Je le reconnais, je ne suis pas une lectrice férue de bit-lit. Pour ce qui est des vampires, des loups-garous (ou autre bébête à crocs) je me contente généralement de films ou de séries.
J'ai donc voulu franchir le pas avec
Anamorphose. La couverture, avec cette représentation d'une femme en proie à la torture physique, présageait un livre sombre, différent de tout ce qu'on peut trouver actuellement en librairie.
Effectivement, il est différent. Certains passages s'avèrent très violent, voire obscènes. le vampirisme ici n'est pas perçu comme un don, mais plutôt comme une malédiction, un fardeau avec lequel il est difficile de vivre jour après jour.
Concernant l'histoire d'amour entre les deux protagonistes, oui car il y a toujours de l'amour qui se cache derrière tout ça, on tombe encore une fois dans le cliché Ô combien de fois revisité de l'amour impossible entre un vampire et une humaine. Je ne sais pas vous, mais moi je commence à saturer de toujours avoir à faire aux mêmes rengaines. C'est dommage, l'histoire qui avait pourtant bien commencée, devient vite fade, et ne parlons même pas du dénouement, bien trop prévisible et niais à mon goût.