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Citations sur Les chroniques de MacKayla Lane, tome 1 : Fièvre noire (85)

J'avais des milliers de questions dans la tête, personne à qui les poser, et nulle part où aller...sinon vers l'avant.
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Lorsque j’avais dit au revoir à ma sœur à l’aéroport, quelques mois auparavant, pas un instant je n’avais imaginé que je ne la reverrais jamais vivante. Pour moi, la présence d’Alina était aussi évidente que le retour du soleil chaque matin. Elle avait vingt-quatre ans, moi vingt-deux, nous avions l’éternité devant nous. La trentaine était à des années-lumière, la quarantaine dans une autre dimension. La mort ? Qu’allez-vous chercher là ? Cela n’arrivait qu’aux très, très vieilles personnes. Enfin, c’était ce que je croyais…
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- Y a-t-il des choses que vous ne connaissiez pas ? ne pus-je m'empêcher de demander.
- Assez peu.
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- Là, ma belle, tu commets la même erreur monumentale que la plupart des femmes : tomber amoureuse du potentiel d'un homme. Il est rare que nous ayons le même avis que vous sur ce point, et encore plus que nous ayons l'envie de le réaliser. Cesse donc de te faire des illusions sur celui que tu voudrais que je sois, et regarde-moi tel que je suis en réalité.
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Je savais que je devais surveiller mon budget, mais c'était plus fort que moi. J'ai toujours été accro aux livres et à la musique. Avouez qu'il y a pire, comme dépendance !
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- [...] Cette ville est un cauchemar, oui ! Je ne sais pas ce qui me retient de vous flanquer mon poing dans la figure !
- La crainte de vous casser un ongle ? suggéra-t-il d'un ton si suave et si hautain qu'une nouvelle bouffée de rage monta en moi.
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- Là, ma belle, tu commets la même erreur monumentale que la plupart des femmes : tomber amoureuse du potentiel d'un homme. Il est rare que nous ayons le même avis que vous sur ce point, et encore plus que nous ayons l'envie de le réaliser. Cesse donc de te faire des illusions sur celui que tu voudrais que je sois, et regarde-moi tel que je suis en réalité.
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Les gazelles ne fraient pas avec les lions, surtout lorsqu'ils sont affamés de chair fraîche...
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Il faut absolument que nous trouvions le Sinsar Dubh. Tout en dépendra, tu m'entends ?
Tout ? Quoi, au juste ? Pas le sort de l'humanité, ou je ne sais quelle fadaise pour film d'action, tout de même ? C'est que je n'avais pas l'intention de sauver le monde, moi ! Je n'avais pas le profil pour le poste !
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De longues mèches d’or pur, des iris si clairs qu’ils semblaient faits d’argent, un teint doré… Il était la créature la plus sublime que j’aie jamais croisée – et Dieu sait que j’avais vu de sacrés beaux gosses depuis que j’étais serveuse.
Je n’emploie pas par hasard le mot « créature ». Lorsque son regard croisa le mien, un frisson d’effroi me parcourut, tandis qu’une idée absurde s’imposait à mon esprit. Il y a en lui quelque chose d’inhumain.
Mal à l’aise, je remontai sur mon tabouret. J’avais toujours l’intention de dire au barman que l’homme en noir lui avait pris une bouteille, mais j’attendrais que le client se soit éloigné. Pour une raison que je ne m’expliquais pas, la seule perspective de me rapprocher de cet individu me donnait la chair de poule.
Hélas ! il ne semblait pas décidé à s’en aller. Je le vis s’adosser au comptoir, déboucher le whisky et en boire une longue rasade au goulot.
Soudain, il se produisit quelque chose d’étrange. Il me sembla que mes poils se hérissaient littéralement, tandis qu’un nœud douloureux se formait en moi. Puis ma vision se brouilla. J’étais toujours dans le pub, le regard rivé sur l’homme en noir, mais ce dernier n’avait à présent plus rien d’humain. Dans cette version de la réalité, il était même d’une laideur repoussante. Devant mes yeux effrayés se tenait une abomination sans nom, dont le masque de beauté se fissurait, laissant échapper, en lourdes volutes, une épouvantable odeur de putréfactio
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