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Grâce à la rencontre avec Haya qui vient de Syrie, pays en guerre, Gabriel va découvrir l'histoire de sa grand-mère, ravivée par la venue de la petite fille.
La condition des personnes migrantes est remise en perspective avec un rappel historique des migrations antérieures à notre époque. L'importance du témoignage de la grand-mère est ce qui va souligner la nécessité de l'accueil, de la solidarité pour Gabriel.
A lire.
La professeuse documentaliste
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Grâce à la rencontre avec Haya qui vient de Syrie, pays en guerre, Gabriel va découvrir l'histoire de sa grand-mère, ravivée par la venue de la petite fille.
La condition des personnes migrantes est remise en perspective avec un rappel historique des migrations antérieures à notre époque. L'importance du témoignage de la grand-mère est ce qui va souligner la nécessité de l'accueil, de la solidarité pour Gabriel.
A lire.
La professeuse documentaliste de cdicollegeguisthau
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abriel et ses camarades doivent accueillir Haya dans leur classe. Elle vient de Syrie, l'adaptation n'est pas simple pour sa famille et elle, et l'accueil pas toujours aimable. Mais Haya n'a pas peur d'eux. Une seule chose lui fait peur : la guerre.
C'est un très joli roman sur l'amitié, l'immigration, et les secrets de famille aussi. Parce qu'avec l'arrivée d'Haya dans sa vie, en plus de découvrir une nouvelle culture, il va aussi en apprendre beaucoup sur ses proches. Ce roman va permettre d'aborder des questions d'actualité avec nos élèves, sur l'accueil des réfugié·es, les raisons pour lesquelles ils fuient leur pays. Et peut-être grâce à elles et eux, faire évoluer les mentalités.
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Gabriel et ses camarades doivent accueillir Haya dans leur classe. Elle vient de Syrie, l'adaptation n'est pas simple pour sa famille et elle, et l'accueil pas toujours aimable. Mais Haya n'a pas peur d'eux. Une seule chose lui fait peur : la guerre.
C'est un très joli roman sur l'amitié, l'immigration, et les secrets de famille aussi. Parce qu'avec l'arrivée d'Haya dans sa vie, en plus de découvrir une nouvelle culture, il va aussi en apprendre beaucoup sur ses proches. Ce roman va permettre d'aborder des questions d'actualité avec nos élèves, sur l'accueil des réfugié·es, les raisons pour lesquelles ils fuient leur pays. Et peut-être grâce à elles et eux, faire évoluer les mentalités.
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Une très belle histoire triste bien sûr, mais douce et tendre, sur l'exil. Et sur le racisme ordinaire.
La guerre est évoquée par petites touches, on est vraiment, au niveau des enfants.

Après Vis ton rêve, me revoici sans le vouloir dans une autre histoire d'enfant exilé, en Bretagne toujours ! Des ressemblances bien entendu, mais beaucoup de différences aussi. Et j'ai trouvé celui-ci plus abordable pour tous.
C'est le nom de l'autrice ici qui m'a attirée. Même si je n'ai pas réussi à terminer le Clan des loups, je savais que c'était une bonne série, et j'étais curieuse de retrouver Cassandra O'Donnell dans un style totalement différent.

Haya arrive de Syrie, exilée avec sa famille. À l'école, comme partout, elle rencontre le racisme bête ordinaire, mais aussi une belle amitié.
Parallèlement, Gabriel, qui l'a accueillie avec plaisir et sans préjugé, va grâce à sa présence découvrir l'histoire de sa propre famille, et les drames passés sous silence. Et c'est très émouvant.
On pourrait presque en conclure : nous sommes tous (ou presque) des enfants d'immigrés.
J'ai vraiment beaucoup aimé ce court texte, à la portée de tous, qui donne à réfléchir sur les attitudes vis à vis des autres.
Je regrette juste qu'on n'ait pas une réaction des adultes du collège face au harcèlement. Ça manque vraiment.

Lien : https://livresjeunessejangel..
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Belle petite histoire à mettre dans les mains des 11-12 ans. L'auteure traite du sujet des réfugiés avec simplicité et justesse.
Je le recommande.
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Un petit coup de coeur pour ce livre qui traite avec beaucoup de sensibilité et sans pathos de l'amitié entre un collégien et une jeune syrienne, face aux préjugés, à l'ignorance et au racisme.
J'ai trouvé que le style était très plaisant, facile à lire. L'auteur ne sombre à aucun moment dans les clichés, Haya est à la fois discrète et déterminée, Gabriel est touchant, sa famille n'est pas idyllique mais tous restent attachants.
Les allusions au drame syrien permettront probablement aux plus jeunes de se rendre compte de la réalité de cette guerre, sans toutefois les traumatiser. Les thématiques autour de la tolérance ou le rejet de l'autre sont très bien abordées, tout comme les petites difficultés de la vie quotidienne.
Et enfin j'aime beaucoup la couverture, beau graphisme, attrayant et qui cependant intrigue sur le contenu de l'histoire.
Bravo !
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Haya est une jeune syrienne qui a fuit la guerre dans son pays. Sa famille arrive dans un petit village breton et pour eux commence une nouvelle vie. Pour Haya, c'est son premier jour dans sa nouvelle école. Elle va y rencontre de l'hostilité, de l'indifférence mais aussi l'amitié grâce à Gabriel.

Un court roman avec deux personnages principaux attachants, une grand-mère qui garde un secret en elle et des réactions négatives/hostilités envers cette famille de réfugiés par les locaux. Un roman bien construit pour les pré-ados et peut permettre aux enfants de réfléchir ou mieux comprendre ce que signifie le déracinement, la fuite d'une guerre et reconstruire une vie dans un pays inconnu.
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Un petit livre court qui se lit d'une traite mais qui a su prendre son temps pour nous dévoiler son message. Un message bienvenue, pas si souvent abordé encore en littérature de jeunesse pour vraiment jeune (8-11 ans), ou du moins pas sous cet angle là qui se révèle finalement être très frontal.

Tout n'est pas bon pourtant dans cet ouvrage, le personnage de Gabriel, 10 ans, n'est pas des plus crédibles, on a du mal à s'attacher à lui alors qu'il est le personnage principal. La relation fraternelle non plus n'est pas très réussi. Beaucoup de personnages sont caricaturaux, manque un brin de relief, et bien ou mal pensants, et tous les stéréotypes attendus sont présents.

Mais malgré cela, il y a dans ce roman quelque chose qui m'a accroché et attrapé le coeur. J'ai aimé l'écriture de l'auteur, son scénario et l'axe de traitement de son sujet, mais c'est plus encore dans le sujet lui même et surtout je pense dans ce personnage d'Haya que je me suis faite attrapée dans ma lecture et en fait aujourd'hui cette appréciation.

Cette jeune fille m'a vraiment fait ressentir et plonger au fond de l'horreur que la guerre peut faire vivre dans le coeur d'une enfant. Rarement des mots aussi simples et aussi justes ont été couchés sur le papier pour décrire ces instants là.

De fait même si le livre ne tombe pas toujours juste dans le traitement émotionnel et relationnel de ses personnages, il revêt tout de même un caractère important dans la sphère de la publication jeunesse de part le message si juste de cette petit héroïne qui est rédigé avec justesse pour le public CM-6° qui ne dispose pas toujours de témoignage aussi précis adapté à leur âge.
Lien : https://lechampdesabeilles.w..
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Je connaissais la plume de Cassandra O'Donnell à travers sa série Rebecca Kean, que j'avais beaucoup appréciée, mais pas encore ses romans jeunesses, auxquels elle semble se consacrer ces derniers temps. J'étais donc curieuse de découvrir cet abord de son écriture.
Pour être tout à fait honnête, les romans jeunesses ne sont habituellement pas ma tasse de thé. Et pourtant, celui-ci est parvenu à conquérir mon petit coeur.
Cassandra O'Donnell aborde dans La Nouvelle un sujet délicat - l'immigration - avec beaucoup de justesse et de douceur. L'autrice utilise certains discours que l'on peut entendre pour mieux les déconstruire.

L'histoire d'Haya m'a touchée : son courage, sa nostalgie d'une époque plus simple et heureuse, les traces laissées par la guerre…
La famille de Gabriel également est attachante, avec ce jeune garçon d'une profonde gentillesse, qui s'insurge contre l'injustice que vit son amie, sa grand-mère au caractère de feu, son frère si différent, avec lequel il a des difficultés à créer un lien…
L'histoire est courte et, pour autant, riche dans ses thématiques et dans tout ce qu'elle parvient à transmettre. Riche en émotions, aussi.

La Nouvelle est un très beau roman pour les jeunes comme pour les plus grands, empli de tolérance, qui peut être un très bon support pour aborder l'immigration, la différence et l'acceptation avec les enfants. Si j'en ai un jour, je le lirai certainement avec eux.

Merci à babelio et aux éditions Père Castor pour cette jolie découverte !
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