Adabana, tome 1

Une petite série de mangas seinen écrite et dessinée par NON. Ce thriller se lit très vite, c'est bien dessiné et bien sûr on veut savoir pourquoi Mizuki a tué son amie Mako... Alors on dévore les trois tomes d'affilée, mais en terme de malaise... eh bien il faut avouer que ça se pose là ! Peut-être suis-je trop sensible mais cette histoire est particulièrement sordide !
A recommander ? Pourquoi pas, mais à un lecteur averti !

Ouf voilà un petit titre coup de poing bien senti comme il faut. J'aime les thrillers sous toutes ses formes alors en manga, je ne pouvais pas rater ce titre. Encore plus en série courte !
Adabana, c'est violent, révoltant et surtout intrigant. Je veux comprendre ! Comprendre comment Mizuki se retrouve à avouer le meurtre de sa meilleure amie Mako, toutes les ficelles entourant ce mystère se tirent et se nouent pour nous emmener bien plus loin dans la noirceur humaine. Thriller psychologique attrayant et donnant la chair de poule, sans compter que j'aime les traits graphiques, j'ai hâte de pouvoir lire le reste de la trilogie.

Un premier tome extrêmement percutant. On se retrouve là avec une histoire très dérangeante mais plus que tout prenante. L'ambiance est sombre, très sombre et les mystères sont nombreux. Les dessins servent vraiment le récit. On est plongé dans l'intrigue avec tous ces personnages complexes, ambigus et déroutants. Bref j'ai hâte de lire la suite et de connaitre le fin mot de cette histoire.

Si vous aimez les histoires bien sombres qui vous emmènent au plus profond de la noirceur humaine, les thrillers bien ficelés, haletants et addictifs, alors Adabana est pour vous.
Trois tomes de qualité égale, un graphisme superbe malgré la noirceur de certaines pages, un intérêt entretenu jusqu'à la fin, Adabana coche toutes les cases !
Mizuki et Mako, les deux jeunes filles au visage angélique, resteront longtemps dans mes pensées.
Un coup de coeur de mon libraire et je suis bien contente d'avoir écouté ses recommandations !

Venez découvrir un thriller psychologique surprenant !

Une lycéenne est retrouvée morte dans la neige. Quelques jours plus tard, sa meilleure amie se rend au poste de police... Et déclare être la meurtrière !

Évidemment, on sent qu'il y a anguille sous roche. C'est malaisant et j'adore ça !

Les dessins retranscrivent l'ambiance à la perfection. On sombre aux côtés des personnages, découvrant des pans cachés de leur histoire.

Entre les histoires de meurtre, de stalker et de pornographie, ce manga n'est clairement pas une lecture tranquille !

☼ Mon avis ☼

Aujourd'hui, je vous propose de découvrir ma chronique sur le premier tome de la série " Adabana "aux Éditions Kana.
Ayant reçu le deuxième tome en partenariat, il me fallait absolument le premier tome pour pouvoir commencer la série, c'est pourquoi je l'ai demandé pour Noël.
Dès le début, je savais que ce titre allait me plaire tout simplement car la cover est vraiment très belle.
Quand on ouvre le livre on peut apercevoir de splendides pages tout en couleur qui sont très réalistes.
Je mettais un peu pencher sur l'histoire, en tout cas je savais que le récit était sombre mais je ne m'attendais pas à un tel niveau.
L'oeuvre que nous propose la mangaka Non est vraiment très mature en mettant en avant des tentatives de viols et des meurtres.
C'est un titre qui bien évidemment n'est pas à mettre dans toutes les mains !
Adabana " est une série qui pourrait devenir par la suite, un véritable coup de coeur, car c'est un thriller captivant et super-flippant !
Le coup de crayon de l'autrice est vraiment puissant, ses traits sont fins, il n'y a aucune retenue du côté de la violence que subissent les protagonistes.
Ma lecture m'a fait passer par toutes sortes d'émotions, déjà d'abord par la curiosité et mon envie d'en savoir plus sur les actes de Mizuki.
Comment a pu tel tuer sa meilleure amie ... il faut vraiment être tordu pour faire ça, mais plus vous progressez dans l'histoire, plus vous comprenez certaines de ses actions.
Mais aussi par la tristesse car, au fil des pages, on s'attache rapidement à Mako et Mizuki.
Il y a également la colère car à cause d'une certaine personne, le quotidien de Mako a complètement été chambouler.
Nous avons un grand format, très qualitatif avec des planches réalistes et magnifique à regarder.
L'amitié entre les deux adolescentes est touchante et j'ai hâte de voir comment une jeune fille peut arriver au stade de tuer sa meilleure amie.

Lien : https://mangastra.blogspot.c..

Autant le dire tout de suite ce manga n'est pas à mettre entre toutes les mains. Ici pas de belles histoires avec un happy end. Dans Adabana on va plutôt trouver ce qu'il y'a de pire chez l'homme : meurtre, pédophilie, harcèlement ou encore relations toxiques. Ce « joli » programme donne envie, n'est-ce pas? Tout débute par le meurtre de Mako par son amie (à priori) Mizuki. Mais est-ce la réalité? Pourquoi Mizuki aurait-elle tué sa meilleure amie? Rivalité amoureuse? Mizuki ne serait elle pas une victime? Pour le découvrir plongez dans ce thriller en 3 tomes et au dessin impeccable. Ames sensibles s'abstenir.

Dans une petite bourgade japonaise, un meurtre a été commis, alors que le corps de la victime reste introuvable, sa main est envoyé à son domicile.
Evidemment cela fait parler dans ce petit bled habituellement si tranquille.
C'est à ce moment qu'une lycéenne que personne n'aurait jamais pu soupçonner d'un tel acte va se rendre à la police en disant avoir commis ce crime et savoir ou est caché le corps.

Série courte en 3 tomes, Adabana est un série sombre, qui plus qu'un simple thriller, va revenir sur la noirceur de l'homme et des pires choses dont il est capable.
Dès le début de l'histoire nous connaitrons des éléments du crime, mais qu'est ce qui a pu mener à cela ?

Un récit poignant que l'on peut qualifier de "page turner" tant une fois dans l'histoire vous aurez du mal à décrocher avant d'en connaitre la fin.

Assez affreux avec de gros TW (notamment une scène de tentative de viol plutôt graphique).
Bon premier tome, c'est très intriguant.
Les dessins sont très beaux mais je suis déçue de constater une espèce de fan service? Genre une planche sur les seins de l'avocate? L'utilité???

J'aime bien de temps en temps lire un petit thriller choc qui va bien me remuer. Quand j'ai lu l'extrait d'Adabana rendu disponible par l'éditeur (c'est toujours chouette quand ils font ça pour nous aider à nous faire une idée ;) ), j'ai su ce serait le cas pour cette série, mais sa brièveté me faisait peur. Au fut des bons avis globaux sur son ensemble, je me suis lancée rassurée et je dois dire que ce premier tome tient parfaitement la route. 

Mangaka ayant déjà à son actif une série terminée en 20 tomes au Japon (Hare-Kon) NON a donc débarqué chez nous cette année avec cette courte série en 3 tomes, en semi-grand format, avec de belles couvertures aux fonds simples mais percutant sur lequel les héroïnes se détachent, dans des ambiances très différentes et intrigantes tant elles tranchent avec ce qu'on pourrait attendre ici.

De la même façon, les premières pages de ce thriller débutent plutôt calmement avec une jeune lycéenne lambda à qui sa mère met la pression comme c'est souvent le cas, et qui a une amie un peu moins coincée qu'elle. Elles vivent leur petit train train d'ado, mais un jour tout bascule et l'histoire va démarrer alors que Mizuki, la plus lisse des deux, va se rendre à la police pour avouer le meurtre et le démembrement de sa meilleure amie : Mako. Que s'est-il passé ?

Le récit est très bien construit. Il reprend tous les codes des thrillers modernes et actuels, avec un rythme un peu lent, mais qui, quand même, happe le lecteur. Il y a beaucoup de mystères et de non-dits, une certaine incompréhension face à la situation au vu des premiers éléments qu'on a et surtout le dévoilement au fil des pages d'une héroïne glaçante sous ses airs de petite fille sage. le fait que les premières pages, en couleur, nous montre celle-ci l'arme à la main, donne le ton. Puis ensuite toute la procédure judiciaire nous entraîne dans le récit glaçant de ce qui a conduit à ce moment.

Je dis glaçant et pourtant je trouve que c'est assez "soft". Même si elle a tué sa meilleure amie et peut-être d'autres, le récit nous en est fait de manière assez détachée, au point de nous empêcher de ressentir vraiment de la crainte ou de la frayeur. Il y a presque une banalisation de cette violence, et c'est ce qui dans un second temps interpelle. On est de plus confronté avec cette affaire à des sujets actuels : violences faites aux femmes, pédophilie et pédopornographie, harcèlement, pression familiale... Cela donne une teinte très moderne même si c'est clairement déjà vu et revu.

Ce qui au final fascine, ce n'est pas tant le récit de ce qui s'est passé et les multiples niveaux que l'on découvre au fur et à mesure mais plutôt le comportement de Miyuki, qui détonne terriblement. Cette jeune ado qu'on découvre toute lisse, toute banale et très réservée, se dévoile peu à peu être très inquiétante. Elle a de multiples visages. Il y a celle qu'on nous montre avant les meurtres, mais qui est le narration dans ce cas-là si ce n'est elle !, et celle qu'elle est dans le présent. La première est toute douce, avec peut-être une légère obsession et possessivité vis-à-vis de sa meilleure amie, tandis que la seconde a l'air d'une manipulatrice froide et très maligne. Laquelle des deux est la vraie ? Est-elle les deux en même temps ? Si oui, comment est-ce arrivé ? Autant de questions qui fascinent et que l'autrice met parfaitement en scène avec un rythme et une mise en scène très efficace.

Le choix du grand format est d'ailleurs particulièrement judicieux ici pour nous faire plonger de plein pied dans ce récit et nous mettre presque à hauteur d'homme. On regarde ainsi les yeux dans les yeux les protagonistes de cette histoire sous le trait assez réaliste de la mangaka, ce qui les humanise énormément mais peut aussi parfois nous glacer face à leurs regards froids et limite possédés. C'est à nouveau un trait qu'on a pu voir chez plein d'autres mangakas du Grand Jump ou du Young Magazine mais il y a une belle efficacité derrière et un travail minutieux sur les décors et les aplats de noir, reflétant bien l'ambiance du récit.

Ainsi comme je le pressentais, nous sommes ici avec un thriller à l'habillage classique mais qui se révèle être d'une redoutable efficacité pour nous raconter une histoire glaçante où mille questions se posent et où chaque révélation entraîne une autre question, notamment sur la personnalité si particulière de l'héroïne. Je suis happée.
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