Dans la salle d’attente, l’équipe des stups de Noémie était au complet et personne n’eut le courage de leur préciser que l’endroit était non fumeur.
L'enfer reste toujours le regard que les autres portent sur nous. Comme un jugement. Le regard qui nous examine, celui qui nous empêche d'oser, celui qui nous freine, celui qui nous peine, celui qui nous fait nous aimer ou nous détester.
Elle cligna de l’œil, une fois.
De l’autre côté du miroir, l’étrangère cligna aussi.
Elle s’était préparée à voir son visage, même accidenté, mais ce n’était plus son visage. Elle ne s’identifia pas à l’écorchée d’anatomie qui la fixait.
« C’est mon moi mort que je regarde. »
L'enfer reste toujours le regard que les autres portent sur nous. Comme un jugement. Le regard qui nous examine, celui qui nous empêche d'oser, celui qui nous freine , celui qui nous peine, celui qui nous fait nous aimer ou nous détester.
"Le courage c'est une qualité. La témérité c'est une faiblesse." (p. 159)
Pardon, mais on vous envoie où déjà ?
- Decazeville, dans l'Aveyron.
- L'Aveyron ? Ah oui. Quand même.
L’enfer reste toujours le regard que les autres portent sur nous. Comme un jugement. Le regard, qui nous examine, celui qui nous empêche d’oser, celui qui nous freine, celui qui nous peine, celui qui nous fait nous aimer ou nous détester. Mais là, dans celui du psy, elle ne lut qu’une insupportable bienveillance.
[...] Nettoyer les ordures, comme les éboueurs.
Répétez continuellement à un enfant qu’il ne fait que des bêtises et il les multipliera. Répétez-lui qu’il n’est qu’un idiot et il le deviendra. Tout simplement parce que nous n’aimons pas décevoir.
L'enfer reste toujours le regard que les autres portent sur nous .Comme un jugement. Le regard qui nous examine, celui qui nous empêche d'oser, celui qui nous freine, celui qui nous peine, celui qui nous fait nous aimer ou nous détester.