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Teodore Szacki tome 2 sur 3
EAN : 9782266263689
544 pages
Pocket (08/09/2016)
4.07/5   238 notes
Résumé :
Fraîchement divorcé, Teodore Szacki a quitté son travail de procureur à Varsovie et débarque dans la paisible bourgade de Sandomierz, où il compte bien refaire sa vie. Mais six mois à peine après avoir abandonné l’agitation de la capitale et l’asphyxie de son mariage, il s’ennuie déjà.

Heureusement, devant l’ancienne synagogue de la vieille ville, du travail l’attend : un corps de femme drainé de son sang, tout comme dans un rite sacrificiel juif… Lor... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (76) Voir plus Ajouter une critique
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Sa liaison avec une jeune journaliste a sonné le glas du mariage de Teodore Szacki, procureur vedette du parquet de Varsovie. Déprimé par son divorce, il a choisi de quitter la capitale polonaise pour la petite ville de Sandomierz, charmante bourgade au bord de la Vistule. Mais la solitude l'écrase et l'ennui rôde. Sandomierz est trop calme. Entre deux liaisons aussi vaines qu'insatisfaisantes, le procureur ne s'occupe que de bagarres d'ivrognes et d'accidents de la route. ''Heureusement'', un cadavre va le sortir de sa pénible routine. le corps d'Ela Budnik est découvert près de l'ancienne synagogue. Nue, vidée de son sang, la jeune épouse d'un conseiller municipal a été égorgée comme une bête, selon le rituel juif. Toute la ville est en émoi et de vieilles légendes refont surface. On a toujours accusé les juifs de fabriquer leur pain azyme avec le sang des enfants catholiques. le fait que très peu d'entre eux soient revenus des camps et que la victime ne soit plus une enfant ne trouble personne. La presse s'empare de l'affaire, les mères n'osent plus envoyer leur progéniture à l'école et l'antisémitisme pointe son nez. Dans cette petite ville où tout le monde se connaît, Szacki est jugé le plus objectif pour mener l'enquête. Avec Barbara Sobieraj, une collègue qu'il n'apprécie guère et Leon Wilczur, un vieux flic qu'il juge aigri, le procureur se lance sur la piste du tueur alors que les crimes continuent, tous sanglants et tous semblant pointer vers un meurtrier juif.

Après avoir exploré les fantômes du communisme dans Les imliqués, Zygmunt Miloszewski remet en scène son procureur fétiche dans une enquête pleine de rebondissements qui le conduira à explorer une nouvelle facette de l'histoire de la Pologne : la difficile cohabitation entre juifs et catholiques sur fond de légendes urbaines, de jalousie, de ressentiments et d'antisémitisme. Un pan d'histoire instructif et passionnant où les pogroms, les massacres et le difficile retour des camps se justifient par le mythe du juif avide de sang chrétien qui vole et tue sans vergogne les enfants catholiques. Côté vie privée, l'inflexible procureur s'éparpille, se cherche sans se trouver. Cet éternel insatisfait doit aussi se faire à l'idée que dans une petite ville tout se sait. Ses faits et gestes sont disséqués et commentés, la discrétion est un luxe qui n'existe pas à Sandomierz.
Une enquête bien menée, une leçon d'histoire et un enquêteur finalement attachant malgré ses défauts, Un fond de vérité a tout pour plaire et en supplément la ville de Sandomierz avec son quartier historique, son château et ses églises donne des envies d'escapades polonaises malgré son passé sombre et tourmenté. Un deuxième opus encore plus réussi que le premier.
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Zygmunt Miloszewski s'amuse à secouer les idées reçues, gardant tout au long du récit un humour grinçant et un grand sens de l'intrigue.
Poète des temps modernes il dépeint les polonais et leurs coutumes de manière drôle et sarcastique.
Comme dans « Les impliqués » l'auteur s'amuse de façon truculente à nous raconter l'état de la Pologne et du monde à tous les débuts de chapitres.

Cette fois-ci il raconte l'antisémitisme et les meurtrissures infligées par la haine. Avec beaucoup de talent et un grand travail de recherche, il donne force et subtilité au sujet.
Avec sa dose habituelle d'étrangeté et son ironie mordante il construit un scénario malicieux et effrayant. Pour résoudre cette affaire et trouver le fond de vérité le procureur Szacki se servira plus que jamais de son flair pour sentir le désagréable odeur du mensonge.
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Son premier roman m'avait emmené au 7ème ciel, malgré son introduction assez longue (mais les préliminaires, avec cet auteur, c'est agréable) et le second, c'est un pied intégral, confirmant tout le bien que je pensais de l'auteur.

Je me suis toujours dit que je vivais dans un pays de malades mentaux niveau politique (celle dite « du gaufrier », on vous l'expliquera un jour), mais je vois qu'à la course à l'imbécilité, la Pologne galope à nos côtés.

Le premier roman m'avait subjugué par son côté politique – le communisme était au menu – et le second ne déroge pas à la règle.

Aux rayons X, la Pologne ne laisse voir que des fantômes des années 40-50 et un antisémitisme qui s'accroche à ses basques mieux qu'un virus. Vous croyez en être débarrassé, et bien non, il revient au galop.

Je dois dire que j'ai eu un peu peur en ouvrant le roman, peur qu'il n'arrive pas à la cheville du premier, peur d'être déçue… Et puis, mon procureur préféré, Teodore Szacki, a quitté la capitale pour se retrouver muté dans la petite ville de Sandomierz et j'avais quelques craintes pour lui.

C'est vrai, quoi, qu'allait-il avoir à se mettre sous la dent, le Sherlock Holmes des prétoires ? Hein ? Un vol de GSM ? Une dispute conjugale ? Il ne se passe jamais rien chez ces bouseux de Sandomierz et ses collègues ont l'air moins sympa que les anciens.

Fallait pas avoir peur pour notre procureur imbu de sa petite personne ! Il a déjà trouvé où fourrer son bâton de berger (le cochon) et en plus, il est confronté à un meurtre assez sanglant, avec des relents antisémites qui vont venir se graver dessus.

Une femme a été retrouvée, saigné à blanc, selon un vieux rituel d'abattage juif. Là, sûr qu'elle était casher.

L'auteur n'est pas tendre avec son pays, la Pologne a des squelettes dans le placard – comme d'autres – et des spectres qui flottent toujours autour de certaines villes.

Les mentalités sont encore fort moyenâgeuse pour certains et les imbéciles croyant encore aux vieilles légendes sont nombreux. Oh, on ne les entend pas, en temps normal, mais chassez l'imbécilité et elle reviendra ventre-à-terre.

Pas tendre non plus avec les médias, avides de sang, inventant des faits s'il le faut, publiant tout et n'importe quoi sans l'avoir vérifié et montant la tête des habitants de la petite ville.

Ce que j'aime chez l'auteur, c'est sa plume (même si on a droit à celle du traducteur) qui n'hésite pas à pratiquer l'humour, qui n'est pas tendre envers son pays et ses compatriotes et qui a un petit je-ne-sais-quoi qui me prend aux tripes pour ne plus me lâcher.

Si l'enquête est prenante à suivre, il y a aussi tout l'aspect « j'entre de plein-pied dans la société polonaise » qui est important. Ceci est un vrai roman noir.

L'auteur ne se borne pas à écrire un fait ou une histoire, non, il développe le tout, brode autour – sans jamais lasser le lecteur – vous faisant entrer tout entier dans son histoire avec un grand H.

Les rancoeurs sont tenaces, le passé leur colle aux basques, les vieilles haines aussi et le portrait qu'il nous brosse de son pays est assez sombre.

Notre procureur est toujours aussi imbu de lui-même, a gardé son esprit acéré, sa bite est devenue volage, il est toujours aussi anti-religieux, anti-dogme, anti-hobby, mais sa vision des habitants changera au fur et à mesure que le temps passe.

Les personnages secondaires vont aussi évoluer et les surprises seront nombreuses. J'ai vraiment pris mon pied lors de ma lecture. Bluffée j'ai été.

Lire Zygmunt Miloszewski est un plaisir de fin gourmet, du petit-lait, le petit Jésus en culotte de velours.

Ouvrir un roman avec le procureur Teodore Szacki, c'est aussi orgasmique qu'un roman caché de Conan Doyle où Holmes culbuterait Irene Adler sur la table en lui disant « Vous avez de beaux yeux, vous savez »… et elle qui lui répondrait « Oh oui, grand fou, allez-y, prenez-moi sur le coin de la table ».

C'est vous dire le plaisir que j'ai eu à le lire. Mais gaffe, sortez couverts, messieurs. N'oubliez pas l'imper anglais… Ceux qui l'ont lu sauront de quoi je veux parler.

PS : À noter que le titre et l'illustration de la couverture lui vont comme un gant.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Pauvre procureur Teodore Szacki! Sa liaison exta-conjugale le conduit, après son divorce, à trouver un poste vacant loin de la capitale. Mais force est de constater qu" au lieu de demeurer la vedette spécialisée dans les meurtres au parquet de Varsovie, il était devenu un étranger suspect dans une ville de province"....

Notre quarantenaire aux cheveux prématurément blancs s'ennuie en effet à Sandomierz, même si le centre historique de cette cité ancienne a un charme fou et qu'il fait bon se promener en ce début de printemps sur les bords de la Vistule, en admirant le château.

Mais voilà qu'une horrible découverte vient bouleverser la routine: une femme enceinte est trouvée morte, égorgée selon, semble-t-il, un rituel juif. De quoi raviver les légendes locales présentant les juifs comme des meurtriers d'enfants. De quoi agiter les nationalistes...Et d'autres meurtres adviennent...

Le démarrage de l'enquête est lent, on patauge. Puis les pistes se précisent. Mais le fond de vérité, où est-il? Jusqu'aux dernières pages, un écran de mensonges va noyer dans le brouillard le mobile du criminel.

Heureusement les neurones de Szacki vont fonctionner à plein régime, in extremis. Et peut-être que finalement, vivre à Sandormierz n'est pas si désagréable...

Je retrouve avec grand plaisir le charismatique procureur des " Impliqués " . Ici les faits historiques réels s'associent à une enquête tortueuse, au sein d'une vieille ville polonaise que l'on a envie de visiter. J'ai apprécié cette fois encore le ton sarcastique, les réflexions acerbes et justes du personnage principal sur la Pologne contemporaine. Le troisième opus" La rage" m'attend. Merci, Alexandra, de m'avoir incitée à poursuivre l'aventure avec Szacki! C'était un régal!
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Publié en 2008, Un fond de vérité est un polar à classer dans la catégorie des romans noirs, un genre littéraire que j'affectionnais jadis et avec lequel j'ai pris quelque distance, n'y revenant que de temps en temps, en veillant à n'y sélectionner que des grands crus. J'atteste, pour celui-ci, une dégustation savoureuse.

Sans perdre de temps, l'auteur annonce la couleur. Ou plutôt l'absence de couleur. Glaçant ! A quatre heures du matin, tout est noir ou gris aux Archives Nationales de Sandomierz, situées dans l'ancienne synagogue de la ville, et le cadavre sur lequel tombe un généalogiste insomniaque est d'une blancheur anormale. En cette semaine frisquette de Pâques, aucune couleur ne vient réchauffer l'atmosphère une fois le jour levé sur la petite ville provinciale, un trou paumé où le personnage principal, le procureur Teodor Szacki, est venu s'enterrer quelques mois plus tôt, préférant quitter Varsovie après un divorce douloureux.

Le cadavre avait été vidé de son sang, comme une viande casher. le meurtrier s'était inspiré des soi-disants rituels juifs des légendes antisémites d'antan, selon lesquels le sang, notamment celui des enfants, servirait à l'élaboration du pain azyme. N'importe quoi, direz-vous ? Sauf que selon un dicton populaire polonais, « il y a dans toute légende un fond de vérité ». Sauf que dans la bourgade médiévale de Sandomierz, la population avait, jusqu'à la dernière guerre, compté quarante pour cent de Juifs, et que les lieux avaient été, au cours des siècles, au coeur des rumeurs d'enlèvement d'enfants et des pogroms qui s'en suivaient.

De là à ce que le meurtre déclenche des paranoïas de tous bords, il n'y a qu'un pas. D'un côté, celle des traditionalistes fanatiques ressortant subrepticement un vieil antisémitisme refoulé, au nom du fameux fond de vérité, tout prenant garde de ne pas trop sortir du cadre de ce qu'il est autorisé de dire. En face, celle des moralistes acharnés à vilipender l'incapacité de leurs concitoyens à s'affranchir de leur antisémitisme historique.

Ce sont des dérapages que le procureur Teodor Szacki, chargé de l'enquête, s'efforcera d'éviter. Car le champ des possibles est très ouvert. le meurtrier pourrait être un Juif orthodoxe se vengeant d'un acte antisémite dont sa famille aurait été victime dans un passé plus ou moins lointain. Ou un serial killer juif complètement fêlé (les Juifs étant des individus comme les autres, il n'y a pas de raison qu'il n'y ait pas de serial killer fêlé parmi eux). Il pourrait être à l'inverse un militant ultra-nationaliste ou un catholique traditionaliste intégriste. Mais le meurtre pourrait aussi résulter d'un tout autre motif, la mise en scène pseudo rituelle ne servant qu'à égarer les soupçons.

Personnellement – j'ai déjà dû l'écrire – je ne suis pas sensible au suspens des enquêtes et l'envie de connaître la clé des énigmes n'est pas à l'origine de mes insomnies. Dans Un fond de vérité, j'ai apprécié l'atmosphère qui imprègne l'intrigue, marquée par les dissensions d'une population toujours en proie à ses vieux démons, et aussi les descriptions expressives de la ville de Sandomierz, une cité historique, paraît-il la plus belle de Pologne, avec sa vieille ville dominant la Vistule, sa cathédrale, son château, son ancien quartier juif, des églises par douzaines, ses murailles médiévales et son très inquiétant réseau de couloirs souterrains.

A la ramasse dans sa vie privée, le procureur Teodor Sacki est droit dans ses bottes lorsqu'il recherche la vérité, toute la vérité, rien que la vérité. le personnage est de qualité, d'une grande culture, à l'image de l'auteur, l'écrivain et journaliste Tomas Miloszewski, un intellectuel polonais aux idées modérées pro-européennes. L'on peut retrouver l'un et l'autre dans deux autres polars, Les impliqués et La rage.

Lien : http://cavamieuxenlecrivant...
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critiques presse (1)
LeMonde
23 mars 2015
Désormais, c’est au tour d’Un fond de vérité de servir de guide aux lecteurs arrivant à Sandomierz, érigée en nouvelle destination touristique.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (89) Voir plus Ajouter une citation
Jeudi 23 Avril 2009
En Turquie, c’est la journée de l’enfance, en Grande-Bretagne, l’anniversaire de la fondation du très noble ordre de la Jarretière et partout ailleurs, la Journée mondiale du livre. En Irak, soixante-treize personnes trouvent la mort dans deux attentats suicides et au Mexique, l’épidémie de grippe emporte une vingtième victime. […] A Gliwice, un homme meurt devant le rayon boucherie du supermarché Biedronka, ce qui oblige les autres clients à faire leurs emplettes en contournant le corps emballé dans un sac plastique. […]. Il n’y a qu’à Sandomierz qu’on s’ennuie, même le temps ne varie pas : ensoleillé, froid. La pression atmosphérique baisse et tout le monde a envie de dormir.
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- A Varsovie, ce n’est peut être pas la mode, mais en province, certains se considèrent fiers d’être polonais.
- Pas plus tard qu’hier, tu m’expliquais que se sentir un vrai polonais à Sandomierz pouvait avoir une facette très sombre.
- J'ai peut-être oublié d'ajouter qu'entre le refus total de la nation et le fait d'incendier des synagogues en son nom, il y a une marge vaste pour des gens raisonnables.

Teodore ne voulait pas s'engager dans la polémique. Il n'aimait décidément pas les gens qui avaient des hobbies. Pire, il les craignait. La nation, c'était selon lui une sorte de hobby. Une passion qui ne servait à rien, mais qui accaparait tellement qu'en ces temps difficiles elle pouvait pousser à des actes épouvantables. Un procureur ne devait pas s'identifier à la nation, il devait ne croire en rien et ne pas avoir l'esprit couvert par le voile de l'affect. Le code pénal était précis, il ne divisait pas les gens en bons et en mauvais, il n'incluait pas la foi ou la fierté patriotique. Et le procureur devait être le serviteur du code, le gardien de l'ordre et de la loi.
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C’était une expérience à la lisière de la folie : les idées bondissaient entre les neurones à un rythme épileptique, la matière grise s’illuminait d’une couleur platine à cause du trop-plein d’informations. Il craignit que quelque chose lui arrive, que son cerveau ne puisse pas tout traiter, qu’il bugge. Mais il y avait également dans son état quelque chose d’une euphorie hypnotique, d’une extase religieuse, d’une excitation indomptable, d’une avalanche d’émotions incontrôlables.
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_ "Est-ce qu'on devrait fermer les écoles ?
_ Pourquoi les écoles ?
_ Pour protéger les enfants.
_ Pardon, mais de quoi ?
_ Du rituel du sang.
_ Vous avez perdu la tête ?"
Szacki avait l'impression d'avoir entrouvert la porte d'une réalité parallèle. Une réalité ancienne, du moins à ce qu'il croyait, une réalité oubliée ou fausse, ensevelie sous les cadavres de vieux démons. Bien, il suffisait donc de regarder par le trou de la serrure pour constater que les démons étaient loin d'être morts, qu'ils étaient simplement endormis, et qu'ils dormaient d'un sommeil particulièrement léger. Et que maintenant, ravis, ils remuaient leurs queues démoniaques car ils pouvaient enfin s'échapper par la porte entrebâillée à Sandomierz et jouer un peu avec le procureur Szacki. Incroyable. Fallait-il que tous ces stéréotypes qui remplaçaient la réflexion soient profondément ancrés dans la conscience nationale pour que soixante-cinq ans après la Shoah, soixante-trois ans après le dernier pogrom et quarante ans après avoir chassé les ultimes rescapés juifs du pays en 1968, un débile né à priori dans les années 1970 puisse débarquer d'on ne sait où et donner foi au rituel du sang ?
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- Peut-être qu’elle était agaçante ? Trop engagée ? Trop catholique ? Je n’en sais rien, moi, peut-être qu’elle n’achetait pas assez de produits locaux au marché ? On est en Pologne, bordel, ils devaient bien la haïr pour une raison ou pour une autre, casser du sucre sur son dos, la jalouser.
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