AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Inavouable (180)

Un certain Hans Frank en était devenu le dirigeant. Chouchou de Hitler, docteur en droit, il aimait se présenter en tant que roi de Pologne et s'acquittait avec ferveur de sa mission de résolution définitive de la question juive, ainsi que de la résolution efficace de la question polonaise, avec pour objectif de ne laisser à court terme du peuple polonais qu'une collectivité d'esclaves obtus.
Commenter  J’apprécie          00
Une Pologne, qui fidèle à ses habitudes, avait cessé d'exister une fois de plus. Les terres de l'Ouest, y compris Poznán, la ville natale de Roman, avaient été annexées par le Reich, les confins de l'Est étaient tombés sous le joug des Soviets, et le reste du pays, dont Varsovie et Cracovie, avait été transformé en une créature étrange appelée Gouvernement général.
Commenter  J’apprécie          00
- Je ne devrais pas te le dire, mais tu tiens entre tes mains le plus grand secret de cette guerre. Alors, ne me déçois pas, mon garçon. Tu es notre seul espoir. Et maintenant, dégage.
Commenter  J’apprécie          00
Le problème, ce n’était pas l’accès aux informations ; le problème, c’était de savoir quelle information chercher.
Commenter  J’apprécie          00
Quelle...misérable créature a accroché un Raphaël à côté d'une télé?
Commenter  J’apprécie          00
La peinture, c'est de la lumière. C'est de la physique de base. La lumière extrait toute chose du néant et rebondit sur chaque surface de façon différente, si bien que les couleurs apparaissent.
Peindre, c'est tenter de restituer cet instant fugace où une quantité infinie de rayons de lumière est réfléchie par le monde et atteint notre rétine
Commenter  J’apprécie          00
La douleur après une perte est comme un costume d'épines. Au début nous ne comprenons pas ce qui se passe, nous nous débattons dedans, nous déchirons notre peau avec les piquants et tout notre corps saigne. La souffrance devient l'unique préoccupation. Peu à peu, nous apprenons que nous débattre n'a aucun sens. Nous demeurons immobiles, les plaies se referment et nous nous répétons en boucle que nous allons recouvrer la santé. A la fin, il nous faut bouger; alors, nous réalisons que la combinaison restera pour toujours et que notre épiderme est parsemé de cicatrices roses et délicates, prêtes à se rouvrir, à saigner et à faire mal au moindre remous. Nous ne pouvons pas vivre dans la combinaison comme nous vivions avant. Nous ne pouvons pas oublier la douleur et faire comme si de rien n'était.
Commenter  J’apprécie          00
Mais depuis cette époque, je considère le temps différemment. Je profite de chaque instant, je m'efforce de l'exploiter, de l'apprécier, de le goûter au cas où il serait mon dernier
Commenter  J’apprécie          00
... l'art est terriblement national. Même les plus grands cosmopolites regardent les arts par le prisme de la nation.
Commenter  J’apprécie          00
C'est Tom Cochrane qui avait raison lorsqu'il chantait que la vie était une autoroute. Et nous fonçons à contresens , un bandeau sur les yeux , les mains rivées au volant , pied au plancher . Peu importent les efforts fournis , peu importent les manœuvres , chacun finit par heurter quelque chose.La question est de savoir si ce sera une barrière qui amortira le choc , une mini Cooper ou un dix -huit tonnes chargés de billots de bois .
Commenter  J’apprécie          00






    Lecteurs (746) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

    Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

    seul
    profond
    terrible
    intense

    20 questions
    2874 lecteurs ont répondu
    Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

    {* *}