Sauveur & fils, tome 6

Retrouver la famille et les patients de Sauveur Saint-Yves, psychologue clinicien, c'est un peu comme retrouver des gens qu'on aime et qu'on n'a plus vu depuis longtemps !

J'ai commencé la série des "Sauveur et fils" en 2020 et nous voici au tome 6. Je ne m'en lasse pas !

Ce sixième tome est, pour moi, le meilleur de la série. Je ne me souviens pas d'avoir trouvé autant d'humour et autant d'émotions dans les précédents !

J'ai donc ri à plusieurs reprises et j'ai eu la larme à l'oeil plusieurs fois. J'ai passé un excellent moment de lecture avec ce nouvel opus sorti en poche.

A ceux qui découvriraient la série, je conseillerais de commencer par le premier. Il n'est pas facile de s'y retrouver dans tous les personnages si on n'a pas lu les précédents. On y retrouve, en effet, les mêmes protagonistes et on y ajoute de nouveaux patients de Sauveur.

La plupart des personnages ont des problèmes sinon ils ne seraient pas des patients du psy ! le lecteur apprendra pas mal de choses sur différentes pathologies qui sont d'ailleurs expliquées en fin de récit comme la schizophrénie, l'égocentrique, le narcissique, la névrose, la bipolarité,...

Les personnages sont, pour la plupart, des patients de Sauveur, mais sa famille (pas simple non plus) fait partie intégrante du récit.

D'un tome à l'autre, les personnages évoluent souvent positivement : il faut bien que la thérapie du psy fonctionne...

Une série à mettre entre toutes les mains; elle fait vraiment du bien sans être un feel good.

Pour cette sixième saison, pas de changement majeur, mais l'évolution "normale" d'une famille recomposée, malgré tout atypique, vu les personnages qui y vivent. La vie continue ...

Certains patients reviennent, des nouveaux arrivent et on s'attache à tous ces personnages qui viennent tous avec leur histoire.

On n'aborde plus, comme dans les premiers tomes, des sujets qui touchent particulièrement les jeunes et il y a plus d'adultes parmi les patients. Peut-être que c'est la raison pour laquelle, en tant qu'adulte, je suis plus intéressée.

En lisant le sixième tome de «Sauveur et fils », j'ai découvert Yentl, réalisé par Barbara Streisand, elle-même. C'est pour Elliott, le jeune patient de 17 ans qui s'appelait « Ella », que Sauveur parcourt sa mémoire en quête d'une référence sensée. Sauveur Saint-Yves, psychologue clinicien reconnu dans son domaine, est doté d'une excellente intuition, qui le guide au fil des séances… Elliott est, à ce moment-là, perturbé, indécis car une élève de sa classe de première est amoureuse de lui! « Lui » qui était Ell(a)! Sauveur explique alors à Elliott que Yentl, personnage éponyme de la comédie musicale 🎤 dont l'histoire se passe au 19e siècle, étudie d'abord le Talmud avec son père. À la mort de ce dernier, elle décide de s'inscrire dans une Yeshiva pour continuer son apprentissage sous l'identité masculine d'Anshwel. J'ai été bouleversée par les premières scènes de la comédie grâce à Sauveur! Cette mise en abîme de Yentl, pour donner du relief au personnage d'Ella m'a permis d'accéder pour la première fois à l'univers de B. Streisand… Marie-Aude Murail est enseignante, à sa façon 🤗

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{Sauveur&Fils/Tome6/Marie-Aude Murail}

Bonsoir, je termine ce 6eme tomes et franchement c'est toujours et encore un plaisir.
Je me suis véritablement attachée à tout les personnages qui sont là, présents à chaque tomes.
J'ai eu plaisir à découvrir de nouveaux personnages dans ce tome.
J'ai vraiment hâte de lire le 7eme tome pour connaître un quelconque dénouement à cette belle histoire.

[A LIRE DANS L'ORDRE ÉVIDEMMENT 😜]
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Résumé : Noël approche au 12 rue des Murlins, et Sauveur reçoit de nouveaux patients, comme les anciens. Et cette saison 6 est riche en évenements !

Mon avis : C'est toujours aussi jubilatoire de se plonger dans cette série, et une fois de plus, j'ai lu cette saison 6 d'une traite, ou presque !

On retrouve d'anciens patients, mais aussi des nouveaux comme Sarah qui entend des voix dans sa tête et a des hallucinations, liées à un passé traumatique, Ghazil qui vole des clés dans le sac de sa prof de SVT, et qui attend inconsciemment que sa mère annonce la vérité sur son passé, une grand-mère qui ne se remet pas de la mort de sa fille et accueille son petit-fils, ou encore Didier Gérard qui ne se sent pas bien depuis qu'un de ses produits a tué un bébé.

Mais attention, un psy peut en cacher un autre et vous aider à résoudre vos soucis, à travers des conseils qui paraissent étranges et lancent notre visiteur dans une enquête policière !

Et Sauveur et Louise essayent toujours faire un bébé, tandis que Gabin semble s'être trouvé en partant dans l'armée de mer, au grand désespoir d'Alice, qui ne veut pas (s')avouer ses sentiments.

On rit, on frémit, on a peur, et on attend la suite avec impatience, car le résumé annonce tout de suite qu'un tome 7 arrive !

Je crois que je suis devenue une véritable addict de cette série que je vous recommande toujours aussi chaudement ! A suivre !
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Selon moi, le tome 6 de Sauveur & fils n'est pas une grande surprise. Sauveur à toujours un intérêt moins palpable pour ses patients que dans les premières saisons, ce qui rend ses rendez-vous un peu longs. Je pense notamment à Charlie, qui est de retour, ou bien à madame Robertson.
p.100 : « d'un geste las, il attrapa son agenda » « pour manifester son intérêt, alors qu'il réprimait des bâillements de faim. »
Cependant, j'ai trouvé certaines parties du livre très captivante. Dès le premier chapitre, un quiproquo s'installe : Jovo se présume psychologue et reçoit, sans réellement y prêter intérêt, un patient des plus étrange. de plus, le personnage de Frédérique à la recherche du bonheur fait une rencontre inattendue qui donne suite à une belle aventure. Il y a aussi l'histoire de Solo, que je trouvais peu fascinante, mais qui l'est devenue suite à l'arrivée de sa soeur ? mais je n'en dis pas plus ! Enfin, on fait la connaissance de Grégoire et de Sarah, ainsi que leurs histoires tristes et touchantes.
Je pense que ce tome n'est pas le meilleur des Sauveur et fils mais qu'il faut la peine d'être lu.

La prescription est toujours la même : des cas graves mais pas désespérés, un Sauveur souvent dépassé par les événements, un cocon familial recomposé qui ne cesse de s'agrandir, une grosse dose de bonne humeur, des dialogues savoureux, de la tristesse, de la joie, des coups durs, des coups de mou et des coups de fouet, le tout avalé sans temps mort à un rythme trépidant.

Le mélange de drame et d'humour fonctionne toujours aussi bien, la mécanique narrative permettant aux nombreux personnages d'évoluer de concert sans se marcher sur les pieds reste d'une redoutable efficacité et les pages défilent sans que l'on s'en rende compte. le propos se veut positif, la lumière finit toujours par surgir des ténèbres mais la bienveillance ne s'enrobe jamais des excès de sucre d'une indigeste guimauve, c'est une constante dont Marie-Aude Murail ne s'est jamais écartée depuis le premier tome.

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J'enchaîne, j'enchaîne...
comme je le disais dans ma critique du tome précédent, les problèmes des adultes prennent petit-à-petit plus de place. Jovo a alzheimer - et joue un nouveau rôle très amusant dans ce tome, il prend une certaine profondeur qui me plait - la mamie du petit Gaspard doit se faire opérer, Louise et Sauveur tentent d'avoir un enfant, et Frédérique s'engage dans une relation particulière avec Koslowski... j'oublie d'autres patients en route, mais ce tome se détourne résolument de son objectif initial, je pense.
Le monde de Sauveur est un petit monde, tout le monde finit par se connaître d'une manière ou d'une autre et notre psy est une figure centrale que tout le monde sollicite sans cesse. d'ailleurs, les consultations avec les Carré ou celles avec Charlie ressemblent plus à une conversation de salon de thé: la série devient moins vraisemblable, c'est dommage.
Les jeunes lecteurs trouvent quand même leur compte dans la tribu qui évolue dans la cuisine, notamment Paul qui prend une mauvaise direction en grandissant et Alice qui est décidément une jeune fille toute en complexité et de plus en plus attachante.
Vous l'aurez compris, j'ai encore dévoré ce tome mais il est temps que je fasse une pause (ça tombe bien la saison 7 n'est pas encore sortie) car mon esprit critique commence à s'aiguiser sérieusement!

Que dire qui n'aie pas déjà été dit et redit sur cette série ? Si vous n'avez pas encore fait la découverte de Sauveur et de sa famille, il faut absolument aller à leur rencontre. Vous en sortirez chamboulé, que vous soyez jeune ou un peu moins jeune. C'est toujours avec plaisir qu'on retrouve tous ces personnages terriblement humains, avec défaut et qualité mais toujours emprunt d'une immense bienveillance.

Les années passent, les personnages grandissent et se heurtent à de nouveaux obstacles, toujours très ancrés dans l'actualité. Comme le lecteur grandit lui aussi, il se retrouve toujours confronté à un moment où à un autre aux mêmes difficultés, provoquant ainsi un écho fort. La porte du cabinet du psychologue continue de s'ouvrir et de se fermer, parfois sur des personnalités qui ont toujours besoin d'aide et qui trouvent une oreille attentive auprès de Sauveur. D'autres fois, le travail est accompli et certains patients peuvent enfin voler de leurs propres ailes.

Sourire, émotion, justesse... Une lecture qui vous requinque l'âme !
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Une saga qui ne s'essouffle pas (et c'est pas si courant). La 4e de couverture promet un opus spécial digne d'une enquête policière, enquête que je n'ai jamais vraiment trouvée. Des interrogations, oui, de la curiosité, oui, mais « enquête » est un bien grand mot. Alors, déçue? Pas du tout: il y a un côté réconfortant à retrouver cette famille recomposée de mille morceaux et les patients perdus qui retrouvent leur chemin, guidés par le sympathique et bien nommé Sauveur, le tout sous la plume d'une autrice qui décidément sait trouver les mots justes. Vivement la saison 7!
Lien : https://tsllangues.wordpress..