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Citations sur La prisonnière du temps (129)

Le temps ne connaît qu’une direction. Le temps ne s’arrête jamais. Il coule, fleuve inlassable, et ne laisse à personne le temps de réfléchir. La seule manière de le remonter est de se souvenir.
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Lorsqu'on expédie les bons messagers dans le grand monde,ils finissent toujours par revenir les bras chargés.
C'est ainsi.Mes oiseaux aussi sont revenus et je me sens irrésistiblement attirée vers le paroxysme de mon récit.
A partir duquel tout se dénoue si vite...
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Pourquoi (...) les minutes et les heures semblent-elles si longues quand il fait noir?
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Elle s'était entendu dire par le célèbre critique [Ruskin] que l'esprit féminin n'était pas destiné à "l'invention ni à la création" mais "aux tâches aimables du rangement, de la disposition et du choix."
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Le temps ne connaît qu'une direction. Le temps ne s'arrête jamais. Il coule, fleuve inlassable, et ne laisse à personne le temps de réfléchir. La seule manière de le remonter est de se souvenir.
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La vérité dépend de la personne qui vous raconte l'histoire.
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Le temps était une idée, sans début ni fin, invisible, inaudible. On pouvait certes le mesurer, mais personne n'avait jamais su trouver les mots pour en expliquer la nature.
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La magie et la science ne sont pas contradictoires à mes yeux. Toutes deux sont des tentatives respectables et valables pour comprendre le fonctionnement du monde.
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La bonne heure, m’expliquait-il, n’existait pas. Le temps était une idée, sans début ni fin, invisible, inaudible. On pouvait certes le mesurer, mais personne n’avait jamais su trouver les mots pour en expliquer la nature.
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La sentimentalité était mièvre, écœurante ; la nostalgie, aigüe et douloureuse. La nostalgie, c’était le plus profond des désirs, la conscience du caractère inexorable du passage du temps. Impossible de le remonter pour retrouver un moment, un individu ; impossible de réparer ses erreurs.
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