La petite fille qui aimait la lumière

Lors d'une sortie de nuit , un vieil découvre une fillette dans une décharge , elle vit encore mais ne parle pas .. elle dit juste " Lumière" .
L'homme qui a vu sa famille massacrée au début de cette guerre , ne sort presque plus , juste pour les quelques besoins nécessaire car ses réserves sont importantes .
Il va s'occuper de Lumière c'est le nom qu'il lui donne et elle va reprendre gout à la vie et va l'appeler " Monsieur Papi" .
Le confiance est là , l'espoir aussi car la radio crachote quelques messages ...

*******************

Un joli roman , un huit clos plein de tendresse , la confiance de deux être qui ne se connaissait pas entre un vieil homme fatigué et une gamine qui va retrouver un début de parole et un nouvel espoir d'avenir après cette guerre .
Pas loin du coup de coeur .

Magnifique découverte pour moi de cet auteur. Roman rempli de douceur et de tendresse en temps de guerre. Roman racontant l histoire d'un vieil homme et d'une petite fille. Histoire très touchante avec en prime la larme à l oeil pour moi.

Un roman doux et plein d'espoir. Une amitié entre ce vieil homme qui n'a plus rien à perdre et cette petite fille qui ne demande qu'une seule chose. Apprendre la vie et être aimée.

Un viel homme recueille une petite fille blessée et qui ne parle pas lors d'une guerre. Comme à chaque roman de l'auteur, j'ai eu un coup de coeur et même un très gros. de la douceur et de la pureté, de la beauté et de la bienveillance. C'est une très belle histoire

J'ai enfin lu ce livre qui dormait sur une étagère à la maison depuis plus d'un an, et comme prévu, je l'ai adoré.
Pourquoi ai-je longuement hésité, alors, me direz-vous ? Eh bien, parce que je savais que ce livre allait me marquer et certainement me suivre un bon moment, comme le premier de l'auteur que j'ai lu, Dieu est un pote à moi.

D'où vient cette petite fille qui ne sait dire qu'un seul mot, "Lumière", et qui a été laissée pour morte dans un tas d'ordures à quelques mètres à peine de la maison où un vieil homme vit reclus depuis le jour où la guerre a commencé, depuis le jour où les autres ont semé la mort, la terreur et les atrocités aux quatre coins de la ville ? Et qui est ce vieillard qui se cache pour survivre au jour le jour au milieu de cette ville morte ? Sont-ils seuls au monde ? Reste-t-il ailleurs d'autres vivants qui espèrent aussi la fin de la guerre et le retour des belles choses de la vie ? de l'enfance, de l'insouciance, de la musique et des rires ?

Au fil des jours, la fillette et le vieillard vont s'apprivoiser et partager leur solitude. le vieil homme va apprendre à l'enfant à espérer, à faire des projets, tandis que la petite fille va redonner à "Monsieur Papi" quelqu'un à chérir, à protéger et digne qu'on se batte pour elle.

Un livre court mais terriblement prenant et touchant, difficile à lâcher ... dans ses pages, on n'en apprendra pas beaucoup sur la guerre, ni sur les autres, ces ennemis invisibles et sans pitié ... ce n'est pas ce qui intéresse l'auteur. Ce qui l'intéresse, c'est comment deux êtres qui ont perdu tout espoir et toute raison de vivre peuvent ensemble faire renaître l'espoir, la vie et l'humanité au coeur du désespoir.

Comme pour le premier livre de l'auteur que j'ai lu, c'est une lecture qui s'attache à vous, et des passages me reviennent en tête sans que je les convoque ... si vous n'avez jamais lu de livre de Cyril Massarotto, je vous conseille vivement de tenter l'expérience, avec Dieu est un pote à moi ou avec celui-ci, vous ne serez pas déçus ! Un gros coup de coeur !

Juste avant l'aube, une grande ombre se penche sur le corps inanimé d'une toute petite fille. C'est « l'ogre », un vieillard d'une taille gigantesque, qui vient de prendre le risque fou d'aller sauver cette enfant blessée et jetée sur un trottoir par les sauvages qui hantent cette ville morte. L'enfant dans les bras, il retourne dans sa maison aux fenêtres obturées depuis des années, depuis les massacres, depuis que tout signe de vie est prohibé dans cette ville sous peine de voir revenir les assassins.

La petite fille ne parle pas, ou plutôt elle ne prononcera jamais qu'un mot : lumière, elle qui a si peur du noir. Alors, le vieil homme parle, lui. Il lui raconte les petites joies du quotidien, la beauté de la vie d'avant, le danger qui rôde dans cette ville, son espoir qu'un jour on vienne les délivrer. Deux fois par jour, seulement, il impose le silence pour tourner le bouton de sa vieille radio et écouter les grésillements des ondes. Un jour, peut-être, une voix humaine leur annoncera leur délivrance...

Dans cette maison aveugle, cet îlot de tendresse encerclé par la peur, une relation délicate et forte se noue entre la petite muette et le vieillard.

Un coup de coeur.

Récit d'une rencontre entre le viel homme au regard fatigué d'en avoir trop vu et la fillette au regard curieux qui n'a jamais rien vu.

Un récit poignant d'une humanité désarmante qui relate cette rencontre et la relation preque familial qui en découle.

Un récit mené par une plume fluide, juste et touchante. Un récit qui m'a arraché des larmes de part sa dualité entre douceur et souffrance, ombre et lumière.

Un livre que je recommande sans hésiter.

Bonne lecture à tous.

Dehors, le monde n'est que ruine et dévastation mais un tout petit corps, celui d'une petite fille, gît au milieu des ordures. Elle est vivante, le vieil homme barricadé dans sa maison l'a vu bouger derrière ses volets. Au prix de grands risques et de gros efforts, il décide d'aller la chercher et de la recueillir dans sa maison. Elle sera maintenant sous sa protection. Mais cette petite fille ne parle pas, elle ne sait dire que le mot "lumière". Ensemble, ils vont trouver un nouveau sens à leur vie. Ils vont sourire et même rire malgré l'horreur qu'ils ont pu vivre depuis ces 8 dernières années.

A nouveau, Cyril Massarotto nous plonge dans un monde où l'être humain a 2 facettes : l'ignominie et la bonté.
Face à l'insoutenable, il y a toujours de l'espoir... l'amour.

Dans ce roman, l'horreur c'est les autres. Ils n'ont ni visage, ni couleur, ni religion. Ils sont la noirceur qui peut se cacher au fond de chacun. Ils sont capable des pires atrocités envers leurs semblables sans que l'on est aucune explication. Peut-être par pur plaisir.
Mais au milieu de tout ça perdure l'espérance représenté par une petite fille et un vieillard. Il est le passé, elle est l'avenir.

Difficile de ne pas verser de larmes pour cette histoire. Il est impossible de ne pas s'attacher à ces personnages et d'avoir envie de les protéger. Je me souviens avoir senti mon coeur s'accélérer par peur. J'ai même eu besoin d'un moment avant de continuer ma lecture, de peur de ce que j'allais y lire. J'avais déjà ressenti cela dans Dieu est un pote à moi. J'avais du sauter 2 ou 3 pages qui étaient trop violentes par la véracité des événements. C'est tellement plus facile de fermer les yeux quand on ne veut pas voir la réalité ...

Un vrai petit chef d'oeuvre que ce livre de Cyril Massarotto . (Mon avis)
Une ville, la pluie, la guerre, un grand- père, une petite-fille est les autres ceux qui ne laissent personnes en vies. Dans une ville qui n'a pas de noms mais détruite par la guerre un veil homme va mettre sa vie en danger pour sauver une petite fille qui habitait dans les égouts, il la trouvée inanimée .Pour cette enfant qui ne parle pas, qui a peur du noir il va l'appeler lumière.
La vie commence pour eux deux, le Veil homme lui décrit le monde avant que la guerre ne commence, la beauté du monde sa richesse, la joie de vivre.
Cet homme âgé n'a qu'un espoir ses qu'on vienne les délivrer mais ………….le seront-ils.

Un magnifique roman, un vrai bijou littéraire. le sujet est pourtant grave, il est question de la guerre mais le ton est touchant, plein de tendresse entre les liens intergénérationnels. C'est une pépite d'amour, de bienveillance, d'empathie et d'espoir. La vie y est célébrée majestueusement.