyrion Lannister, l'un de mes personnages préférés.
Vivement la suite !

Tome 3 de la saga. Les Rois se multiplient comme des petits pains : Joffrey Baratheon fruit de l'inceste, Robb Stark « roi du Nord »assoiffé de vengeance ,Stannis Baratheon et son frère Renly . Chacun a des alliés, mais Stannis a un atout :Mélisandre d'Asshaï, une prêtresse du dieu R'hllor ses flammes et ses ombres. On rencontre aussi Brienne de Torth (l'herculéenne amoureuse transie) , Jaqen H'ghar le mystérieux. Arya et Daenerys poursuivent leur périple. On sent venir la baston.

Critique de la version ebook éditée par Flammarion et traduite en français.

Avant même de commencer la critique de l'histoire, je vais m'attarder sur l'ebook lui-même. J'avais accordé le bénéfice du doute à Flammarion concernant les problèmes d'erreurs de caractères et d'erreurs typographiques. Mais, là, je n'en peux plus !
L'ebook est bâclé et de qualité médiocre. Des exemples ? Chaque fois que le mot "Ils" est utilisé, il est systématiquement remplacé par "B", quand le mot "Il" est écrit en italique, il est remplacé par "/ /" (double slash)... Et ce ne sont que ceux dont je me souviens car ils reviennent très fréquemment !
Les ebooks n'étant pas beaucoup moins chers que les éditions papier (voir même pas du tout !), on est en droit d'attendre un peu plus de soin dans leur conception !

Maintenant, le récit.
L'auteur nous capte immédiatement dans les histoires tourmentées de ses personnages. le début est un peu lent et l'histoire évolue peu pour certains des personnages que l'on connaît depuis les premiers tomes (Arya et Bran notamment). Cependant, il est impossible de ne pas se laisser porter dans leurs malheurs, leurs coups bas, leurs bons sentiments. L'un des personnages changent beaucoup, dans ce tome : celui de Sansa. Au premier abord très nunuche (si, si, vous ne pouvez pas le nier), elle se montre déterminée et apprend à paraître docile tout en portant un jugement sans équivoque sur ses tortionnaires.

De façon générale, je regrette que les histoires de chacun des personnages évoluent si lentement. Il est évident que le très grand nombre de personnages de ce récit n'aide pas !

Je suis toujours aussi enthousiaste quand à la suite de la saga, qui m'intrigue énormément dans ses détails. Je suis curieuse de voir qui va remporter le trône, mais encore bien plus de ce qui se cache derrière le mur gigantesque qui protège Westeros… Vivement la suite !
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Après deux tomes un peu traînants, Martin passe la première et c'est pour notre plus grand ravissement.

On continue à découvrir de nouveaux personnages, de nouvelles familles, et de nouvelles contrées dans ce volet de la saga, mais les choses sont réellement lancées : politique de la survie, politique de l'arrivisme, politique des traditionalistes, guerres de religions, etc... Tout est en place, et tout démarre seulement, pourtant !
C'est un vrai régal de passer de personnages en personnages, désormais, et les descriptions sont distillées entre des phases intenses de truchements politiques et géopolitiques, de sorte à ce que, jamais, l'on ne s'ennuie.

Le lecteur qui est bien rentré dans l'histoire, et est arrivé à se représenter le monde et ses personnages, se surprend à attendre avec impatience que revienne le tour de ses chouchous sans pourtant vouloir manquer une miette de ce qui se passe du point de vue des autres.

Le passage de Tyrion, de souffre-douleur doublé d'un génie essayant de survivre à la vie, à stratège politique, donne un coup de fouet à la narration en humour piquant et bien dosé, également proportionnel à son talent pour manoeuvrer et manipuler les pièces de cet échiquier monstrueusement compliqué qui ne fait que le devenir plus de page en page.
Quelque part, on se dit que Martin n'a pas échappé au cliché du personnage atteint de nanisme, élément comique de l'histoire, et pourtant, il en a fait un personnage tellement intelligent et rusé, que le cliché, on en redemande !

Les choses bougent désormais de tous côtés, et pourtant, on sait pertinemment (même sans avoir vu la série) que quelque chose de beaucoup plus gros, sur laquelle on est même, encore, incapables de mettre un nom, se trâme et on est suspendus aux mots de l'auteur, espérant en apprendre un peu plus à chaque page.

On ressort de ce 3ème volet, de la saga du Trône de Fer, haletants, et on en redemande !