Le feu sacré

Katherine Neville signe la suite de son excellent « le Huit ». À la fin du dernier épisode, Cath Velis et son équipe avaient décidé d'enterrer les pièces de l'échiquier de Montgalme pour le bien de l'humanité ! Mais voici que, 20 ans plus tard, la Reine Noire refait surface... Un nouveau jeu vient de commencer.

Le roman alterne l'intrigue principale avec des épisodes se déroulant des siècles avant en Europe et en Orient. C'est l'occasion pour Katherine Neville de mettre en scène des personnages historiques et d'expliquer l'origine de ce jeu d'échec.

Pourtant le texte est lourd et certains passages ont du subir des problèmes de traduction. Donc, j'ai abandonné la lecture… restons sur le bon souvenir du Huit.

Comme tous ces livres, Katherine NEVILLE a écrit un livre bien documenté (il suffit de lire les quelques pages de remerciements en fin de livre).
On ne peut s'empêcher de le comparer au HUIT, et en faire une suite ne pouvait être que difficile, voire légèrement décevant.

"Le feu sacré" est la suite du roman "le huit" qui a pour thème central un jeu d'échecs, le jeu de Montglane, qui confère la toute puissance à celui qui l'obtient. Les deux romans sont construits de manière identique, une alternance de récits historiques et de récits dans le présent.
Autant j'avais apprécié cette alternance dans le "huit" qui permettait de comprendre la genèse du "grand jeu". Autant j'ai fait une overdose de ces récits historiques dans "le feu sacré". A mon sens ces chapitres sont longs , ennuyeux et n'apportent pas grand chose à l'histoire. L'auteur aurait pu faire beaucoup plus court.
Quant à l'histoire dans le présent, on découvre une héroïne complétement perdue, qui se retrouve prise dans "le grand jeu" parce que ses parents y ont joué 10 ans plus tôt. Elle est trimballée telle une poupée, de droite à gauche, par des protagonistes du "grand jeu" sans vraiment comprendre ce qui lui arrive. le temps que les gentils et les méchants soient mis dans les bonnes cases et le roman s'arrête là. On n'en saura pas plus. La fin n'a ni queue ni tête.
Un seul mot me vient en tête : déçue. Et une question : Pourquoi ?
Pourquoi l'auteur s'est telle fendue d'une suite à son premier roman ? Une suite qui n'apporte rien, une suite sans saveur, inutile.
Une belle déception pour moi alors que j'avais adoré ce premier roman.

Autant j'ai adoré le Huit autant je me suis ennuyée à lire la suite. J'ai failli abandonner et je me suis dit que la fin valait probablement le coup d'être lue. La fin est réellement plus agréable à lire mais ce livre m'apporte pas grand chose dans la suite du premier tome. Ce livre a probablement été écrit car le premier a été un succès. Déçue

Ce roman est la suite de "Huit" écrit 20 ans plus tôt. L'auteur nous écrasevpar son érudition et parfois je l'ai trouvée longue et ennuyeuse, elle nous promène d'un bout à l'autre de la planète, mêle la fiction à l'histoire. D'innombrable personnages à travers les siècles sont à la recherche d'un jeu d'échec maléfique qui suscite envie et convoitise, il y a confrontation entre la reine Claude et la reine Marie, il y a des morts et des disparitions. Celui ou celle qui possédera le jeu au complet sera le maître du monde, l'égal de Dieu. J'ai apprécié dans ce roman les faits de l'histoire authentique, mais l'ensemble trop fourni, ennuyeux. J.B.