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Quelques aventures d'une "Carmen Cru" qui serait rentrée dans les ordres religieux, et ne s'en laisse donc pas conter, qu'il s'agisse d'histoire sainte, de main baladeuse, de descente de vin ou de cassoulet tout comme de sexualité ou de substances hallucinogènes. Cela part dans tous les sens, son anticonformisme est jubilatoire, mais la réflexion s'arrête assez vite (on n'en demanderait pas tant !)
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Il me fallait une clé pour achever le challenge objet et je suis tombée sur cette BD.
Alors merci à Sallyrose car ce que j'ai rit en suivant les aventure de cette soeur qui expérimente tous les pêchés capitaux.
Elle boit, elle fume, elle vole, elle fiche des mandales et elle se bat avec les autres nonnes pour obtenir les faveurs de Jesus, le jardinier.
C'est jubilatoire.
Je vais de ce pas réserver les autres tomes.
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J'essaie régulièrement de me rapprocher d'un univers assez obscur à mes yeux, celui de la BD. Une critique de cet album postée sur Babelio m'a donné envie de découvrir "Soeur Marie-Thérèse". L'héroïne est réellement hors normes. Les sept péchés capitaux, et tous les péchés véniels d'ailleurs, n'ont plus aucun secret pour elle, car elle les pratique abondamment au quotidien. J'ai parfois souri au détour d'un bon mot et par le ton anticlérical, mais globalement, je n'ai pas vraiment été séduite. J'ai trouvé le dessin brouillon, effet accentué par le trait noir et blanc. Encore un rendez-vous raté avec la bande dessinée...
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Bonsoir,
Une BD ce soir avec Soeur Marie-Thérèse des Batignolles de Maëster, une bonne soeur vindicative, directe (surtout du droit et du godillot) qui ne lésine ni sur l'alcool, ni sur la fumette. Bref une bonne soeur un peu en dehors de l'image que l'on peut se faire et c'est très drôle même si elle est parfois vulgaire et violente. Beaucoup d'humour.
Quatrième de couv. L'oeuvre maîtresse de Maëster enfin mise en couleurs !
Soeur Marie-Thérèse des Batignolles est une bonne soeur au caractère bien trempé (dans l'alcool). Elle fume de l'herbe, aime faire des galipettes et n'a pas sa langue – ni son direct du droit d'ailleurs – dans sa poche. La justice divine, elle l'applique à sa manière, et c'est souvent à coups de Rangers dans les dents, mais toujours dans le respect de Jésus - le jardinier portugais du couvent.
Avec ce tome 1, les aventures de la bonne soeur la plus rock n'roll de la bande dessinée - entrées au catalogue Éditions Glénat BD à partir du tome 6 - sont enfin intégralement republiées en grand format et en couleurs ! Une nouvelle édition idéale pour apprécier dans les meilleures conditions le dessin virtuose de Maëster, enluminé de fort belle manière par Ruby.
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Les débuts de soeur Marie-Thérèse. C'est drôle mais c'est tout de même encore un peu fouillis dans les histoires et le dessin (principalement par rapport à ce que l'auteur fera après). Mais c'est un incontournable pour découvrir cette soeur frappadingue !
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Je ne connaissais pas cette série avant de découvrir un tome 6 qui caracole en tête des ventes. Je voulais dès lors en savoir plus sur ce phénomène. Je suis plutôt curieux de nature. Il est vrai que ce n'est pas le genre de bd que je commencerais à aborder de prime abord. Pourquoi cette bonne soeur plaît 'elle à autant de monde ?

Nous avons là une religieuse au caractère bien trempé dont les situations et les répliques sont autant de régal à la lecture. On se dit tout de suite qu'elle a dû rater sa vocation. Une bonne soeur alcoolique et usant de ses charmes ? A t'on déjà vu cela ? J'ai des amis bon chrétiens qui s'étoufferaient en lisant cette série. Il faut avoir un bon sens de l'humour car l'Eglise n'est point épargnée.
Cette bd respire un peu les années 80 dont je suis un peu nostalgique. On savait faire des personnages un peu subversifs loin de tout ces héros trop policés.

On ne pourra pas dire que c'est une bd commerciale avec seulement 6 tomes en près de 20 ans. le succès de cette série très sympa est largement mérité.
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C'est mon préféré de la série! le ton est donné dès la couverture et la page : 'Circoncis?!'
A partir de là, j'étais foutue: je suis devenue fan.
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Si on aime l'humour noir, trash, décalé, il faut se faire cette chère Soeur Marie-Thérèse des Batignolles !

Et par "se faire", je ne sous-entends pas juste qu'il faut lire ses bédés, parce que notre soeur, elle ne serait pas contre le fait de tirer un coup non plus…

Soeur Marie-Thérèse, c'est un cas à elle toute seule, à se demander ce qu'elle fout chez les bonnes soeurs car cette bonne vivante boit son litre de rouge, fume (même de la beuh), se pique, marche avec des écrases-merdes, fout des coups de poings à tout le monde, fait voler les chiards énervants dans un super-marché et a un fond raciste.

Notre Soeur Marie-Thérèse est aussi à sa place chez les bonnes soeur q'un éléphant dans un magasin de porcelaine et face à elle, le capitaine Marleau est un modèle de délicatesse subtile et de gentillesse incarnée. Si, si, je vous jure !

Oui, Soeur Marie-Thérèse est encore plus irrécupérable que l'adjoint Billy dans la série « Walter Appleduck » car contrairement à lui, elle n'a pas oublié d'être conne. Son cerveau marche du tonnerre et sa vision du monde est cynique au possible.

Constitué de planches en noir et blanc (je ne voudrais pas la lire en couleurs), le dessin de Maëster est assez caricatural.

À noter que le visage de la Soeur évolue entre le tome 1 et le tome 3. Dans les premières cases de ce tome, elle fait plus âgée et moins gro… Oups, pardon… Je voulais dire qu'elle semblait plus élancée alors qu'après, elle s'est empâtée… Aie je vais en prendre sur le coin de ma gueule si elle m'entend !

Le plaisir est de regarder ses cases dans leur entièreté afin de repérer les petits détails cachés en arrière-plan, ou écrit sur des panneaux. Je me marre toujours et j'en découvre encore (ou alors, j'avais oublié).

L'auteur se moque de la religion, c'est trash, bourré d'humour noir qui ferait tomber dans les pommes les plus sensibles d'entre nous, ou alors, les culs les plus serrés.

J'ai lu un nom de bar qu'on oserait plus nommer ainsi de nos jours… Ça commence par "A" et ça se termine par "bar" et le crier bien fort dans un magasin peut vous valoir de sérieux ennuis avec la direction, les flics, les clients… Y'en a qui ont essayé, ils ont eu des problèmes.

Soeur Marie-Thérèse n'est pas pour les âmes délicates… Ses albums sont à se faire prescrire en cas de panne de lecture, de coup de blues, de grisaille intellectuelle, d'anticléricalisme confirmé, ou tout simplement juste pour le plaisir (comme le chantait si bien Herbert Léonard)…

Hé, t'as envie de chanter maintenant, non ???

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Premier tome d'une saga dont je me délecte depuis sa découverte dans les pages de Fluide Glacial il y a quelques temps déjà.
Soeur Marie-Thérèse des Batignolles est une nonne et à des années lumière d'être une Sainte (Nitouche) ! Avec ce personnage totalement barré, Maester revisite la religion catholique et les Evangiles à sa façon car la bonne soeur ne cesse de jurer, fumer et picoler (elle raffole du vin de messe plus que de la messe en soi), cogner avec son sale caractère.
C'est complétement hilarant et c'est de l'humour tranchant, mais j'adore ce côté provocateur.
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Par la sainte culotte du petit Jésus, je ne crois pas qu'il existe de bd plus subversive et iconoclaste que celle-là !
Soeur Marie-thérèse, c'est du lourd ! Don Camillo à côté, c'est enfant de coeur et remue burette. Elle jure, pète, picole, pue des rangers et flanque une tourniole à qui accroche de trop près son sale caractère que seule une partie de jambe en l'air avec Jésus, le jardinier portugais du couvent atténue un peu.
On se demande comment l'évêché et la troupe des bondieusards a laissé faire ce Maester suppositoire de Satan.
Mais que Dieu me tripote, c'est drôle, bien foutu, sacrément bien dessiné genre caricature et Dieu sait que les desseins du Vieux sont impénétrables ! et farci de jeux de mots.
Je reviens dans un instant vous parler du tome 2. J'ai la collec complète !
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