Un des avantages de cette lecture (voire le seul), c'est que ma PAL est enfin débarrassée de ce gros volume. 572 pages, mais, fort heureusement, c'est écrit gros.
Alors, l'histoire se passe dans une ferme, dans les années trente. Des femmes mortes ou parties. Ne restent que le grand-père le père, la fille et les employés.
A dix-huit ans, la fille comprend que de lourds secrets pèsent sur la famille et le désamour se transforme en haine et en vengeance.
L'écriture est des plus classiques et laisse peu de place à l'imaginaire, ça se lit comme si on voyait les images, avec moultes descriptions.
Beaucoup de clichés, de contradictions, d'incohérence. Des grosses ficelles. Les sentiments évoluent sans trop de finesse.
Bref, un plus que moyen « roman de gare », et je ne pense pas lire d'autres romans de
Jacques Mazeau. J'ai quand même fait l'effort avec trois !