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Quel méli mélo ! tout est mélangé, les époques, les personnages, les pays, wouah je me suis complètement paumée dans ce bouquin ! Dommage car j'en attendais bien plus, et bien meilleur. Je ne retiendrai rien de ce livre. trop fouillis. Pourtant de bons avis, et pourtant encore j'aime le roman choral; donc je ne sais pas où cela a pêché ?

Passons à autre chose.
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Construction curieuse que ce premier roman ! Trame de 1958 à 2027. Plusieurs pays : Irlande, Chine, Mexique, Allemagne, Canada et surtout l'état de l'Illinois. Des personnages arrivent sur lequel il faut se concentrer car c'est au lecteur de faire le lien. Un mineur, un clandestin, un fermier cultivateur de beuh, une irlandaise avec sa fillette, une femme professeur de piano. J'arrête là ça fait déjà beaucoup d'autant que le roman n'est pas long. L'originalité est que le lecteur sait ce qui les relie contrairement aux personnages.
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Assez déçue par ce premier roman de Paula Mcgrath, autant j'avais aimé "la fuite en héritage", autant celui-ci, pourtant construit sur le même schéma m'a paru raté. J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, à trouver le lien entre tous ces personnages et à vrai dire, je me suis ennuyée.
Mais, c'est juste mon avis.
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Irlande, Canada, Mexique, États-Unis, Japon, Allemagne… des pays et des continents différents ; Carlos, Aìne, Kane, Judy, Daisy, Franck, Makiko, Vicky… des hommes, des femmes, des enfants d'origines diverses. 1958, 2010, 2016, 2027… écoulement du temps, succession des générations. Sur un fil, des lieux des gens des époques des noeuds, des migrations et des fuites en avant, des rencontres et des traumatismes, des espoirs et des désillusions. Mémoire et douleurs profondes.

Tous ou presque côtoient pourtant à un moment, court ou long, Joe Martello, dans l'Illinois. Agriculteur rustre, Joe tient une ferme bio dans laquelle se croisent travailleurs mexicains et woofers – écovolontariat. de l'autre côté de l'Atlantique, Aìne, une jeune femme irlandaise, récemment divorcée, mère d'une petite fille de cinq ans a un besoin irrépressible de changer d'air. Après quelques échanges sur skype avec Joe, elle s'envole pour l'Illinois, seule d'abord, puis y retourne avec Daisy sa fille… Carlos, lui travaille à la ferme. Pas encore régularisé, il rentre deux, trois fois par an chez lui, au Mexique. Grâce à l'argent qu'il ramène, sa grande fille étudie le droit. Pour faire leur bonheur, il est loin des siens… Les parents de Joe, Judy et Franck ne voient pas souvent leur fils. Sa mère, qui lui appris le piano, est devenue obèse de désespoir, son père lui a vendu la ferme… Kane, petit élève doué de Judy est enlevé un jour à la sortie de l'école par sa propre mère pour ne pas avoir à partager sa garde… Vicky, une ancienne amie, croise Joe sur un marché, l'un et l'autre semblent troublés…

Personnage ténébreux et inquiétant, Joe impressionne et fascine Aìne. Elle ne le sait pas mais l'homme a eu plusieurs vies ; musicien prodige, instituteur… Mais quand elle découvre, un ordinateur portable dissimulé et qu'elle regarde l'historique, elle prend peur et sa fille dans les bras, elle s'échappent… Bien des années plus tard, la fille d'Aìne reviendra sur les lieux et se souviendra brutalement des effroyables chauves-souris du grenier de la ferme de Joe.

Un roman captivant et parfaitement maîtrisé qui se lit comme un thriller. Un style vif, des alternances de points de vue, des ellipses (trop, peut-être) ; on voyage dans le temps et dans l'espace, on suit les gens sur plusieurs générations, le livre est dense et foisonnant et pourtant il ne fait que deux cents pages !
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Voici encore un roman que j'ai emprunté à la bibliothèque sans trop en savoir à son sujet, et croyez-moi, c'est comme cela que l'on se procure les meilleures lectures ! Je savais que l'auteure était irlandaise, mais ignorais que l'essentiel du roman se déroule dans l'Illinois. Surprenant, ce roman fait appel à l'acuité du lecteur, l'incite à prendre des indices pour combler une première ellipse temporelle, puis une deuxième, l'encourage aussi à faire des déductions concernant les rapports entre les personnages.
On y croise d'abord un immigrant irlandais qui se tient à l'entrée d'un puits de mine canadien en 1958, et qui y travaillera de longues années… Ensuite, Aine, une trentenaire, en 2010, aspire à changer de vie, et débarque d'Irlande pour passer quelques temps en bénévole dans une ferme biologique de l'Illinois. Elle se lie avec Joe, le propriétaire… Ensuite d'autres personnages apparaissent dont on ne connaît pas immédiatement l'importance dans l'histoire, qui semble se tisser autour de Joe, l'agriculteur, individu plus trouble qu'il n'y paraît de prime abord.

C'est un de ces romans où la tension créée par une construction efficace pousse à avancer, et qui réussit encore et encore à étonner, jusqu'à la fin. Il s'avère passionnant sur le thème du passage de relais entre générations pas forcément consécutives. Des sortes de sauts générationnels apparaissent entre les lignes de l'histoire, et les rapports entre les protagonistes deviennent alors plus clairs. le thème de l'immigration, de ses causes et conséquences, des attentes qu'elle porte et des déceptions qu'elle engendre, et là encore des impacts sur les générations suivantes, apparaît en filigrane, sans lourdeur, ni morale.
Une jolie découverte que ce premier roman un brin déroutant, comme je les aime, et une jeune auteure irlandaise à suivre, indiscutablement !
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Il y a des livres comme ça, on les lit quasiment d'une traite, happés, transportés. Avec Génération, ce premier roman de l'irlandaise Paula McGrath, la magie a opéré dès les premières pages. C'est mon coup de coeur de la rentrée littéraire.

Si l'on ne veut pas tout dévoiler, ce livre n'est pas simple à chroniquer. Il commence en 1958 avec un émigré irlandais dans une mine d'uranium au Canada, puis continue en 2010 dans une ferme bio de l'Illinois. A travers les continents et les générations, la musique et les secrets, en passant d'un personnage à un autre, Paula McGrath a créé un récit rythmé, épuré. Sans aucun temps mort, elle touche à l'essentiel. Entre chaque chapitre, parfois, le lien – toujours présent – n'est qu'esquissé, et cette confiance dans l'intelligence du lecteur – car c'est un choix de l'auteure de ne pas trop en dévoiler -, apporte encore au plaisir de la lecture. Ajoutez à cela une écriture souple, maîtrisée, brillante – et une traduction magnifique -, un suspense parfois haletant… Génération se dévore tout autant qu'il se déguste.

Lors de la rencontre avec Paula McGrath au café Hibou en novembre dernier, elle nous a confié que ce roman lui est venu par la scène où Joe est au marché. Après sa publication sous forme de nouvelle, les lecteurs ont voulu en savoir plus sur Aine (se prononce Awn-ya, c'est le prénom Anne en gaélique). Elle a donc développé cette histoire. Comme si la poussière d'étoiles de son imagination prenait forme à mesure en composant lunes et planètes, les personnages et leur histoire ont pris corps en nouvelles ayant chacune un lien ténu entre elles. Paula McGrath a réussi à orchestrer cette vaste composition, ce continuum jouant de l'espace et du temps, pour finalement former la galaxie à part de ce roman.

Et vous savez quoi, petits veinards ? Génération sort aujourd'hui en librairie. Je vous envie, vous qui allez découvrir cette histoire pour la première fois.
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Et si l'Amérique ne faisait plus rêver ...

Le titre de ma chronique pourrait le laisser supposer mais non ... Donald Trump n'apparaît pas dans le roman de Paula McGrath. En revanche, de nombreux personnages se frottent à des époques différentes au rêve américain.Ils s'y frottent et s'y blessent. Certains évoqueront un récit décousu, une trame un peu lâche. Je le "confesse", le roman choral où les liens entre personnages sont subtils, voire sous-entendus, est mon péché mignon. J'aime être une lectrice active, à l'affût des indices, parfois ténus,qui font avancer l'histoire. La construction de ce livre m'a donc beaucoup plu.

Dans Génération, le personnage central me semble être l'Amérique, ardemment désirée et finalement décevante.
Dans les années 60, une jeune Irlandais retourne au pays le temps d'une " veillée américaine". Il partage l'exaltation et la tristesse de ceux qui quittent leur "île émeraude" pour cet "Ailleurs" supposé meilleur. C'est ainsi qu'il se retrouve, pendant quatre ans, près de Chicago, à descendre dans la mine chaque matin. Il économise pour expédier de l'argent en Irlande et pour acheter une ferme. Il ignore que sa petite-fille partira sur ses traces en 2027 et trouvera son nom dans la Liste des Mineurs au musée d'Elliot Lake.

Sans transition apparente, nous découvrons Joe, un quarantenaire, agriculteur bio, fumeur de cannabis, sale comme un peigne mais dont la beauté brute peut plaire.Nous sommes en 2010, à l'ère de Skype et du woofing. Il se cherche de la compagnie féminine par Internet et séduit à distance Aine, fraîchement divorcée, que son emploi de bureau ennuie. Joe et sa ferme dans l'Illinois la séduisent, ils incarnent le changement, l'espoir d'une vie plus palpitante. Aine, qui est la fille de notre mineur, va quitter l'Irlande pour tenter sa chance. Elle débarque avec Daisy, sa fillette de cinq ans pour six semaines. le temps d'un été, elle veut vérifier qu'une autre existence est possible. Son rêve va -t-il résister à la réalité ? Aura-t-elle plus de chance que son père ?

Carlos, un ouvrier mexicain de la ferme de Joe, lui, sait depuis longtemps que l'Amérique donne peu et prend beaucoup. Elle lui a pris son neveu Antonio, lors d'un passage illégal de frontière. Elle lui a volé l'enfance de ses filles qu'il n'a pas vues grandir. Elle lui donne un maigre salaire et de trop nombreuses soirées en solitaire. Il ne vient pas de la verte Irlande mais n'en est pas moins un exilé.

Des exilés, le roman de Paula McGrath en compte beaucoup d'autres, comme Judy l'Allemande,ou Makiko, la Japonaise. Tous ne quittent pas leur pays pour les mêmes raisons.Mais ils ont au moins deux points communs : la désillusion et la nostalgie. Pour l'auteure, l'Amérique est un mirage, une belle image, une pépite qui ne serait qu'un vulgaire caillou recouvert de peinture jaune.
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Tout d'abord, je tenais à remercier les éditions de la table ronde ainsi que la masse critique de Babelio pour m'avoir permis de découvrir ce titre.

Dans ce roman, beaucoup d'éléments m'attiraient : les choix d'une immigration, le besoin de partir, l'Irlande en toile de fond, etc. Des aspects qui me paraissaient important pour ma lecture. Mais (et c'est bien là le problème), tous ces éléments ne l'ont pas fait pour moi. Je me suis retrouvée perdue par une lecture qui démarrait bien, puis qu'y petit à petit s'est mise à partir dans tous les sens.

En grandissant on (en tout cas moi) devient plus exigeante. J'aime de nombreux genres littéraires ou styles d'écritures ce qui me permet de ne pas me dégouter de la lecture. Je mange à tous les râteliers afin de justement me nourrir convenablement. Mais lorsqu'un texte ne me correspond pas, je le sais très vite. Ici j'ai eu un gout de trop peu.

Dans ce roman, j'ai apprécié la mise en place de notre situation. Une jeune femme décide de partir avec sa petite fille, pour se retrouver. Notre sujet est amené de manière progressive et c'est avec plaisir que l'on découvre nos personnages. Mais mon intérêt c'est bien vite limité, car lorsque l'intrigue devient captivante, l'auteure arrête tout et nous fait un bon dans le temps, en nous présentant un nouveau personnage. le texte aurait pu être plus long, pour amener ces différentes vies à avoir chacun une réelle profondeur. Malheureusement ce n'est pas le cas et très vite, on réalise que l'histoire s'arrêtera là avec tellement de zone d'ombre que cela m'a empêché d'apprécier le récit. Je ne suis pas contre laisser des blancs pour faire place à notre imagination, mais là cela m'a semblé bâclé …

Je referme ma lecture très déçue par cette histoire qui ne parvient pas à me donner ce que j'attendais : un récit intrigant sur l'immigration. A la place on survole de nombreux points de vue sans jamais les approfondir. Et malgré mon goût pour les romans de la table tonde, j'ai trouvé celui-ci bien en dessous de ce que j'ai pu lire chez eux. Les thèmes principaux sont les mêmes, mais ils sont amenés ici de manière bancale, pour nous laisser sur notre fin sans jamais plonger dans le vif du sujet. Avec des personnages qui manquent profondément de profondeur, on tente de nous faire comprendre des choses mais sans la finesse requise. Vous l'aurez compris, une lecture bien trop mitigée à mon goût.
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Opération masse critique janvier 2017.

Au début du siècle passé, un hongrois établit la théorie des "six degrés de séparations": toute personne ici-bas peut être reliée à une autre en six maillons . Et c'est l'objet de ce livre: quel rapport entre un pianiste prodige de père allemand et de mère japonaise élevé en Amérique puis au Japon, et un irlandais mineur de fond au Canada? Quel lien entre une prof de piano dépressive et obèse et un barman amoureux d'une institutrice? Entre une irlandaise en séjour dans une ferme de l'Illinois et un ouvrier agricole latino ?
C'est un roman magistralement construit, un kaléidoscope passionnant, un voyage entre les générations et les pays, entre les cultures et les points de vue. Plongez sans hésiter!
Et coup de chapeau à la traductrice, Cécile Arnaud.
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Voici le premier roman de l'Irlandaise Paula McGrath qui sera dans toutes les bonnes librairies le 12 janvier.

Les pages s'ouvrent sur l'année 1958. le narrateur tutoie un personnage, un Irlandais planté devant l'entrée d'une mine d'uranium. Celle d'Elliot Lake, Canada. Les Russes ont mis en orbite Spoutnik. Les Américains voient rouge. L'Irlandais, dont on ignore le nom, est un immigré comme un autre qui répond au besoin de main d'oeuvre des Canadiens dont "Les mineurs (...) n'arrivent pas à tenir la cadence." :
"C'est pourquoi tu es là, loin de chez toi. Tu as vingt-cinq ans. Tu ne sais rien de ton avenir, de la femme que tu épouseras, de vos futurs enfants : l'inconstante, le sérieux, et celui qui défera tout ce que tu t'apprêtes à commencer."
Mais c'est l'année 2010 qui va occuper le coeur du roman, où chaque chapitre va porter le nom des personnages qui vont construire l'intrigue sous nos yeux. le temps d'un printemps et d'un été. Joe est un fermier bio de l'Illinois. Célibataire et mal léché. C'est ainsi qu'on le découvre. Il surfe sur le web et sur Skype pour harponner une femme qui s'occuperait de sa ferme. La dernière a foutu le camp, c'était une Chinoise, dit-il. Il embauche des wwoofeurs pour la récolte de fruits et légumes. Mais qu'est-ce que c'est que le wwoofing ? Une sorte d'économie du partage : des personnes proposent leurs services bénévolement et temporairement en échange de logis et nourriture. Une manière de servir la cause écolo de l'agriculture bio et d'apprendre un autre métier. Avec son pendant d'exploitation... Pour Joe, ça permet un renfort de main d'oeuvre gratis aux Mexicains qu'il emploie.
"C'est la fin de la journée, les laitues sont en promo. Je fais aussi un prix sur les coeurs de boeuf. Elles sont extra avec de la mozzarella, du basilic et un filet d'huile d'olive. Sentez-mois ça." Allez, ça le fait, un fermier bio, ça séduit la clientèle, surtout féminine. C'est l'image qu'il donne au grand jour.
De l'autre côté de l'océan, en Irlande, Áine, jeune femme divorcée, mère d'une petite Daisy, entend parler par sa collègue du wwoofing. Parce qu'elle a besoin de s'aérer et d'élargir son horizon, elle lance dans l'aventure. Elle envoie un mail @joelefermier@hotmail.com ! :)

Le début d'un thriller qui ne dit pas son nom. Dès les premiers instants, nous savons, nous lecteurs, que Joe n'est pas un type totalement clair. Sans pour autant savoir pourquoi. Au début, on pense juste que c'est une caricature du fermier célibataire qui profite de la technologie moderne pour trouver des femmes. Il est grincheux, méprisant, sarcastique et sale - il vit dans une ferme qui rivalise avec une porcherie.
Áine est une femme intelligente qui s'aperçoit, mais pas tout de suite, qu'il y a un souci... Elle est curieuse, courageuse qui ne va pas hésiter à mener sa propre enquête. Jusqu'à la fuite nécessaire pour protéger sa fille.
Pourtant, peut-on maîtriser la destinée des siens ? Quels impacts ont nos décisions sur la génération suivante ? Un des leitmotivs du roman, qui évoque aussi les familles éclatées, recomposées et pourtant liées à travers les continents et le temps. Quels souvenirs garde-t-on en mémoire ? Et de quelle manière la mémoire réécrit-elle ce qui s'est passé ?

J'ai aimé l'écriture originale de Paula McGrath, magnifiquement traduite, la diversité des tons et styles qui émaillent les histoires de ce récit aux multiples personnages, tous reliés par un fil d'Ariane ténu, sur plusieurs continents et plusieurs générations.
L'écrivain joue magnifiquement avec l'ombre et la lumière : de Spoutnik qui tutoie les étoiles aux mines d'uranium que creusent des immigrés; de l'habitation crasseuse de Joe, (qui a tout de la scène des chiottes toilettes de Trainspotting), à ses plantations "bio" bien proprettes .
Un joli coup de griffe aussi sur l'exploitation humaine. Sous toutes ses formes..
Un roman court mais dense, tout en mystères et non dits. Paula McGrath tient le lecteur en haleine par une écriture kaléidoscopique où pourtant tout se tient dans une logique implacable. Impressionnant. Palpitant. Et effrayant par moments. On n'a pas le temps de s'ennuyer !
Une fiction très moderne, contemporaine et aussi inter-générationnelle, émaillée références cinématographiques, dont on ressent une ambiance parfois digne de Hitchcock (je pense en particulier à la scène du champ de maïs...).
Une plume irlandaise à suivre, c'est certain.


Lien : http://milleetunelecturesdem..
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