AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Les Oubliées du printemps (45)

Il n' y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
Commenter  J’apprécie          100
Un père faible ou absent, qui laissent les enfants seuls et sans protection contre une mère dominatrice est un élément récurrent des biographies de criminels en série. (…) Chez les femmes, la psychopathie se manifeste autrement que chez les hommes (…) généralement, la psychopathie féminine se manifeste surtout par un comportement destructeur et manipulateur.
Commenter  J’apprécie          00
Bodenstein s’était souvent demandé pourquoi la plupart des gens devenaient nerveux à l’apparition de la police. Cela provenait-il des séries policières ou y avait-il, profondément ancrée dans les gènes humains, une sorte de mauvaise conscience innée ?
Commenter  J’apprécie          10
Ce qui animait Bodenstein et l'aidait à supporter la confrontation permanente avec les noirceurs de l'âme humaine était un profond désir de justice. Redonner son identité à un inconnu assassiné, faire la lumière sur un meurtre des décennies après et ainsi donner une certitude aux proches de la victime lui procuraient une satisfaction que seule la mission d'enquêteur pouvait apporter.
Commenter  J’apprécie          10
Les psychopathes sadiques ont souvent été victimes de maltraitance, de négligence affective et de violences.
Retenez ceci : les tueurs en série sont des malades qui ne peuvent nullement être guéris , pas plus par la psychiatrie que par autre chose. La seule chose qui puisse arrêter un psychopathe est un psychopathe encore plus atteint que lui.
Commenter  J’apprécie          00
Je me demande encore aujourd'hui comment ca se fait que personne ait eu des soupçons. Sans arrêt il y en avait un qui tombait dans l'escalier ou qui dégringolait d'un arbre. Personne ne voulait voir, c'est pas compliqué.
On n'était que des orphelins asociaux dont personne ne voulait. On n'intéressait pas. Impossible qu'y se passe des choses comme ça chez les Reifenrath si généreux, qui se dévouaient pour de la racaille comme nous!
Commenter  J’apprécie          00
Elle sursauta en entendant un bruit tout proche.
Quelque chose toucha son bras et une douleur brûlante lui zébra le corps. Elle s'affaissa, incapable de bouger.
De la salive s'échappa de sa bouche. Il allait la tuer. Ou la violer. La douleur revint, fit tressauter ses membres, puis tout devint noir.
Commenter  J’apprécie          00
Nous ne connaissons pas encore le facteur déclenchant qui le fait passer à l'acte, mais nous savons qu'il a besoin de voir et de sentir la vie quitter le corps de ses victimes. Nous pouvons en déduire que leur mort a été lente et douloureuse.
Commenter  J’apprécie          00
« Tu sais, dit-elle à son époux, tout à l’heure en me lavant, j’ai réalisé combien les réverbères, les voisins, le son des cloches des églises, la proximité des magasins et des restaurants, combien tout ça m’avait manqué. C’est grave que je ne regrette pas du tout le Birkenhof ?
- Pas du tout, répondit Christof. Nous y avons passé de belles années, maintenant nous sommes ici : "Seul qui est prêt à partir et à voyager peut s’arracher à l’habitude qui paralyse". Herman Hesse le savait déjà. »
Commenter  J’apprécie          30
Bodenstein s’était souvent demandé pourquoi la plupart des gens devenaient nerveux à l’apparition de la police. Cela provenait-il des séries policières ou y avait-il, profondément ancrée dans les gènes humains, une sorte de mauvaise conscience innée ?
Commenter  J’apprécie          20






    Lecteurs (236) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Une vie au galop

    Comment s'appelle le double poney blanc que monte souvent Elena ?

    Fritzi
    Twix
    Sirius

    6 questions
    4 lecteurs ont répondu
    Thème : Elena : Une vie au galop de Nele NeuhausCréer un quiz sur ce livre

    {* *}