BIG-DADY (son fantôme) : Je vois tout du haut du ciel, ma chérie, et je suis très fier de toi, mais ce soir, il faut que ce soit comme la fin du Parrain, avec une vague de frappes stratégiques.
MINDY : Je ne sais pas où j'en suis, avec le Parrain. Je trouve que ça magnifie des criminels violents en leur donnant un code d'honneur qu'ils ne respectent jamais dans la vraie vie...
BIG-DADY (son fantôme) : Je parle en terme de structure, docteur Wertham, je parle d'une nuit de tuerie comme le monde n'en a jamais vu, et de tous ces salopards tués de plein de façons géniales.
CHRIS : Je suis prêt , Sensei. J'étais le Christian Bale du Machiniste, et grâce à toi, je suis devenu le Bale furieux qui envoie un projecteur à la tête de l'ingé-son.
MINDY : Hm ? M.. Marcus ? C'est toi ? Quelle heure il est ? Je me suis couchée tôt ....
MARCUS : Arrête de me traiter comme si j'étais le dernier des idiots ! Je ne sais pas comment tu as fait pour revenir aussi vite, mais je sais que c'était toi, là-bas. Je pensais qu'on était d'accord ! Que tu arrêtais de faire ça ! Tu imagines de qui aurait pu t'arriver, là-bas ?
MINDY : Marcus, je te jure je ne sais pas de quoi tu me parles.
MARCUS : Oh, mon Dieu...ça y est, j'ai compris. Les russes, les italiens... Tous ces cadavres qu'on a ramassé, c'était toi, c'est ça ? Je pensais que c'était une guerre des gangs, mais en fait c'est toi qui tuais tous ces boss.
Je partage mon logis avec Hannibal Lecter, merde !
J'ai traversé la ville comme un Papa Noël blindé aux amphés, descendant par les cheminées et distribuant la mort comme des friandises. Je les ai tous massacrés en un nuit, et je ne sais même pas comment j'y suis arrivée. Mais je m'étais pas autant amusée depuis la fois où Papa m'avait offert un terroriste pour mon huitième anniversaire. Étranglés, décapités, ventilés à la grenade dans le cul façon puzzle. Énorme, quoi.