Les enquêtes du commissaire Léon, tome 6 : Le fantôme de Fellini

À Rome, le commissaire retrouvait quelque chose de précieux qu’il risquait souvent de perdre dans la détresse humaine et l’horreur de la violence : un parfum de conte de Perrault.

Son grand amour était un amour de cinéma, avec des cheveux en pétard et un nez de clown. N’avait jamais aimé les canons féminins. Trop lisses, trop parfaits et sans âme.