Blackwater, tome 2 : La digue

Je viens de terminer le second volet de la série Blackwater, qui connaît un grand succès. Bien qu'appréciant toujours énormément ma lecture, je reste un peu étonnée de l'engouement suscité. En effet, le style du récit est assez lent, descriptif, le suspens ténu. Mais, comme toujours, les couvertures de Monsieur Toussaint Louverture étant superbes, elles méritent à elles seules amplement un achat, je le conçois… Dans ce second volet, vous l'aurez compris, il est essentiellement question de la digue, censée protéger Perdido d'une nouvelle crue (voir le premier tome). L'ingénieur, chargé de son élaboration et de sa construction, vient d'emménager chez Mary-Love, jamais à court d'idées pour ennuyer sa belle-fille, Elinor, totalement opposée au projet. Pour cette dernière, il n'y aura plus jamais de crues et il n'est pas bon de déranger ainsi le cours d'une rivière. Sister, la fille de Mary-Love est un personnage qui prend de l'ampleur dans ce second volet, et sa mère n'avait pas vu le danger, et les changements, venir de ce côté. L'énorme chantier transforme la physionomie de la ville. Elinor grince des dents et prend son mal en patience… Ce second tome est toujours emprunt de l'atmosphère semi fantastique qui régnait dans le premier, ce qui n'est pas désagréable, car elle est vraiment traitée de manière très subtile. J'ai cependant été moins emballée par ce second volet, moins étonnant et moins pourvu de rebondissements, ce qui pour autant ne m'empêchera pas d'acheter le troisième tome, je pense. J'aime bien l'idée de suivre cette famille entourée d'arbres et de boue comme une saga ou un feuilleton d'été.
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C'est toujours avec autant de plaisir que je continue ma lecture de la saga Blackwater, qui nous narre les aventures de la famille Caskey. J'en suis d'ailleurs à la moitié du tome suivant 🙂

Millieu de la décennie 1920, toujours à Perdido, Alabama. La mystérieuse Elinor a réussi à s'imposer au coeur du clan Caskey et fait désormais partie de la famille, au grand désespoir de sa belle-mère Marie-Love.

La guerre entre les deux femmes fait rage et se cristallise autour de la construction d'une digue, à laquelle s'oppose viscéralement Elinor en raison des liens profonds qu'elle nourrit pour la rivière.

Un deuxième tome qui tient ses promesses. de nouveaux personnages arrivent et d'autres s'étoffent, comme Sister, la fille de Marie-Love, qui sort de sa passivité. Les personnages noires semblent mieux considérés, notamment la jeune Zaddie, amie de Frances et estimée par Elinor. Mais l'on reste dans une société raciste, dans le sud des États-Unis, dans les années 20.

La digue va-t-elle un jour voir le jour ? Comment Elinor survivrait-elle sans la Perdido ? D'ailleurs, quel lien l'unit à la rivière ?

Encore beaucoup de mystère mais l'auteur avance ses pions petit à petit. L'univers gothique se développe, surtout au cours du dernier chapitre qui nous offre une description tout a fait horrifique de la maison, ouvrant la voie au feuilleton suivant intitulé «la maison».

Vite, vite, vite ! La suite 🤗

Deuxième tome de cette série qui fait sensation. Comme son titre l'indique, nous sommes plongés dans la construction de la digue. Elinor a capitulé ; elle n'a pu influencer le choix des habitants. Sa belle rivière sera donc prise entre des murs d'argile. En même temps que la construction, les barrières continuent de se dresser dans le clan Caskey. Les relations sont tendues, et les guerres intestines persistent dans la famille. Un nouveau personnage fait son apparition, Quennie, soeur de la défunte Genevieve, dont les intentions ne semblent pas très claires. L'histoire se complexifiée, pour le plus grand bonheur du lecteur. Une saga qui mérite toute l'attention qu'elle suscite. Vivement le tome 3 !

La digue : tout le monde ne parle plus que de ça à Perdido. Mais si toute la ville semble apprécier l'idée, Elinor s'y oppose farouchement. Quant à Mary-Love, prête à tout pour contrarier sa belle-fille, elle ne se doute pas qu'elle va perdre à son propre jeu de manigances.

Encore un tome que j'ai lu avec beaucoup d'enthousiasme. Certains personnages secondaires prennent plus de place et manipulent à leur tour les intrigues diverses menées par Elinor et Mary-Love. J'avoue que c'est fort distrayant.

Le côté fantastique/horrifique plane par petites touches sans être omniprésent. Il frappe de façon violente et inattendue, me surprenant à chaque fois.

C'est une saga familiale qui me plaît bien.

En finissant la lecture du Tome 1 de Blackwater je n'avais qu'une hâte attaquer la suite avec "La Digue". Aucune déception, ce tome est égal au premier. Les coups bas entre Mary-Love la matriarche du clan Caskey et sa belle-fille Elinor sont légions. Les attaques sont multiples et imprévisibles.
Sister la jeune soeur d'Oscar alliée de sa mère voit clair dans le jeu de sa mère et ne souhaite qu'une chose m'émanciper. Elinor manipule de plus en plus son mari Oscar pour qu'il sorte des jupons de sa mère. La guerre entre les femmes de Perdido fait rage.
La digue se construit au grand désespoir d'Elinor qui l'accepte malgré tout mais que nous réserve t'elle ?
Comme je ele disais au début ce deuxième tome est égal au premier en donnant envie d'en savoir plus sur Elinor qui est-elle vraiment? le clan Caskey va-t-il imploser ? La Perdidio et la Blackwatr vont-elles se rebeller en noyer de nouveau la ville ?

Nous reprenons là où le tome 1 s'est arrêté. Elinor et Oscar se sont installés dans leur nouvelle maison, laissant à Mary-Love, la mère d'Oscar, leur fille Miriam. La guerre entre Mary-Love et Elinor est intense, glaciale. Chacune fait de son mieux pour mettre des bâtons dans les roues de l'autre. Mary-Love le fait frontalement en invitant un bâtisseur à construire une digue pour empêcher une nouvelle inondation. Elinor, grande adoratrice de la rivière Perdido, le prend très mal. En parallèle à ça, débarque Queenie, la belle-soeur de James, qui fuit un mari violent.

CW: violences conjugales, esclavage, racisme, validisme

Eh bien.
Ce que j'adore avec cette saga, c'est la gestion du temps. On ne s'attarde pas pendant des pages et des pages sur les événements. On avance. On fait des ellipse temporelles assez larges. Quatre ans se passent d'un coup sans qu'on ait le temps d'éternuer. On ne se perd pas avec les détails inutiles, on va à l'essentiel. Et en même temps, on prend le temps de détailler certaines choses, certaines scènes, certains événements.
Les personnages sont détestables et attachants en même temps. Et puis il y a James, le personnage le plus positif et attachant dans cette histoire.
Contrairement au tome 1, il y a un peu plus de sororité (Queenie et Elinor qui deviennent amies par exemple).
L'ambiance est là, pesante. L'horreur donne une grosse claque et réveille le lecteur d'un seul coup J'ai eu le coeur brisé pour ce pauvre John Robert... J'ai eu vraiment du mal à m'en remettre.... le mystère plane et, de temps en temps, laisse tomber quelques petites gouttes parmi les lignes du livre et dans la tête des personnages, principalement des enfants.

C'est addictif et je ne regrette vraiment pas d'avoir attendu la sortie des six tomes pour pouvoir les enchaîner.

A Perdido, chaque personne attend avec impatience la construction de la digue qui leur permettrai d'être à l'abri d'une nouvelle crue des deux rivières qui traversent la ville. Tout le monde sauf Elinor qui voit d'un mauvais oeil que sa maison si durement acquise n'ai plus vue sur l'eau rouge de la Perdido.

La saga familiale se poursuit sur environ cinq années pour ce deuxième tome. Elinor et Oscar sont confortablement installés dans leur nouvelle maison et Elinor tombe rapidement enceinte. A coté la belle mère et la belle soeur poursuivent leur intrigue contre celle qui leur a ravit leur cher Oscar. Quant à James il va voir débarquer la soeur de sa défunte femme qui fuit un mari violent.
Une saga familiale dans laquelle on se plonge avec plaisir pourtant, quand on referme le livre, on se dit qu'il ne s'est pas passé grand chose et que les manigances de Marie-Love Caskey envers sa bru sont quelques peu redondantes. Mais il y a dans ce récit un petit quelque chose d'addictif. le côté fantastique n'est évoqué qu'à deux reprises et reste très mystérieux tout comme sa protagonistes, Elinor. D'ailleurs ce n'est pas vraiment elle qui tire son épingle du jeu de ce tome 2, mais plutôt la très effacée Sister. Sous la coupe de sa mère depuis le tome un, elle se révèle dans ce tome deux un caractère affirmé et un sens de la ruse tout à son honneur. Comme à leur habitude les hommes n'ont pas le beau rôle : violent ou complétement manipulé par les femmes, ces derniers sont vraiment des faire-valoir!

Petite mention pour l'effort fourni dans l'objet avec cette très belle couverture métallisée! Un plaisir des yeux avant un plaisir de lecture, c'est toujours appréciable!

Aussi addictif que le premier tome, on assiste ici à la construction d'une digue visant à éviter une nouvelle crue dans la ville de Perdido.
En parallèle, la scierie se développe, un nouveau personnage apparaît dans ce tome, queenie qui est la soeur de Geneviève, et qui arrive avec ses deux enfants.
Elinor est toujours aussi mystérieuse, et sa fille commence à s'interroger sur sa familiarité avec la rivière et sur la penderie dans la maison.

Je reste vague car je n'aime pas spoiler, mais je peux vous dire qu'il se lit tout aussi vite et bien que le premier et que cette saga est addictive. le deuxième tome bouclé, j'ai hâte de lire la suite !

Ce second volet est axé sur la construction de la digue devant servir à protéger la ville des prochaines crues. Si toute la population semble enthousiaste à l'idée du nouveau chantier, ce n'est pas le cas de la mystérieuse Elinor qui ne voit pas d'un très bon oeil l'arrivée de l'architecte et des ouvriers. J'ai retrouvé avec plaisir la fluidité de l'écriture que j'avais apprécié dans le premier tome. L'arrivée de l'aspect fantastique de la saga arrive sur la pointe des pieds, c'est justement dosé et encore entouré de mystères qui ne demandent qu'à être élucidés dans les tomes suivants. J'ai bien aimé le personnage de Sister qui donne du fil à retordre à sa machiavélique mère. le moins que l'on puisse dire c'est que cette dernière a de la suite dans les idées et, prend un malin plaisir à s'immiscer dans la vie de ses enfants. Si Elinor, quant à elle, semble rester un peu en retrait on devine qu'elle tire ingénieusement les ficelles du devenir de cette petite ville. Les derniers chapitres laissent entrevoir une suite bien surprenante, je lirai donc le troisième tome, sûrement le mois prochain pour garder le rythme.

Tome 2 fini à l'instant. J'ai qu'une hâte commencer le tome 3 mais je vais entrecoupé mes lectures pour apprécier d'autant plus.

Beaucoup de péripéties, d'actions de rebondissements dans ce livre, on s'attache toujours plus aux personnages, certains plus que d'autres car il y en a qui montre une tout autre personnalité....