Stockholm,
1794. Erik est aux anges, il épouse son amour de jeunesse après avoir dû lutter, des années durant, contre l'assentiment de son père.
Le lendemain de la nuit de noces, cependant, la jeune épouse est retrouvée morte et Erik, premier suspect de ce crime, a disparu.
Mandatés par la famille de la jeune fille, Emil Winge et John Michael Cardell vont mener l'enquête et tenter des démêler le fil tarabiscoté de cette intrigue.
Et chapeau à eux. Parce que personnellement, j'ai rapidement lâché prise, noyé dans les invraisemblances, perdu dans les chemins de traverse incompréhensibles.
J'avais apprécié
1793, son ambiance unique de Suède touchée par les remous de la Révolution française.
Ici, après un prologue choc et instructif décrivant la vie insoutenable des esclaves importés dans les Caraïbes (la Suède y possédait la colonie de Saint Barthélémy), j'étais également captivé, enthousiaste. Mais la suite du roman m'est tombée des mains. Confus, irréaliste, traîné en longueur : je n'ai pas réussi à y accrocher et la deuxième moitié du roman a été un chemin de croix dont la souffrance n'a eu d'égale que la satisfaction d'enfin en tourner la dernière page.
1795, le dernier tome de la trilogie est sorti l'an passé. Dommage, j'ai piscine. Vous me raconterez.