Blackwater, tome 2 : La digue

Tome 2 fini à l'instant. J'ai qu'une hâte commencer le tome 3 mais je vais entrecoupé mes lectures pour apprécier d'autant plus.

Beaucoup de péripéties, d'actions de rebondissements dans ce livre, on s'attache toujours plus aux personnages, certains plus que d'autres car il y en a qui montre une tout autre personnalité....

Second épisode de cette série : après la présentation de quelques personnages clés, ici les choses vont commencer à bouger un peu. La construction d'une digue va soulever quelques soucis.

N'étant pas la seule à être tombé dans cette histoire addictive, je ne vais pas en révéler plus sur ce titre. J'admire les couvertures, le texte est enchanteur et ne manque pas de piment.

"Perdido dans l'Alabama doit son nom à l'une des deux rivières qui la surplombent; l'autre s'appelle la Blackwater. Il ne fait pas bon se baigner à leur confluence, et les eaux n'ont jamais rendu le corps de ceux qui s'y sont retrouvés piégés. le jour de Pâques 1919, Elinor Dammert, dernière rescapée de l'inondation exceptionnelle qui a frappé la petite ville, raconte à son sauveur, Oscar Caskey, qu'elle n'a pas entendu l'ordre d'évacuation lancé presque une semaine plus tôt et est restée coincée dans sa chambre d'hôtel, sans boire ni manger…"

À méditer! Sur ce, je vous laisse réfléchir à ce qu'il a pu arriver et ce qu'il arrivera… Série coup de coeur.

Pour l'instant je me suis arrêtée au troisième épisode. J'essaie de lire des livres de plus de 500 pages pour me laisser le temps de faire mes retours en retard, je navigue entre ceux d'août et de septembre!

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Le chant des sirènes s'estompe à peine. Sur la plage, je vois les regards qui glissent sur cette couverture qui brille. La magie d'Elinor deguisée en Circé envoûte même ceux qui préfèrent le jokari à la lecture sur serviette. Blackwater, les eaux sombres qui emprisonnent les derniers rayons du soleil. Et les rotatives tournent pour ne laisser aucun libraire désoeuvré au cours de l'été. Ne pas avoir cette série sur table est à la fois une faute professionnelle et un manque criant de notion de hype.
Mais revenons à la digue. C'est là que nous nous étions arrêtés.

A Perdido, le projet de digue avance, au grand désarroi d'Elinor, toujours aussi mystérieuse, troublante et machiavélique. Son époux, lui, est toujours d'une deconcertante naïveté. Un personnage masculin à ce point inexistant, c'est admirable.
Dans la maison d'en face, Sister a décidé de passer la seconde et de faire appel à la sorcellerie pour trouver un mari, et elle jette son dévolu sur Early, l'ingénieur en charge de la digue. Mary-Love, elle, voit ses plans balayés, et ça la contrarie beaucoup. Elinor est un adversaire de taille et ses soutiens, Sister en premier lieu, s'avérent décevants. Sur fond de trêve de Noël, le feu couve sous la cendre et la rivière charrie bien des rancoeurs.

Cette saga familiale gothique et punk est d'une grande efficacité et il est bien difficile de résister à l'appel du suivant. Mais je me lance un défi. Est-ce que ce roman feuilleton sorti au printemps, qui a tout d'un succès d'été peut devenir la lecture idéale pour l'automne voire, attention, pour Halloween et tous les challenge à base de citrouilles ?
Et ça, c'est du cliffhanger.

Je me replonge dans les mystères de Perdido dans ce second tome dans lequel le style littéraire est toujours aussi divin.

L'auteur nous maintient dans ce monde sombre et mystérieux à chaque phrase et poursuit l'intrigue, nous faisant apercevoir un peu plus les secrets enfouis d'Elinor Caskey.

Le rythme de l'histoire permet une lecture fluide et agréable qui me pousse à poursuivre au plus vite vers le troisième tome: La Maison.

Je rédige cette critique après avoir lu le tome 3.

Ce tome 2 est celui que j'ai, pour le moment, le moins apprécié des 3 premiers, ma critique peut paraître subjective car j'attribuerai la faiblesse de celui-ci au passage de la digue qui m'a semblé un peu "longuet".

Disons que pour être plus objective, je suis tellement addict aux personnages, aux toiles d'araignées qui se tissent patiemment, que ce type de passage, plus descriptif et technique, n'ont fait que nourrir mon impatience à suivre la suite des personnages du clan Caskey.

C'est un tome où l'auteur place encore ses pions, on sent que quelque chose se prépare. Invraissemblance, pacte malsain, cachotteries, manipulation bienvenue à Perdido.

Ce qui en fait après tout un vrai page turner à mon sens, nous n'avons plus envie de nous arrêter.
Je lis pourtant quelques romans "sagas" entre chaque tome je fais toujours une pause c'est la première saga que je vais enchaîner à la suite.

Ça y est, je suis accro ! Après avoir lu très vite le premier volume, j'ai eu envie de lire la suite.
Le volume 2 s'intitule " la digue". En effet, suite aux dégâts engendrés par la crue du fleuve perdido, les habitants de la ville décident de construire une digue. Seule Elinor qui a une relation spéciale avec le fleuve, est contre.
On fait appel à un ingénieur Early Haskew qui va superviser les travaux et loger chez Marie-Love. Sister va devenir proche de lui et voir là l'occasion d'échapper à l'emprise de sa mère. Elle prend davantage sa vie en main dans ce volume. Elinor et Oscar ont un nouveau bébé, une petite fille, Frances, cette fois Elinor s'en occupera à 100%.
Le côté fantastique s'amplifie avec un mort inexpliqué et la penderie de la maison d'Oscar et Elinor qui semble hantée.
La suite dans le volume 3 !

Bon, sans surprise, j'ai enchainé avec le tome 2 (il faut bien le rentabiliser cet arrêt!).
Je ne reviens pas sur la qualité de la couverture, je tenais simplement à dire que cette fois j'avais porté un peu plus d'attention aux illustrations. Et celles-ci s'attachent à des détails qui apparaîtront au fil du volume. On la regarde donc différemment avant et après la lecture.
La digue donc. Ici c'est la ville de Perdido le personnage principal, et la famille Caskey et ses personnages secondaires. Elinor se met en retrait ici, mais c'est la force du personnage : elle est tellement puissante qu'elle ne souffre pas de ce recul. Elle est toujours la figure principale, qui passe juste en une sorte de filigrane. Elle laisse la place à Sister par exemple, à Grace, James ou Queenie, et Mary-Love, bien entendu.
Je suis tout de même un peu surprise par cette capitulation face à la digue. Mais comme tout, c'est bien amené.
Et la fin bien sûr, qui annonce un tome axé sur un élément classique et efficace du fantastique et de l'horreur : la maison.

Cric crac croc… Je n'ai fait qu'une bouchée de ce second tome de la saga Blackwater, « La digue » !!!
J'ai été ravie d'en retrouver tous les protagonistes, dont Elinor, la mystérieuse épouse d'Oscar apparue un des soirs de la grande crue qui avait ravagé la ville, et Mary-Love, la maman du même Oscar, qui ne voit pas d'un bon oeil l'arrivée de cette rivale et enchaine les coups bas afin de garder fiston à porter de main. Elle met ainsi tout en oeuvre pour permettre la construction de la digue qui protégerait Perdido d'une nouvelle crue, d'autant plus que sa belle-fille y est farouchement opposée (pourquoi ? Mystère, mais on se doute qu'il y a un peu de fantastique là-dessous). Cependant Mary-Love va se retrouver prise à son propre piège…
Comme je vous l'ai dit, on prend les mêmes et on continue : chacun évolue, tisse sa toile dans cette petite ville perdue de l'Alabama. Il y a des nouveaux venus, des drames aussi, et on se demande où Michael McDowell va bien nous emmener dans les prochains tomes.
Vite la suite !!!

Un très grand plaisir de reprendre cette série. Son deuxième volet se montre plus sombre que le précédent grâce aux mystères autour des fleuves et du personnage d'Elinor.

L'ajout des personnages secondaires est très appréciable et est annonciateur de beaucoup de nouveautés dans la ville de Perdido et dans l'intrigue.

Je suis très étonnée, de la rapidité à laquelle j'ai lu ce roman.
En 3 petites soirées, c'était fini.
J'ai trouvé un peu plus d'intérêt dans cette lecture que dans celle du tome 1. Peut-être le précédent, n'était qu'une mise en place des personnages.
Ici, il y a un peu plus d'événements, et j'aime beaucoup le côté "rébellion contre la matriarche".
Mais je pense que pour vraiment apprécié, il faut lire la série dans son ensemble. Ce que je ne vais pas tarder à faire.