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Citations sur Les Oubliées du printemps (45)

Il n' y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
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« Tu sais, dit-elle à son époux, tout à l’heure en me lavant, j’ai réalisé combien les réverbères, les voisins, le son des cloches des églises, la proximité des magasins et des restaurants, combien tout ça m’avait manqué. C’est grave que je ne regrette pas du tout le Birkenhof ?
- Pas du tout, répondit Christof. Nous y avons passé de belles années, maintenant nous sommes ici : "Seul qui est prêt à partir et à voyager peut s’arracher à l’habitude qui paralyse". Herman Hesse le savait déjà. »
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Bodenstein s’était souvent demandé pourquoi la plupart des gens devenaient nerveux à l’apparition de la police. Cela provenait-il des séries policières ou y avait-il, profondément ancrée dans les gènes humains, une sorte de mauvaise conscience innée ?
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Il avait d’abord pensé interrompre sa surveillance quelques jours, mais c’était comme le tabac ou la boisson : à partir du moment où on décidait de ne plus fumer une clope ou de ne plus boire une goutte, c’était encore plus obsédant et on ne pouvait plus résister.
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Quelle amertume pour les proches d’apprendre de quoi était capable une personne qu’il croyait connaître, se dit Pia, une fois de plus. La compassion allait toujours aux familles des victimes, les familles des criminels, elles, restaient seules avec leur désarroi et leur honte.
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La lâcheté et l’indifférence de l’entourage étaient la meilleure protection des assassins, se dit Pia.
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Quand ils commençaient leur phrase par « franchement », les gens parlaient rarement franchement. (Pia)
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« Quelle est la différence entre un psychopathe et un pervers narcissique ? » s’enquit Bodenstein.
- Le pervers narcissique a surtout besoin d’admiration. Il désire être considéré. Il est peu sûr de lui, il a donc constamment besoin de réassurance. Un individu narcissique aime parler de lui-même, si possible devant un public attentif, comme Reker l’a fait, tout à l’heure. Les individus narcissiques sont très doués pour parler, mais pas pour écouter. […] Un psychopathe, en revanche, est dénué de ce qu’on appelle communément la conscience morale. Il peut se dissocier de ses agissements et ne ressent pas ce qu’il fait à autrui. Les psychopathes font par exemple d’excellents chirurgiens […]
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Les personnages de serial killer revenaient certes assez souvent dans les romans, les films et les séries, mais dans la réalité ils étaient assez rares. N’empêche que l’affaire de Schwalbach leur avait encore bien montré qu’ils étaient loin d’être tous des marginaux un peu limités et socialement défavorisés, comme le voulaient les clichés.
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Bodenstein s’était souvent demandé pourquoi la plupart des gens devenaient nerveux à l’apparition de la police. Cela provenait-il des séries policières ou y avait-il, profondément ancrée dans les gènes humains, une sorte de mauvaise conscience innée ?
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