Sauveur & fils, tome 6

Où on retrouve  Sauveur Saint-Yves, psychologue clinicien à Orléans, toujours à l'écoute de ses malades petits et grands, qui habite désormais avec sa famille élargie qui s'est enfin stabilisée: son fils,Lazare  sa compagne, Louise, Paul et Alice, les deux enfants de Louise, sans oublier Jovo cet ancien légionnaire qu'il a recueilli. Et bien sûr hamsters et cochons d'inde... 

Gabin s'est engagé dans la marine et ne revient que lorsqu'il a des permissions ... 

Les boys, Lazare et Paul, grandissent et se révèlent en tous points différents, l'un est introverti et assidu en classe, l'autre ne sait plus trop qui il est, a de 'mauvaises fréquentations'.

Les patients se succèdent dans le cabinet, enfants, ados et même adultes cette fois, dans un joyeux foisonnement de problèmes légers ou graves ...

La bienveillance de Sauveur, la joie de vivre qui se dégage de cette tribu sont de véritables remèdes à la morosité de cette annéequi n'en finit pas .. .et vu comme cet opus s'achève, il y aura forcément une saison 7 ...

Et ça c'est une bonne nouvelle ! 
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Toujours un vrai plaisir de retrouver cette famille pas comme les autres. Les consultations du père, les tribulations de Lazare, Paul, Alice, Gabin et les autres. Un super moment de détente. Un 7ème tome ?

On retrouve avec joie tout les personnages qui nous suivent depuis plusieurs tomes, mais on en découvre des nouveaux, tout aussi attachants. le style de l'auteur est bien là, le livre se lit vite, sans prise de tête.

J'avais eu un coup de coeur pour les saisons 1, 2, 3, 4 et 5, Sauveur et fils saison 6 n'a fait pas exception à la règle, j'ai adoré tout autant ce dernier opus dont l'histoire est dans la continuité des volumes précédents sans lasser et sans redondance.

Si différents thèmes sont abordés, Marie-Aude Murail se concentre plus particulièrement sur les questions du genre dans son toute sa complexité : dysphorie de genre, hétéronormé, intersexualité, mégenre, transgenre. Tout est très bien expliqué et pour ma part, je cerne désormais mieux ses questions sensibles, et en tant que maman, je ne peux que remercier l'autrice de les aborder et de créer avec ses romans une passerelle entre les adolescents et leurs parents.

Dès les premières lignes, j'ai adoré retrouver Sauveur Saint-Yves et Louise, Lazare et Paul, Gabin et Jovo, et tous les patients de ce psy au grand coeur. Je n'ai pas pu m'empêcher de dévorer cet ultime roman et je l'ai refermé le coeur gros, orpheline de ces personnages qui sont tellement touchants sous la plume sensible de Marie-Aude Murail.

J'ai souri, ri mais aussi été émue une fois encore par les épreuves que tous traversent car l'auteure ne ménage pas les différents protagonistes de son histoire mais elle a su clôturer joliment, tout en laissant la porte entrouverte, ce cycle porté par Sauveur Saint-Yves.

La façon qu'a Marie-Aude Murail de nous narrer le quotidien de ce psy humaniste est un vrai bonheur et une fois que l'on a mis le nez dedans, il devient vraiment très difficile de le lâcher.

Il y a toujours beaucoup d'humour, un héros souvent débordé par ses patients mais irrésistible, et une formidable atmosphère de chaleur humaine qui fait du bien.

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Et c'est reparti pour la suite des aventures de notre psy préféré, Sauveur, qui nous manque déjà à chaque dernière page des tomes précédents. Ici, on continue de découvrir le parcours de nos habitués et quelques petits nouveaux arrivent aux rendez-vous. Une fois encore, l'humour n'est pas oublié, les réflexions des personnages sont intensément réalistes et les remarques de Sauveur toujours précises et justes. On admire ce phrasé parfait, ces répliques qui tombent à pic, ces entrelacements de mots qui nous emmènent valser loin. Et quelle idée a notre ado en transition : et si une adaptation en bd des récits voyait le jour ! Nous, on valide ! Voilà donc une saison qui s'achève avec son lot d'émotions et de rebondissements, d'intensités et de nouveautés. Évidemment : vivement la saison 7 !
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Toujours aussi bien !!!!!

Retrouver la famille et les patients de Sauveur Saint-Yves, psychologue clinicien, c'est un peu comme retrouver des gens qu'on aime et qu'on n'a plus vu depuis longtemps !

J'ai commencé la série des "Sauveur et fils" en 2020 et nous voici au tome 6. Je ne m'en lasse pas !

Ce sixième tome est, pour moi, le meilleur de la série. Je ne me souviens pas d'avoir trouvé autant d'humour et autant d'émotions dans les précédents !

J'ai donc ri à plusieurs reprises et j'ai eu la larme à l'oeil plusieurs fois. J'ai passé un excellent moment de lecture avec ce nouvel opus sorti en poche.

A ceux qui découvriraient la série, je conseillerais de commencer par le premier. Il n'est pas facile de s'y retrouver dans tous les personnages si on n'a pas lu les précédents. On y retrouve, en effet, les mêmes protagonistes et on y ajoute de nouveaux patients de Sauveur.

La plupart des personnages ont des problèmes sinon ils ne seraient pas des patients du psy ! le lecteur apprendra pas mal de choses sur différentes pathologies qui sont d'ailleurs expliquées en fin de récit comme la schizophrénie, l'égocentrique, le narcissique, la névrose, la bipolarité,...

Les personnages sont, pour la plupart, des patients de Sauveur, mais sa famille (pas simple non plus) fait partie intégrante du récit.

D'un tome à l'autre, les personnages évoluent souvent positivement : il faut bien que la thérapie du psy fonctionne...

Une série à mettre entre toutes les mains; elle fait vraiment du bien sans être un feel good.

Selon moi, le tome 6 de Sauveur & fils n'est pas une grande surprise. Sauveur à toujours un intérêt moins palpable pour ses patients que dans les premières saisons, ce qui rend ses rendez-vous un peu longs. Je pense notamment à Charlie, qui est de retour, ou bien à madame Robertson.
p.100 : « d'un geste las, il attrapa son agenda » « pour manifester son intérêt, alors qu'il réprimait des bâillements de faim. »
Cependant, j'ai trouvé certaines parties du livre très captivante. Dès le premier chapitre, un quiproquo s'installe : Jovo se présume psychologue et reçoit, sans réellement y prêter intérêt, un patient des plus étrange. de plus, le personnage de Frédérique à la recherche du bonheur fait une rencontre inattendue qui donne suite à une belle aventure. Il y a aussi l'histoire de Solo, que je trouvais peu fascinante, mais qui l'est devenue suite à l'arrivée de sa soeur ? mais je n'en dis pas plus ! Enfin, on fait la connaissance de Grégoire et de Sarah, ainsi que leurs histoires tristes et touchantes.
Je pense que ce tome n'est pas le meilleur des Sauveur et fils mais qu'il faut la peine d'être lu.

Le célèbre psychologue de la rue des Murlins reçoit dans ce livre de nouveaux patients : une entendeuse de voix, un petit garçon turbulent recueilli par sa grand-mère après le décès de sa maman, mais aussi les "anciens", comme Frédérique, enceinte de... chuuut, Solo et sa soeur, Elliott. Sans oublier ce directeur d'entreprise, qui a vécu un drame alors qu'il habitait justement le 12, rue des Murlins et qui est accueilli par... Jovo, qui s'improvise psy brut de décoffrage. Côté famille, Louise est peut-être enfin enceinte, Gabin se plaît énormément dans l'armée (trop au goût d'Alice), Lazare traverse une phase de déprime et Paul évolue sur une pente savonneuse.
Je dois avouer à mon grand regret que j'ai été nettement moins séduite par ce nouveau volume que par les précédents. Il ne s'y passe pas grand chose et Sauveur lui-même a l'air las. Seul le petit Grégoire insuffle un souffle de vie dans la maison devenue morose. J'ai été très touchée par le personnage de Sarah et par la relation de Frédérique avec... Bref, on sent nettement que ce tome est un tome de transition.

En lisant le sixième tome de «Sauveur et fils », j'ai découvert Yentl, réalisé par Barbara Streisand, elle-même. C'est pour Elliott, le jeune patient de 17 ans qui s'appelait « Ella », que Sauveur parcourt sa mémoire en quête d'une référence sensée. Sauveur Saint-Yves, psychologue clinicien reconnu dans son domaine, est doté d'une excellente intuition, qui le guide au fil des séances… Elliott est, à ce moment-là, perturbé, indécis car une élève de sa classe de première est amoureuse de lui! « Lui » qui était Ell(a)! Sauveur explique alors à Elliott que Yentl, personnage éponyme de la comédie musicale 🎤 dont l'histoire se passe au 19e siècle, étudie d'abord le Talmud avec son père. À la mort de ce dernier, elle décide de s'inscrire dans une Yeshiva pour continuer son apprentissage sous l'identité masculine d'Anshwel. J'ai été bouleversée par les premières scènes de la comédie grâce à Sauveur! Cette mise en abîme de Yentl, pour donner du relief au personnage d'Ella m'a permis d'accéder pour la première fois à l'univers de B. Streisand… Marie-Aude Murail est enseignante, à sa façon 🤗