L'appel de l'ange

L'Appel de l'Ange, est mon tout premier Musso.

J'ai tout entendu et lu sur Guillaume Musso, certains l'adore, d'autres non ! Il fallait que je me fasse une opinion.

Une idée qui n'est pas mauvaise.... deux portables, s'échangent par inadvertance dans un aéroport parisien... Les propriétaires ne se rendent compte de rien, saut une fois embarqués... AH ! les maladroits....Ils se maudissent...

Une enquête tirée par les cheveux. Une lecture simple...à lire sur une plage, on passe un bon moment. Ensuite ? Il n'en reste rien !!
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Affreux comme livre, comme d'habitude. Les gens ont un dévouement horrible pour ce Musso, pourtant ça ne vole vraiment pas haut.
Au début il commence simple et cucul la praline, puis ça finit en meurtre et fusillade, mais en fait Musso, si tu veux écrire un roman policer, annonce-le ouvertement,et fais en sorte que ce soit vraiment policier, parce que commencer tout doux et finir comme ça, euh ça marche pas du tout, et puis ça ne matche pas avec son style d'écriture.
Je ne comprends pas pourquoi les gens en raffolent, à la rigueur s'il était écrivain dévoué complètement pour un type de roman, notamment policier ou romantique, je pourrais comprendre, mais lààà.
Franck THILLIEZ, un écrivain, qui lui, sait vraiment comment capter l'attention des lecteurs, mériterait hautement le succès de Musso, parce que , avec lui, au moins, on sait qu'il y aura du sale, et le nombre d'informations cumulées dans ses romans, c'est juste énorme.
A chaque fois que je lisais un roman de Musso, je ne me souvenais pas avoir gardé une information intéréssante, sauf la géograpihe des états unis.
Et en parlant de ça, je n'aime pas du tout non plus, l'obligation de Musso, de toujours avoir des faits an Amérique, je pense que des faits en France, dans des régions enclavées, bah, mine de rien, ça fait beaucoup plus glauque, au lieu de cette alternace entre paris et NEW YORK ou encore LA.
En bref, ces romans ne sont, dans le fond, pas captivant, et il ne mérite absolument pas le top du palmarès.

Mais WTF ?? Je n'ai pas fini ce livre. Je n'ai pu. C'était trop. Trop de coincidences, trop d'invraissemblances (même pour un Musso), trop d'incohérences. J'ai aimé certains Musso, j'en ai détesté la plupart, mais celui-là est vraiment un des pires

Sur les conseils de Clara. J'ai dit : "c'est toujours la même histoire, non ? Ils sont bôôô, ils sont riches, ils vont finir ensemble." Elle a dit : "Ouais mais c'est trop bien !" En effet ça se lit vite et bien. Ca détend, un peu comme regarder la télé. Mais c'est un peu nul quand même !

Premier roman de Guillaume Musso que je lis enfin! Et dernier aussi!
J'avoue que de loin tous ces romans me semblaient identiques car basés sur une structure de personnages principaux habitant en France et aux USA. Mais j'ai tout de même tenté.
L'appel de l'ange ne restera pas dans ma mémoire. Je ne peux reprocher à Musso de maîtriser les techniques d'écriture que l'on nous enseigne dans tout bon cours. de ce point, je n'ai rien à reprocher à part le sentiment d'être dans une machine bien huilée, sans aucune originalité ou prise de risques.
Pour le reste: les personnages sont une suite de clichés qui donnent mal au coeur, les énigmes prennent les lecteurs pour des idiots par leurs simplicités enfantines. Que dire du lien des deux personnages principaux? C'est totalement improbable et tiré par les cheveux. Que 2 personnes échangent leur portable par erreur: pas de soucis. Mais que les 2 personnes aient chacune un secret digne d'une enquête policière, ça devient très gros. Et quand ces 2 personnes (habitant sur des continents différents, il est bon de le rappeler) sont en plus liés par la même enquête, ça devient tellement ridicule que je manque de mots.
Bref, je comprends que beaucoup puisse aimer ces raccourcis et cette facilité de lecture, mais c'est définitivement un auteur qui sort de ma liste de lecture.
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Facile à lire. Histoires couplées plutôt sympathiques. le point le plus négatif est sans doute le style. Ce dernier oscille entre romantique, sans la flamme des sentiments, et policier, d'une lenteur incommensurable, sans en être vraiment. La trame est grossière, tressée de fils épais et pourtant si transparente! Les figures de styles sont fades, prises pour elles mêmes et ne se noient pas dans le récit. le vocabulaire et les traits d'esprits sont pauvres et il est dommage de les expliquer après les avoir utilisés comme si le lecteur ne connaissait rien!

Lire Musso ... et puis mourir ! Soit de rire, soit d'ennui! de rire parce que je ne peux m'empêcher de m'amuser de l'ingéniosité mercantile présente chez cet auteur et sa maison d'édition. D'ennui, parce que la paire d'heures de lecture consacrée à ce bouquin ne m'a apporté aucun, mais alors vraiment aucun moment de bonheur à lire !
Comment peut-on donner autant de crédit à cet auteur? Comment peut-on envisager qu'il soit sur les présentoirs dans toute "bonne librairie" qui se respecte … en tant que commerce (Eh oui, ça se vend et il faut qu'ils vivent ... les libraires!) ?
L'idée de départ n'est pas mauvaise, digne d'un film de fin de semaine. On aurait pu être distrait, paisiblement accroché par une histoire pleine de rebondissements, de gags, d'émotion, de surprises. Deux Gsm s'échangent, par inadvertance dans un grand aéroport... mais, forcément, les propriétaires ne s'en rendent compte qu'une fois embarqués ; forcément, sur des vols diamétralement opposés et forcément, ces deux-maladroits se maudissent, ce qui leur permettra de s'aimer follement en fin d'histoire. Quand il s'agit du film du vendredi soir, on peut même s'assoupir un peu. Quand on reprend ses esprits, on raccroche sans difficulté. Dans le livre, c'est pareil…
Quand on ouvre « L'appel de l'ange », on est parti pour une chevauchée, tout sauf fantastique! On devine à peu près toutes les ficelles du roman. Ce sont des câbles! On n'a même pas besoin de faire un effort pour ne pas perdre le fil... Il est tellement évident qu'on peut prendre ce roman pour lire dans le train ou à une terrasse de café et y être interrompu par le premier distracteur qui passe... Sans souci, après les salutations et échanges de convenance avec l'importun venu interrompre la lecture, on reprend l'histoire, sans aucune hésitation et on suit l'auteur (pardon, souvent, on le précède) jusqu'au déroulement, véritable bouquet d'artifice de convenu, de prévisible, de "je l'avais senti" !!!
Bref, 1 pour l'idée de départ qui aurait pu être amusante et un autre 1 pour l'écriture qui rend la lecture à la portée de tous et ne n'oblige aucune prise de tête pour en venir à bout!
Cotation : 2 sans aucune envie de le relire !

Ce roman est l'exemple parfait de "tousseki" littéraire. Tout ce qui s'est déjà écrit en littérature populaire s'y retrouve : les deux personnes que tout oppose, l'impossible qui devient possible, le secret qui cache un secret, le meilleur ami surfeur qui refuse de vieillir, etc.
Il n'y manque qu'une phrase du genre : "Je ne peux pas t'épouser... je suis ta soeur" (peut-être dans son prochain roman?).
Musso n'écrit pas des histoires. Il les réécrit, et ce, sans trop se soucier d'offrir quoi que ce soit de vraiment nouveau. Idéal pour ceux qui lisent comme d'autres s'alimentent au McDo. Obésité cérébrale en vue...

Ce livre, prêté par une collègue, est le dernier Musso que je lirai. J'ai essayé par deux fois et deux fois je n'ai pas pu lire en continu.

Trop d'invraisemblances, de situations rocambolesques, de personnages ridicules, de rebondissements impossibles. Au bout d'un tiers je n'ai plus fait que lire en diagonale, histoire d'aller au bout .

Je ne perdrai pas plus de mon temps à critiquer ce récit, d'une part car il n'en vaut pas la peine, d'autre part parce que je serai bien en peine d'en tirer quelque chose de cohérent.

Une petite comédie romantique, légère comme on aime lire dans le train, ça ne demande pas trop d'attention, c'est agréable, les personnages sont attachants, le sujet original, en cuisine et fleurs, il y a pire comme univers.Tout va bien donc pendant le 1er tiers.

Puis on découvre que Madeline a été agent de police avant de se reconvertir en fleuriste .... et là ça dérape franchement : les rebondissements sont carrément invraisemblables ou complètement téléphonés.
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