Sous le ciel des hommes

J'étais enthousiaste en commençant ce livre. Diane Meur m'avait épatée avec «  la carte des Mendelssohn » livre original au style flamboyant. le début s'annonçait bien avec un auteur en panne d'inspiration vivant dans une principauté proprette et sans saveur', mais aussi d'autres personnages bien marqués : femme arriviste, intellectuels universitaires qui pensent révolutionner la pensée, vieux mentor, migrants. Je me suis perdue dans tous ces personnages, ces écrits théoriciens verbeux et barbants ( j'ai fini par les sauter) et aussi découragée. Je ne vois pas où l'auteur voulait en venir. Personne où presque est sympathique, et il y a fort peu de nuances dans les personnages «  pauvres gentils » « aisés méchants ». Pourquoi ce pays fictif ?
Au 2/3 du livre j'ai retrouvé un peu d'intérêt malheureusement pour trop peu de temps. Il y a pourtant de très belles qualités dans l'écriture mais cela n'a pas suffi pour sauver le livre. Je suis ressortie bien déçue.