AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Kafka sur le rivage (706)

- Posséder un objet qui symbolise sa liberté peut rendre un homme plus heureux que la liberté elle-même.
Commenter  J’apprécie          380
Les souvenirs, c'est quelque chose qui vous réchauffe de l'intérieur. Et qui vous déchire violemment le cœur en même temps.
Commenter  J’apprécie          374
Même en rêve c'est vraiment merveilleux de savoir lire.
-Hum, fit le jeune homme. Moi, je sais lire mais ne lis jamais. Le monde est mal fait.
Commenter  J’apprécie          360
Sous l’implacable emprise du quotidien, beaucoup de préoccupations, autrefois si chères à nos cœurs, disparaissent de nos consciences comme des étoiles mortes. Il nous faut penser chaque jour à tant de choses, nous familiariser en permanence avec de nouveaux styles, de nouvelles connaissances, de nouvelles techniques, de nouveaux mots… P 127
Commenter  J’apprécie          360
Je retourne dans la salle de lecture, m'installe sur un canapé et me plonge à nouveau dans l'univers des "Mille et Une Nuits".
Petit à petit, la réalité autour de moi disparaît, comme dans un fondu-enchaîné sur un écran de cinéma. Je m'enfonce seul entre les pages.
J'aime cette sensation plus que tout au monde.
Commenter  J’apprécie          360
Mais le passé, c'est comme une assiette brisée: on aura beau essayer d'en recoller les morceaux, on ne pourra jamais lui rendre son aspect d'antan.
Commenter  J’apprécie          360
En voyage, on a besoin d'un compagnon et dans la vie, de compassion.
Commenter  J’apprécie          360
Et qui êtes-vous au juste ?
- Je n’ai pas de nom
- Ca doit être gênant dans la vie courante, non ?
- Pas vraiment. Je n’ai jamais eu de nom, ni de forme d’ailleurs.
- Comme un pet quoi.
- Oui, si tu veux, en effet.
Commenter  J’apprécie          350

J'avance sur le rivage de ma conscience. Les vagues viennent lécher la grève, et refluent en laissant des lettres derrière elles; puis elles reviennent et les effacent. J'essaie de déchiffrer les mots entre les vagues.
Commenter  J’apprécie          340
Dans cent ans, plus une seule de ces personnes - y compris moi – ne sera sur cette terre. Nous serons tous redevenus cendre ou poussière. A cette idée, je me sens bizarre. Tout ce qui m’entoure me semble éphémère, illusoire, prêt à disparaître dans un souffle de vent. J’écarte mes mains et les examine. Pourquoi est-ce que je me donne tout ce mal ? Pourquoi s’efforcer si désespérément de survivre ? P 74
Commenter  J’apprécie          340







    Lecteurs (13196) Voir plus




    {* *}