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Rebecca Kean tome 1 sur 8
EAN : 9782290032060
473 pages
J'ai lu (02/03/2011)
4.2/5   948 notes
Résumé :
Nouvelle-Angleterre, Burlington...
Pas de délinquance, élue la ville la plus paisible des Etats-Unis, bref, un petit havre de paix pour une sorcière condamnée à mort et bien décidée à vivre discrètement et clandestinement parmi les humains. Malheureusement, en arrivant ici, je me suis vite aperçue que la réalité était tout autre et qu'il y avait plus de démons, de vampires, de loups-garous et autres prédateurs que nulle part ailleurs dans ce foutu pays. Mais... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (274) Voir plus Ajouter une critique
4,2

sur 948 notes
Sympa.

Une sorcière de guerre, qui maîtrise les éléments, les sorts et les potions, avec comme particularité (assez rare dans l'univers de l'Urban Fantasy) mère d'une fille de 10 ans, qui torture sans remords et zigouille à tout va, se retrouve à enquêter sur demande d'un conseil surnaturel sur des disparitions.
Du vampire, du démon, du loup-garou et autres animaux-garous de la sorcière, du chaman. On a fait le tour.

Dans une offre pléthorique sur le sujet, une française (l'auteure est lilloise) a fait son chemin. C'est frais, c'est spirituel, c'est moins moralisateur que les anglo-saxons. Bon ça se passe aux USA, faut pas pousser non plus. Lille et un vampire appelé Jean-Claude, ça ne l'aurait pas fait (d'ailleurs pour les connaisseurs, même quand c'est une américaine qui appelle comme ça son personnage, c'est ridicule).
Question sexe, une petite scène vite expédiée, même si l'héroïne est très troublée après 10 ans d'abstinence. Faut pas casser tous les codes non plus hein ?
Question violence, l'héroïne torture sans états d'âme, tue comme elle respire et pas que en état de légitime défense, ça gicle allègrement et c'est assez jouissif.

Bref, un univers sympa, une héroïne au top de la badassitude, une intrigue assez bien travaillée. Je ne suis pas un grand spécialiste mais cette licence mérite qu'on s'y attarde.
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Très fan d'une autre série de l'auteure, La légende des quatre, j'ai eu envie de découvrir une autre de ses séries. Alors j'ai moins aimé. Je ne l'ai pas trouvé mauvais mais pas génialissime non plus. J'ai même eu du mal à accrocher au début. la fin du roman est plus entraînante.
J'ai aimé l'univers. Dans une petite ville aux Etats Unis, vivent parmi les humains toute une faune bien sympathique : sorcières, potioneuses, vampires, loup-garou, démon, et j'en oublie.
Rebecca l'héroïne est prof à l'université comme sa meilleure amie Beth et a une charmante petite fille de 10 ans. Mais des disparitions parmi les différents clans poussent Rebecca qui est aussi une sorcière des éléments qui se cache de son propre clan à mener l'enquête.
Le scenario n'est pas désagréable. Rebecca est une chouette héroïne. Intelligente, pleine de pouvoirs, la langue bien pendue, vive et déterminée (elle n'hésite pas à torturer ou à tuer). Ce n'est pas une tendre.

Alors le gros point qui m'a énervé c'est que toute la gente animale a envie de la culbuter ou de lui passer la bague aux doigts. (enfin ca n'empêche pas de ...). Alors ok elle est belle, elle a du tempérament, mais bon un trio amoureux pourquoi pas mais pas tous les mecs qu'elle croise quand même. C'est un peu trop.

Je tenterai peut être le tome 2. La fin étant mieux que le début du roman.
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Une histoire assez légère de bit-lit qui se lit très bien. Personnellement, j'ai dévoré les deux premiers tomes. le mélange d'humour et d'action est bien dosé.

Rebecca Kean est une sorcière de guerre. A 26 ans, elle a déjà une fille de 10 ans, hybride sorcière-vampire. Pour avoir eu des relations avec un vampire, ennemi de son clan, Rebecca a été condamnée à mort par ses soeurs et vit depuis, dans la clandestinité. Elle s'installe à Burlington en Nouvelle-Angleterre. Là, elle rencontre les membres de la communauté surnaturelle : vampires, démons, métamorphes, potionneuses…

J'ai aimé l'univers construit par Cassandra O'Donnell. Elle pose les bases de sa saga en présentant les différentes sortes de créatures surnaturelles. le contexte historique est également bien amené. Cela fait maintenant un peu plus de 10 ans que la paix règne entre les différentes espèces après une longue guerre qui a décimé une grande partie des factions. L'auteure exploite la méfiance qui règne encore au sein des créatures. L'atmosphère particulière de fin de guerre est bien retranscrit.

Petit reproche pour la carrure trop badass de l'héroïne et ses réparties que j'ai fini par trouver agaçantes. Beaucoup de clichés de romance dans cette urban fantasy : trio, intérêt des mâles pour l'héroïne. La saga a débuté en 2011 mais je trouve que c'est quand même, pour l'époque, déjà-vu.

Un pari réussi pour une auteure française qui s'essaye à un récit construit comme un roman américain.
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Waouh ! Comment ne pas tomber sous le charme de Rebecca ?? Il faut dire que cette sorcière des éléments met tout en oeuvre pour nous séduire : coup de poing, coup de sort, menaces, utilisation abusive du scalpel, regard acéré et langue déliée !
Là comme ça, on se dit qu'elle est une sacrée psychopathe (et moi aussi, puisque je l'apprécie) mais en fait non.

Reprenons depuis le début : Rebecca est une sorcière des éléments, elle appartient à un clan assez connu et qui pourtant fait presque office de légende : les Vidkaris. Ces sorcières éduquent leurs enfants comme des soldats en devenir, seuls les plus forts survivent. Leur but est d'éradiquer tous les démons et vampires. Car le monde des surnaturels est en guerre (ne me demander pas pourquoi, j'en sais rien, c'est ainsi depuis la nuit des temps à ce qu'il parait !) : d'un côté les démons et les vampires, de l'autre les muteurs (comprenez tous les changeformes, du loup au ragondin en passant par le tigre et le chat), les chamans (spécialistes dans la communication avec les esprits et donc l'au-delà) et les sorcières (des "simples" potionneuses aux Vidkaris). Tout ce beau monde s'est tiré dans les pattes pendant des siècles et là, la guerre a pris fin. L'équilibre est encore instable, c'est pourquoi des Directums sont nés : les chefs de chaque clans y siègent et votent les décisions, lois etc... qui concernent l'ensemble de la population surnaturelle d'un même territoire.

Bref, jusque là, pas de souci. Mais Rebecca a un léger problème : elle est recherchée par son clan qui estime qu'elle les a trahi. Et quand les Vidkaris en ont après quelqu'un, en général il est mort (ou désintégré dans le cas des vampires). Alors, elle a choisi de vivre en dehors des communautés surnaturelles et de ne faire que très peu usage de sa magie. du moins, le stricte minimum pour éviter d'attirer l'attention sur elle et sa fille Léonnora. Sa seule entorse à cette règle est Beth.
Une louve-garou qui est à la fois la nounou de sa fille, sa confidente et meilleure amie, le bras droit de l'Alpha local et la représentante du Directum. Elle lui voue une confiance totale.
La deuxième entorse à cette règle est Raphael. le Magister, le "chef" des vampires du coin. Agé de 2500 mais pas une ride, Raphael a découvert le secret de Rebecca un peu par hasard et espère bien en tirer quelque chose !

Ainsi, lorsque des membres des clans sont enlevés par on-ne-sait-qui on-ne-sait-comment, le Directum fait appel à Rebecca pour retrouver le coupable lui confiant pour un temps le poste d'Assayim (une sorte de bras armé du directum).
Rebecca se retrouve presque malgré elle mêlée à ces enlèvements : un loup-garou, une potionneuse, un démon.... Disons qu'elle a hâte de se plonger dans cette enquête. Et c'est là, qu'elle nous montre tous ses talents de persuasion ! Faisant preuve d'une rationalité et d'un sang froid à toute épreuve, Rebecca nous montre qu'avec elle, la fin justifie les moyens et qu'elle ne reculera devant rien pour obtenir les réponses à ses questions.

D'un côté, elle fait un peu froid dans le dos. Elle n'éprouve pas (ou très peu) d'émotions et celles de la culpabilité ou du remords lui sont inconnues. Ce qui fait qu'elle peut parler avec un jeune homme et l'instant d'après sortir un scalpel pour lui couper un testicule.

Vous l'aurez compris, le rythme est soutenu. L'auteur nous ballade à droite à gauche, passant de l'enquête à la vie personnelle de Rebecca, puis à sa vie professionnelle (parce que dans la "vraie" vie, elle est professeur de littérature française dans une université !) et ainsi de suite. Car non seulement l'enquête est trépignante, mais la vie de Rebecca l'est également. Même si, j'ai un peu tiqué sur certains aspects comme sa vie amoureuse : pendant 10 ans la demoiselle n'a même pas regardé un homme, et là, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, elle se retrouve avec une armée de super mâles à ses pieds et elle ne sait plus où donner de la tête devant toutes ses tablettes de chocolats et autres sourires sexy. C'est limite suréaliste (oui, c'est vrai. J'accepte les loups-garous et les vampires, la magie et les changeformes, mais pas les histoires d'amour rapides et multiples... je suis un paradoxe ambulant !). Mais bon, d'un autre côté, on ne va pas se plaindre !! Surtout que l'auteur leur a donné une personnalité bien distincte de celles des autres et qu'il nous serait difficile d'en choisir un (enfin.... y en a bien un que j'élimine d'office... le semi-machin, si vous ne voyez pas de qui je veux parler !).
Les dialogues sont parfois un peu suréalistes eux aussi, mais tout à fait dans le domaine de l'acceptable. Rebecca et Beth peuvent être en train de parler de leurs dernières chaussures tout en menaçant un suspect avec une arme. Prêtes à tirer l'une comme l'autre. D'ailleurs, leur relation est une bouffée d'air frais, pleines de piquant et de dialogues croustillants !
Le personnages qui m'a le moins séduite est Léo, la fille de Rebecca. J'adhère pas trop aux enfants surdoués qui un coup se comportent comme des adultes alors qu'ils n'ont que 10 ans et le coup d'après comme des enfants de 3 ans. J'avoue que j'ai eu beaucoup de mal avec ça.... J'espère que cette sensation ne va pas s'accentuer dans les prochains tomes !
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Oh, ce premier opus m'a mis une petite claque : j'ai adoré au point de le lire en une journée et en le terminant à une heure du matin. Il y a longtemps que cela ne m'était pas arrivé ! Apparemment, la série date d'il y a quelques années toutefois, je ne la découvre que maintenant grâce à une lectrice avec qui on s'est mutuellement prêté des ouvrages du genre Urban Fantasy. Certes, on est sur de la Bit-Lit très classique néanmoins, c'est efficace et cela se démarque avec l'idée d'héroïne ayant déjà un enfant. Par ailleurs, Cassandra O'Donnell avait déjà réussi à me charmer avec sa saga « le clan des 4 » (dont j'attends impatiemment le T4 !). Je n'étais donc pas étonnée lorsqu'elle a réussi à m'embarquer avec sa plume simple, facile à lire, actuelle, drôle et agréable.

Difficile de rester insensible face au tempérament explosif, direct, cruel, déterminé, râleur et intriguant de la jolie Rebecca. Sorcière de guerre, la jeune femme est une héroïne qui n'hésite pas à dire lorsque quelque chose ne lui convient pas et, lorsqu'elle a de bonnes motivations, elle n'hésite pas à torturer ou tuer. de coutume, les héroïnes sont badass, mais jamais au point de faire du mal à autrui. J'ai donc été agréablement surprise par le choix de l'auteure. (Il faut dire que, si un antagoniste avait osé toucher à ma fille, j'aurais également sorti les griffes !… Ce qui ne semble pas être la logique de certains personnages de fiction…) Ainsi, j'ai été ravie de cette facette maléfique de Rebecca. Cette dernière a de nombreux secrets à cacher, à commencer par ses origines, son pouvoir incommensurable, sa liaison avec l'ennemi et sa fille incroyable dont personne ne connaît l'existence. Malheureusement pour elle, son quotidien va être bouleversé lorsque des créatures surnaturelles vont se faire enlever ou assassiner. Grâce à ses dons issus des quatre éléments, la magicienne va devoir enquêter afin de protéger sa famille. Bien que l'on ne puisse pas parler de suspense, les recherches ont tout de même été intéressantes et ont évolué de façon progressive. Elles ont surtout permis au lecteur de faire connaissance avec le bestiaire. Quel régal de découvrir toute sorte de lycanthropes, de mages avec différentes castes, des démons, des vampires et diverses créatures fantastiques ! Je me suis régalée à découvrir les lois et règles de chaque espèce. On a là un bel aperçu de l'univers et il me tarde d'approfondir les spécificités de certaines races…

Je ne vous cacherais pas le fait que, hélas, l'ouvrage n'échappe pas à beaucoup de clichés. On a, par exemple, l'idée que l'héroïne à elle seule va tout faire changer. Elle a énormément de pouvoirs (qu'elle ne maîtrise et ne connait pas totalement) et se lance dans l'action sans hésiter ou sans avoir peur de se salir les mains, car les autres sont finalement un peu passifs. Elle est également un aimant à mâles… Oh, si vous aimez l'idée de harem tournant autour de l'héroïne, alors vous allez être servis ! La belle a effectivement tout un tas d'hommes cherchant à sortir avec elle et appartenant, évidemment, à différentes espèces. Cela dit, son amie Beth a également une sexualité très libre ! J'ai tout de même serré les dents en voyant ces tas de testostérones clamer que la Femelle est à eux… Heureusement, la demoiselle semble assez franche, ouverte et ne se laisse pas faire. Elle n'est là que pour se faire plaisir (à noter qu'il n'y aura qu'une seule scène de sexe qui n'était ni longue, ni vulgaire) et sait mettre des barrières. de leur côté, les garçons sauront se montrer patients et gentlemen, tout en mettant en avant leur personnalité. Rien d'innovant cependant, c'était distrayant. Je n'ai pas encore de favori : Mark est trop du style amant parfait, Raphael est LE cliché du chef des vampires (beau gosse irréprochable qui a vécu des siècles, mais qui éprouve des sentiments nouveaux et protecteurs dès le premier regard pour l'héroïne), tandis que Bruce est sympathique mais trop effacé. Même si Rebecca semble avoir déjà fait un choix, j'attends de voir leur évolution dans le second opus.

Le scénario est également cousu de fil blanc toutefois, cela ne m'a pas dérangée, car je m'étais déjà attachée aux protagonistes ainsi qu'à l'ambiance ! En outre, j'ai été fascinée par la petite Leonora, la fille de Rebecca. Bien qu'elle mérite d'être davantage creusée (ce qui semble être le cas dans la suite), la métisse me semble avoir énormément de potentiel et va certainement jouer un rôle majeur dans l'intrigue principale. Bref, malgré les défauts de ce premier volet, je suis charmée par cette nouvelle série. le mélange d'humour, d'action, d'êtres surnaturels et de magie m'a rendue accro. Vivement la suite !
Lien : https://lespagesquitournent...
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Citations et extraits (69) Voir plus Ajouter une citation
Lorsque je me réveillais, j'étais allongée sur le lit, Raphael penché au-dessus de moi.
- Tu as les nerfs fragiles pour une sorcière de guerre.
- Je vais le tuer, le découper en petits morceaux avec mes ongles et lui faire bouffer sa propre chair.
- Tu me rassures, je craignais que tu ne sois encore quelque peu énervée... dit-il en me caressant les cheveux.
- Qu'est ce que tu as décidé ? Tu me livres au Mortefilis ou tu me laisses m'occuper de Michael ?
- Ni l'un, ni l'autre, dit-il d'une voix ferme.
- Je dois le tuer, je dois le faire payer, dis-je en me redressant.
- Aller combattre Michael en Europe serait un véritable suicide, Rebecca.
- Tu ne comprends pas, répondis-je en tremblant de rage, il s'en est pris aux miens. Il s'est servi de moi, de mon erreur de gamine inconséquente, pour s'attaquer aux miens. Je suis responsable...
- Tu le tueras, déclara-t-il avec autorité, mais pas sur son terrain, pas maintenant.
- Ma grand-mère était vivante lorsque je suis partie. C'est grâce à elle, si j'ai pu m'échapper. Si ce salaud l'a tuée...
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On a beau tenter de se convaincre qu'une voiture ne peut pas causer de dommages a un mort et qu'il est plus simple de l'écraser que de la déplacer, on a quand meme du mal a appuyer sur l'accélérateur. Putain d'éducation.
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- Qui es-tu ?
Je levais les yeux au ciel.
- Quelqu’un qui va te tuer si tu continues à poser des questions idiotes, répondis-je avec agacement.
- Elle n’a pas froid aux yeux, pas vrai Phil ? fit-il en me lançant un regard curieux.
- Ca ne va pas durer, fit le petit grasouillet
Quand on est con, on est con…
- Ca c’est sur, dis-je en souriant.
Une lumière rouge m’entoura d’un coup, je concentrai mon pouvoir de feu et envoyai sur le trapu vindicatif une boule d’énergie qui l’embrasa en quelques dixièmes de seconde.
- Poussière, tu redeviendras poussière et cætera, et cætera, dis-je en me retournant vers le grand brun.
- Salope, rugit-il en bondissant vers moi.
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Mauranne m’attendait patiemment devant la porte d’entrée.

– Ca s’est bien passé avec la petite?

– A la place de sa mère, je me serait fait ligaturer les trompes et j’aurais adopté des yorkshires, dis-je. Au fait, vous avez un conseiller d’orientation?

– Non, pourquoi? me demanda-t-elle surprise.

– Parce que Sophia semble avoir choisi de devenir sociopathe, avec en matière principale, « magie », et en option, « meurtre ».

La potionneuse sourit et je me demande si elle avait conscience que la jeune fille ne parviendrait plus encore très logtemps à gérer ses instinct meurtriers et qu’elle risquait de faire des victimes parmi les autres élèves.

_Elle est jeune, ça la rend un peu excessive, admit-elle

_Ouais, on va dire ça comme ça…
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Si tu avais mon âge et mon expérience, tu saurais que les choses les plus graves s’annoncent toujours d’un ton léger. Ça ne le rend pas moins inquiétantes mais plus agréables à entendre.
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