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Citations sur Les Promesses du ciel et de la terre, tome 3 : Le Gra.. (6)

La fin de la grande fresque de Claude Michelet avec en toile de fond l'immense chantier du canal de Panamà.
On parviendrait presque à prendre une pioche pour accompagner les compères dans ce milieu hostile qu'est le chantier du canal tant l'excitation et l'enthousiasme des héos est communicatif !
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SI les éprouvants accès de fièvre qui l'assaillaient trop souvent n'étaient venu lui rappeler que chaque jour supplémentaire passé à Panama minait sa santé, Martial aurait été un homme heureux.
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Malgré la fermeté de son ton, qui pouvait faire illusion, il était complètement décontenancé par sa rencontre. Pendant plusieurs années, il avait espéré remettre la main sur son voleur pour lui faire rendre gorge, bon gré mal gré. Puis sa rage s'était peu à peu apaisée.
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Les trois hommes traversaient une riche plaine céréalière maintenant aux deux tiers détruite, lorsque le métis tendit le bras en direction des lointaines collines.
— Faut aller là-haut, dit-il en arrêtant sa monture.
— À Cerro Verde ? Il n'y a rien là-bas que la grêle ait pu détruire, sauf l'herbe, mais elle repoussera toute seule ! dit Antoine en haussant les épaules.
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Et maintenant la gangrène était là, indiscutablement là. Elle seule pouvait donner à la peau cette couleur violet sombre. Elle seule surtout expliquait l'abominable odeur de charogne qui flottait autour du blessé.
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.. La tranchée du canal s'ouvrait à ses pieds ; long ruban encore sombre où se devinaient ça et là les masses trapues des drague, bateaux et chalands. Des bords du Chagres et des pueblos disséminés dans la jungle, montait déjà - mais encore couvert par les trilles, sifflets et chants d'une multitude d'oiseaux - le bourdonnement diffus des milliers d'hommes se préparant au travail.Et pendant quelques instants encore s'entendait alentour le rappel lancinant des corcovados, ces grosses cailles bavardes - horloges des pauvres comme les baptisaient les autochtones - qui, sor et matin, vers six heures et dix-huit heures, ponctuaient de leurs cris l'apparitition et la chute du soleil.
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