AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,6

sur 15 notes
5
1 avis
4
3 avis
3
1 avis
2
0 avis
1
0 avis
Ma tata Thérèse à dévorer pour bien rigoler à partir de 7 ans. Les dessins sont aussi très drôles et donnent une dimension supplémentaire à l'histoire.
Venez donc faire la connaissance de la tata Thérèse, ses chats, ses pigeons, ses fennecs, son faisan... et son neveu!
Lien : http://latetedelart2.blogspo..
Commenter  J’apprécie          170
Ma Tata Thérèse, elle habitait dans un HLM riquiqui à Paris. Mais ça ne l'empêchait pas d'avoir une sacrée ménagerie !
Ma Tata Thérèse, elle a eu, en même temps ou pendant mon enfance : 4 chiens, entre 7 et 10 chats (dont un empaillé), des souris, 1 faisan dans les toilettes (même que je n'osais pas aller faire pipi, de peur que…), 3 fennecs dans la cuisine qui hurlaient à la mort à la nuit tombée, 1 perroquet qui chantait la Marseillaise et appelait le chien pour lui donner un su-sucre, 1 moineau (Nono) en liberté, des serins, 25 perruches et tourterelles (en cages), entre 50 et 150 hamsters qu'elle revendait au marché, 1 agneau condamné à mort par le boucher de la rue Mouffetard (qui est devenu un bélier, pas le boucher, l'agneau) jusqu'à ce que le facteur ne le découvre et qu'il soit envoyé à la campagne (le bélier, pas le facteur), un atèle qui un jour a libéré tous les animaux dans l'escalier de l'immeuble provoquant le malaise cardiaque d'une voisine.
Ma Tata Thérèse elle mettait des graines sur son balcon pour attirer les moineaux, les pigeons (ah non, pas les moineaux) et tant pis pour les dégâts et l'odeur…
Ma Tata Thérèse, elle était mariée à Tonton Gaston qui ne disait rien à ce zoo, placide, lisant son journal une colombe sur le tuyau de sa pipe.
Ma Tata Thérèse est morte, enfin pas tout à fait, je l'ai rencontré plus tard. Elle s'est posée sur mon épaule et est restée ainsi sans bouger .Ce rouge queue noir, je suis sûr que c'était elle (le dentier en moins), elle avait toujours voulu voler…
Une jolie histoire, farfelue, loufoque, cocasse, joliment illustrée et avec beaucoup d'humour.
Commenter  J’apprécie          90
Quelle histoire. On aimerai tous avoir une tata Thérèse, avec sa ménagerie et ses façons de faire et d'aimer les animaux. Une hymne à la joie de vivre et de partage avec les animaux loin d'être bêtes. Écriture avec beaucoup d'humour une fraîcheur inouï. Bien joué Fabrice nicolino, et Catherine meurisse !
Commenter  J’apprécie          50
Le narrateur raconte sa vie entre 1960 et 1966. Il avait alors entre 5 et 11 ans. Juré-craché il dit que tout est vrai. Comme si ! Il a un frère, Régis ; sa « tata Thérèse » est la soeur de leur mère. Il lui prête des excentricités. A peine croyables ! La tata aurait des baguettes magiques… Elle s'occupait d'animaux : des chats, des souris, des fennecs, des perroquets, des pigeons… Tout cela en plein Paris !

Mais si elle avait voulu elle aurait pu transformer un enfant qui n'aime pas lire en sale gosse qui dévore les livres…Choisissez votre camp…



Lien : http://crdp.ac-amiens.fr/cdd..
Commenter  J’apprécie          50
souvenirs d'enfance d'un monde englouti sous la normalité et l'hygiénisme.
Fabrice Nicolino nous raconte en courts chapitres la passion de sa tante, magicienne, pour les animaux.
On y croise chats, chien, fennec, perroquet .... rire de hyène et dentier facétieux.
On rigole bien.
Saine lecture pour les enfants qui régale les parents...
A déguster sans modération !
Commenter  J’apprécie          30
La tata de Fabrice n'était pas une personne ordinaire. Plutôt du genre à impressionner, enfant, l'adulte qu'il est devenu, en laissant en lui le souvenir impérissable d'une amie inconditionnelle des animaux. le neveu nous invite dans son minuscule appartement parisien, peuplé, au gré de ses sauvetages et de son instinct protecteur, d'une faune insolite. Sans relâche, Thérèse vient au secours des animaux en détresse, prenant le parti de l'agneau contre le boucher, attirant dans sa tanière à force de ruse et de patience un perroquet égaré, offrant à tous le gîte et le couvert avec la plus débordante générosité.



Le personne fascine, impressionne, effraie l'enfant , telle une idole terrible et toute puissante. Elle impose sa présence et sa volonté, reléguant dans son ombre un compagnon humain plus que discret, tout son dévouement étant réservé au bien être de ses protégés. Bien-être sur lequel l'auteur s'interroge rétrospectivement, doutant finalement qu'un faisan puisse se plaire dans le mètre carré des toilettes de la tata. Avec l'humour décapant qu'on lui connaît, en accord parfait avec les drôlissimes illustrations de Catherine Meurisse, Fabrice Nicolino se raconte en admirateur incrédule d'une tante magnifique dont l'influence se répercutera sur lui comme sur ceux qui feront, grâce à ce livre, son indispensable connaissance.


Lien : http://libr.animo.over-blog...
Commenter  J’apprécie          20
On a envie de découvrir cette tante urluberlu et toute sa ménagerie, surtout quand on voit la couverture truculente. Les premiers chapitres m'ont plu, sans que je puisse prendre un grand plaisir par la suite tellement les situations sont ubuesques et répétitives.
Commenter  J’apprécie          10


Lecteurs (48) Voir plus



Quiz Voir plus

Compléter les titres

Orgueil et ..., de Jane Austen ?

Modestie
Vantardise
Innocence
Préjugé

10 questions
20233 lecteurs ont répondu
Thèmes : humourCréer un quiz sur ce livre

{* *}