Gardiens des cités perdues, tome 1

Je suis sûr que tu n’as aucune raison de t’inquiéter, dit Alden

Avant de lire Gardiens des cités perdues, je ne lisais que des bandes dessinées ou des livres de moins de 100 pages. Alors, lorsque j'ai vu la tranche de ce livre, je me suis dit que je ne le lirais jamais. Ce livre m'a été offert par ma meilleure amie. Un jour, je me suis lancée : 1 page, 2 pages... Je ne dormais plus ! J'ai lu pas mal de livre par la suite
( énormément ) mais gardiens des cités perdues est mon plus gros coup de cœur ! Si vous avez aimé ce livre, je vous encourage à lire la guerre des clans ou le pays des contes.
Je ris, je pleurs... Ce roman me fais vivre pleins d'émotions. Je suis une passionnée ( en même temps j'ai lu tous les livres de la séries au moins 15 fois ).
Certains personnages sont vraiment agaçants mais en même temps je les trouve très attachants.
L'histoire est très complète et logique.
C'est un roman d'aventure et fantastique mais les histoires d'amour s'en mêlent aussi. Un suspens HORRIBLE à la fin de chaque tome : ON NE DORS PLUS !!! Aucun risque de s’ennuyer. Les illustrations sont toujours aussi magnifiques : Merci Jason Chan !!!
Merci à toute l'équipe qui arrive à sortir un aussi beau roman qui ne cesse de s'enrichir et s'améliorer

Cette nuit-là, Sophie rêva que les elfes des biscuits la retenaient en otage jusqu’à ce qu’elle ait maîtrisé toutes leurs recettes. Puis elle leur disait préférer les Oreo, et ils essayaient alors de la noyer dans un grand chaudron de caramel mou. Elle se réveilla en sueur et décida que le sommeil, c’était surfait.

- Nous savons combien tu es occupé, lui dit Della en lui ébouriffant les cheveux avant de lui tendre un verre de vin de pétillante.
- C'est ça. Occupé à jongler entre deux copines, plutôt, lança Keefe.
Alvar esquissa un sourire.
- Trois.
- Trois ? s'exclama Della d'une voix horrifiée. Alvar, c'est épouvantable!
- Vous voulez rire? C'est génial! corrigea Keefe. Tu es mon héros.

-Tu crois vraiment que je vais sauter ?
- Je peux te pousser si tu préfères.
-Ne t'avises même pas d'essayer !
-Très bien, alors saute. Je compte jusqu'à cinq.

Elle manipula le disque, ordonnant à ses mains de dévisser le couvercle comme Fitz le lui avait indiqué. Mais elle en était incapable, elle ne pouvait pas partir sur un mensonge :
- Surtout... Surtout n'oubliez pas que je vous aime. Je vous serai éternellement reconnaissante pour tout ce que vous avez fait pour moi. Je dois m'en aller maintenant, mais je ne vous oublierai jamais.
La vue brouillée par les larmes, elle retenait sa respiration et tordait le disque entre ses mains. L'air s'engouffra entre ses doigts à mesure que le gaz s'échappait, et elle le lâcha avant de reculer. Elle parvint à compter jusqu'à trente (pour laisser le temps au gaz de se dissiper) avant de reprendre son souffle et de s'écrouler au sol le visage enfoui dans ses mains.

Elle aurait voulu disparaître… Exactement le genre d’attention qu’elle s’efforçait à tout prix d’éviter ! La raison pour laquelle elle portait des couleurs ternes et restait toujours à la traîne ou au fond de la classe, dissimulée par les autres élèves, qui la dépassaient d’au moins une tête. Quel autre moyen avait-on de survivre quand, à douze ans seulement, on se retrouvait en terminale ?

La drogue l'entraînait dans un sommeil sans rêve, mais elle lutta, se raccrochant au seul souvenir susceptible de dissiper un tant soit peu ce brouillard noir comme de l'encre. Deux yeux magnifiques, couleur aigue-marine. Ceux de Fitz. Son premier ami dans cette nouvelle vie. Son premier ami tout court.

- Merci pour ton aide. Sans toi, je ne sais pas comment j'aurais pu supporter cette journée.
Il s’éclaircit la gorge.
- Je ne mérite pas ta gratitude.
- Pourquoi ?
Il tapa du pied.
- Parce que... je savais ce qui allait se passer, mais je ne t'en ai pas avertie quand je t’ai ramenée ici. Je n'avais pas pensé que ceserait si difficile pour toi de quitter ta fa mille. Pas avant de te retrouver par terre. J’ai l’impresion d'avoir gaché ta vie.
- Fitz.

Aussi étrange que cela pulsse paraltre à Sophie, les elfes possé dalent leurs propres traditions. ce qui à bien y réfnéchir, lui semblait également logique. Ils vivalent dans un monde à eux, dont elle avait tout à apprendre le plus vite serait le mieux si elle ne voulait pas toujours pas ser pour une idiote.