La petite mort, tome 3 : Le domaine des vieux

Voici l'ultime tome de la trilogie de l'humoriste Davy Mourier. Un tome toujours noir et cynique, mais avec plus de réflexion.
La Petite Mort a grandit, bien contraint et forcé, et se retrouve avec un emploi et une famille à gérer sans avoir réellement eu le temps de grandir.
Au fil des pages, la petite Mort va s'interroger sur la vie, la mort et surtout sur le destin. Est-il écrit d'avance ? Peut-on lutter ?
Entre une femme avec qui rien ne va, et un enfant plus faucheuse qu'elle ne le sera jamais, la Mort se sent bien seule.
Entre deux gags, beaucoup de gravité.
Dans l'ensemble j'ai trouvé ce troisième tome un peu en-dessous des précédents, mais avec une réflexion plus immédiatement visible et accessible. Cet opus oure également une nouvelle vision des premiers tomes qu'on observe avec plus de recul et en s'attardant moins sur l'humour "facile" que l'on lit immédiatement.
En bref ? Une trilogie à lire.

J'ai beaucoup réfléchis avant d'acheter ce troisième tome de la série "La petite mort". Pourquoi ? Parce que le tome 2 ne m'a pas autant enthousiasmé que le tome 1. Plus dure, moins drôle, une fin qui ferait presque lâcher une petite larme... Nous étions loin du comique du premier opus.

Sans tarder, je me suis lancée dans la lecture du domaine des vieux. La petite mort a déjà beaucoup de responsabilités alors qu'elle n'a que 12 ans. Ses parents ont disparus, il découvre qu'il doit payer les dettes de son père, sa femme ne le comprend pas et son fils est ignoble. Hum, on commence avec une ambiance qui se rapproche du deuxième tome mais, parce qu'il y a un mais, la morale de l'histoire est très jolie et les pubs et les mini histoire toujours aussi drôles.

Je n'en dis pas trop, je vous conseil de le lire. C'est une trilogie pleine de sens sur tous les thèmes qui se rapprochent de la vie (amour, amitié, enfance, etc...). A lire sans attendre !

Le domaine des vieux était une lecture sympathique, mais j'ai trouvé qu'il était moins drôle, contrairement aux deux premiers tomes. L'humour est toujours présent mais j'ai comme eu l'impression d'un déjà-vu, c'est-à-dire qu'il y avait des répétitions ou des modifications de certaines blagues déjà présentes auparavant. Cela ne m'a pas empêché de sourire aux blagues mais ça s'est arrêté là.
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Petite Mort est maintenant adulte, chargé de famille et endetté jusqu'aux orbites. La faute au Grand Tout qui assoit son inhumaine autorité à grands coups d'impôts et de taxes impayables. La dépression guette notre héros, d'autant que son mariage arrangé ne fonctionne pas et que son fils est un psychopathe heureux! Comment ne pas totalement sombrer dans la morosité? Comment faire face à l'absurdité de cette non-vie? Eh bien vous le saurez en lisant ce troisième tome, car oui, un happy end est possible, contre toute attente.
Cette trilogie est vraiment très réussie, à tous niveaux: récit, graphisme, couleurs, "packaging"... Je la conseille sans modération.

J'aime vraiment beaucoup ce que Davy Mourier fait, et je suis complètement fan de la Petite Mort, qui allie humour noir et drame avec un côté adorable.

J'ai eu l'occasion de revoir (pour la troisième fois) Davy Mourier lors de sa dédicace à la librairie le Failler à Rennes. J'y suis allée dans l'intention d'acheter le tome qui me manquait, et, en arrivant chez moi le soir, je me suis jetée dessus pour le lire, grande impatiente que je suis. D'ailleurs, un petit mot sur la dédicace, c'était vraiment chouette. Je suis restée près de trois heures, même une fois que mon livre a été dédicacé. Je suis restée écouter Davy parler avec les gens, nous parler. J'ai eu l'occasion de discuter avec d'autres personnes, de tout et de rien. Et, pour finir, nous avons raccompagné Davy Mourier à la gare de Rennes pour qu'il prenne son train. C'était vraiment super, Davy est décidément quelqu'un de très sympathique et accessible !

Pour parler un peu de ce troisième (et dernier ?) tome, nous allons suivre La Petite Mort qui a bien grandi suite aux évènements qui se sont produits à la fin du tome 2. On va lui attribuer une femme et un enfant (oui, oui, c'est tout à fait logique), enfant qui est bien plus passionné par son travail que l'est La Petite Mort (qui devient alors Papa Mort, vous suivez ?). Encore une fois, ce tome est bourré d'humour noir, et j'ai parfois énormément rigolé (notamment vers la fin, avec le Grand-Tout) car c'est tout à fait le genre d'humour qui me correspond et qui m'éclate. Et, à côté de ça, j'ai connu en lisant cette trilogie, des moments de profonde tristesse. Une fois n'est pas coutume, j'ai lu les remerciements - je vais désormais le faire systématiquement, je pense, ça apporte vraiment une plus-value au livre - et j'ai été surprise en apprenant certaines choses. J'ai beaucoup aimé voir l'évolution de la Petite Mort (l'enfance, l'adolescence, puis l'âge adulte) et j'ai hâte de voir ce que Davy Mourier va faire ensuite.

Pour conclure, c'est un troisième tome génial pour une trilogie vraiment au top, que je recommande chaudement !
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🎏Citation: «  Vous êtes vraiment un bon conseiller d'orientation. parce que vous ne savez pas quoi faire de moi vous décidez de m'orienter loin de bous. Bravo. »✨

Suite du Tome 2 pépé la mort cherche du travail, comme les humains (babysitting, employés chez Waldo..) et la petite mort remplace son papa, il est devenue La faucheuse et continue a aller à l'école, enfin au collège. Enfin il essaye car on le vire et il doit désormais fauché des âmes..

J'aime toujours autant l'univers et l'humour noir ce cette band dessinée, j'adore c'est pas redondant contrairement à ce que j'aurais pu m'attendre! 🦋

La Petite mort est enfin adulte. Comme pour les deux autres tomes, l'histoire est assez agréable à lire. On y retrouve les difficultés qu'un adulte peut rencontrer ainsi que leurs que leurs résolutions. La fin est assez jolie et comme il est dit dans la BD "la boucle est bouclée".

Par rapport aux précédents, le ton est très différent : il est plus dur, un peu moins drôle et les personnages m'ont moins touchée. J'ai toujours de la sympathie pour la petite mort, mais nettement moins pour les autres : Grand-père mort est quand même responsable de la situation qui a obligé notre héros à grandir trop vite, même s'il se rachète, je lui en veux un peu. Quant à la femme et le fils, je n'ai pas réussi à m'y attacher, je pense que la raison principale en est la manière dont ils arrivent dans l'histoire, mais aussi la façon d'être du gamin qui est beaucoup moins humain que son père.
Par contre, c'est bien joué de la part de l'auteur, ce troisième volume est assez représentatif de ce qu'on ressent une fois arrivé à l'âge adulte : on se sent un peu perdu et quand on découvre la paperasse à gérer, ça peut faire un choc et il y a de quoi être complètement démoralisé.

Contrairement aux précédents, on n'a plus les petites vidéos de réalité augmentée, c'est dommage, j'aimais beaucoup ça. En revanche, arrivé au trois quart de la BD, on a la possibilité de s'essayer à un petit jeu de 2 à 5 minutes pour les plus de 12 ans et cela grâce à un code QR. Pour pouvoir y jouer, on doit télécharger une application. J'ai essayé, je me suis pliée à ce qui m'était demandé, liant même l'une de mes adresses mail, seulement, je n'ai pas pu jouer. L'application n'a cessé de buguer du moment que je lançais le jeu. J'ai bien tenté de désinstaller et de réinstaller, rien n'y a fait. C'est dommage.
Du coup, je ne pourrais donc pas donner mon avis dessus.

J'ai aimé ce troisième volume, un peu moins que les précédents, mais ça ne m'a pas empêché de passer un bon moment.
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