La première fois c'était quand même plus marrant

Un sujet difficile traité avec beaucoup de sensibilité et d'émotions grâce à la plume fluide de l'auteure qui manie l'humour juste quand il le faut. Cela permet d'alterner les moments difficiles et les moments plus légers. Ce roman est plus qu'une simple comédie, il nous fait passer par toutes les émotions. L'héroïne est très attachante mais son mari l'est tout autant. Ils nous touchent, chacun à leur façon. Difficile de ne pas verser une petite larme en refermant le livre.

Alors que Daisy s'apprête à partir en week-end pour fêter le 4ème anniversaire de rémission de son cancer du sein elle apprend qu'il est revenu... avec des copains. Cette fois-ci elle ne pourra pas gagner...
Comment se résoudre à mourir à 27ans ? A l'âge où l'on se dit qu'on fera ca plus tard et qu'il n'arrivera finalement jamais ?
Daisy, une fois le choc et le déni passés aura essentiellement une obsession : trouver une nouvelle femme pour son merveilleux mari Jack. Est-ce réellement la meilleure façon de vivre ses derniers mois ?
Quel beau petit livre ! Très touchant, émouvant et en même temps drôle et pleins de bons sentiments ! Il est impossible de ne pas s'identifier à ce petit bout de femme si dynamique à qui on apprend ce qui est probablement la pire des choses... et on se demande forcément comment on aimerait utiliser ces derniers jours/mois si on était à sa place.
2ème livre de l'autrice, un 3ème attend dans ma pal, j'ai hâte de voir quel thème il abordera !!!

Et vous ? Vous avez déjà lu un des livres de l'autrice ?

Troisième livre de l'auteure que je lis, et je l'ai apprécié autant que les précédents. L'écriture est vraiment très agréable à lire, et ici bien que j'ai trouvé l'histoire vraiment triste, les petites pointes d'humour au fil des pages et le personnage de Daisy nous font tout de même bien sourire. C'est vraiment une jolie plume à découvrir.

Comme j'avais bien aimé La première fois qu'on m'a embrassé, je suis morte, j'étais curieuse de découvrir un autre roman de Colleen Oakley. Je me suis donc plongée dans son second roman sans même lire le résumé, j'étais surprise de voir qu'on allait suivre le parcours de Daisy, atteinte d'un cancer en phase terminale. Ce n'est pas très gai dit comme ça et pourtant, l'autrice va réussir à faire triompher la vie.

Le quotidien de Daisy s'effondre lorsqu'elle apprend que son cancer du sein est revenu et que cette fois-ci, aucun traitement ne pourra la sauver. Mais ce qui l'inquiète le plus, ce n'est pas de mourir, c'est de laisser Jack, son mari, seul. Car s'il est brillant dans son travail de vétérinaire, il se repose entièrement sur Daisy pour tout ce qui concerne leur foyer. Daisy se met alors une folle idée en tête : elle part à la recherche d'une nouvelle femme pour Jack, qui pourra la remplacer et prendre soin de lui une fois qu'elle ne sera plus là…

Daisy est un personnage auquel on ne peut que s'attacher ! Elle n'a pas été épargnée par la vie et son histoire est terrible. J'espérais de tout coeur qu'un miracle ait lieu, que Daisy puisse guérir. Mais dans ce roman, on est confronté à la réalité, à la dureté de la vie et j'ai aimé que rien ne soit enjolivé par l'autrice, ça rend l'histoire encore plus poignante. La complicité entre les époux se devine dès les premières pages. Ils forment un couple solide et savoir qu'ils vont être séparés alors qu'ils s'aiment si fort nous les rend d'autant plus attachants.

J'ai parfois eu du mal à comprendre Daisy, notamment sur sa folle quête d'une nouvelle femme pour Jack (un peu infantilisante au passage puisqu'elle cherche une femme qui puisse lui faire à manger et ramasser ses chaussettes !). Mais à vrai dire, comment juger ses actes ? Je n'ai jamais été dans sa situation et je serai bien incapable de dire comment je réagirai à sa place ! Il en est de même pour Jack. Je l'ai trouvé parfois un peu injuste avec Daisy, j'aurais aimé qu'il montre encore plus son amour.

L'intrigue est difficile et indéniablement triste, mais l'autrice la mène jusqu'au bout avec douceur et sans jamais tomber dans le pathos. Sa plume est émouvante, délicate et m'a touchée en plein coeur. C'est vraiment une superbe histoire, à laquelle je ne m'attendais absolument pas ! Vu le bon moment passé avec ce roman, je pense lire rapidement le nouveau roman de Colleen Oakley, en espérant retrouver des personnages si humains et touchants.
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Il m'a fallu quelques pages tout de même pour me rendre compte que « La première fois c'était quand même plus marrant » n'était pas du tout une suite à « La première fois qu'on m'a embrassée je suis morte ». Cela m'a rassurée sur d'éventuels problèmes de mémoire. Colleen Oakley, l'auteure, fait en réalité un clin d'oeil à son premier ouvrage, en indiquant au lecteur que le sujet qui sera traité ici sera beaucoup plus lourd. Et en effet, quoi de plus tragique que la fin d'une vie, que d'apprendre qu'il ne nous reste plus que quelques mois, que les rêves que l'on voulait réaliser vont devoir être abandonnés. Malgré la tristesse, la colère, le désespoir, Colleen Oakley a inséré dans son roman quelques touches d'humour. Authentique, salvateur, le livre nous interroge sur notre rapport à la vie et à la mort. On n'est pas loin de verser sa petite larme.
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J'ai trouvé ce second roman de Colleen Oakley meilleur que son premier. On sent qu'elle aborde avec plus de justesse et de sensibilité ses thématiques, bien que les situations ne soient pas toujours tout à fait crédibles. Une belle découverte, et j'espère lire une troisième histoire de sa part.
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Dans « La première fois c'était quand même plus marrant », nous allons faire la rencontre de Daisy et de Jack, mariés, filant le parfait amour et dans la dernière ligne droite de leurs études.
Alors qu'ils allaient partir en week-end en amoureux, Daisy reçoit une terrible nouvelle : son cancer est revenu. Pire, il est en stade terminal. Son médecin ne lui donne que quelques mois à vivre.
Pour eux, c'est un vrai coup de massue qui s'abat. Daisy devient alors obsédée par une seule chose : que va devenir son mari lorsqu'elle ne sera plus là ? Il a beau être bientôt double doctorants, il ne sait même pas se faire à manger ni même faire des lessives.
Elle va alors rechercher la femme idéale pour lui, celle qui la remplacera lorsqu'elle ne sera plus là.

Préparez-vous à sortir des mouchoirs en vous plongeant dans cette lecture, car Colleen OAKLEY ne va pas vous ménager.

On entre dans le récit avec la terrible annonce, celle qui va changer le destin des personnages. Dès les premiers chapitres, nous sommes dans le vif du sujet et c'est assez surprenant comme immédiatement nous nous attachons aux personnages.
En ne les connaissant qu'à peine, nous arrivons déjà à ressentir de la compassion pour eux. Ceci est grandement accentué par le fait que l'auteur nous montre dès les premières pages toute la complicité que partage ce petit couple tout mignon et tout gentil. Opposer ce duo qui n'a que du positif pour eux, à la dureté de la vie et de la mort rend le récit encore plus tragique et touchant.

Car oui, on le sait depuis le début : Daisy est condamnée, rien ne pourra la sauver. Cette fatalité est dure à accepter et l'on se met à espérer, voir supplier, qu'il arrive un miracle avant la fin. Cependant, cette histoire est tout simplement un reflet de la vie réelle, pas de baguette magique pour pouvoir changer le court du destin.

La quête de la femme parfaite pour Jack arrive aussi assez rapidement.
Si j'ai tout d'abord trouvé l'idée autant mignonne que terriblement triste, j'avoue sans honte m'être lassée à la longue. J'ai trouvé que le récit était beaucoup trop centré sur ce sujet et qu'au final, l'intrigue tournait assez rapidement en rond.
Au fur et à mesure des chapitres, je me suis un peu détachée de cette quête, voyant même arriver chaque petit rebondissement. Cette histoire avait tellement de potentiel, tellement d'autres thématiques à aborder que simplement cela, et j'ai trouvé dommage que l'auteur se concentre autant là-dessus.

Les personnages m'ont beaucoup plu, notamment Jack qui est parfait dans son imperfection.
Daisy quant à elle m'a plus au début, lorsqu'elle était encore positive et ne voulait pas se laisser abattre. J'ai été très touchée par toutes ses réflexions sur la mort et la maladie, même si au final ce n'est pas le côté qui ressort le plus d'elle dans cette histoire. Par contre, j'ai été moins attendrie par son évolution, qui forcément suit une pente descendante que l'inverse. Sa relation avec Jack se dégrade, contre et avec sa volonté. J'ai eu du mal à m'attacher à sa nouvelle personnalité, même s'il m'est difficile de porter un réel avis dessus. Que ferais-je si demain j'étais condamnée à mourir dans les semaines à venir ? D'ailleurs, j'ai beaucoup aimé le développement de cette question dans l'histoire.

Alors que j'ai eu une impression de longueur à partir de la moitié du livre, la fin m'a donné une sensation de rapidité. Tout allait subitement trop vite.
Par contre, même si les dernières révélations ne sont pas surprenantes car on les voit arriver, j'avoue avoir été particulièrement émue par ces rebondissements et la manière dont ils sont écrits. Une mention spéciale pour les ultimes chapitres qui closent avec beaucoup d'émotions cette histoire.


En conclusion, « La première fois c'était quand même plus marrant » est une histoire toute en sensibilité et émotion. Colleen OAKLEY arrive avec une incroyable facilité à nous faire ressentir de la compassion pour ses personnages que la vie ne va pas épargner.
Même si le roman n'est pas parfait, notamment par ses longueurs et des sujets qui ne m'ont pas tellement tenus en haleine, j'avoue avoir eu plus d'une fois les larmes aux yeux tout au long de ma lecture.

Et que dire du final qui est explosif et terriblement beau.
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Daisy n'a pas 30 ans et doit faire face à une récidive de cancer. Mais cette fois, c'est plus grave, Daisy est condamnée : le foie, le poumon, les os et le cerveau sont touchés. Pas de traitement qui la guérira, elle peut juste avoir un peu plus de temps auprès de son mari Jack. Bouleversée à la pensée de ne plus être à ses côtés, elle voudrait choisir la femme qui prendra soin de lui au quotidien.

Dès le début du livre, la fin est connue : Daisy ne guérira pas. En effet, le livre débute avec l'annonce de son cancer par le Docteur Saunders. Un docteur que j'ai beaucoup aimé, accessible, à la disposition de ses malades jour et nuit, empathique. Face à cette annonce, Daisy va passer par toutes les étapes du deuil : le choc, le déni, la colère, le marchandage...

Un livre parfaitement documenté sur les différents traitements, dans un langage simple, même s'il comporte quelques longueurs.

L'auteure évoque les répercussions d'un cancer sur l'entourage, notamment sur Jack, qui semble être dans le déni. Leur amour est fort, mais dans sa quête incessante de la femme parfaite pour lui, Daisy en arrive à oublier son mari.

J'ai beaucoup aimé l'amitié qui la lie à sa meilleure amie, Kayleigh, personne totalement à son opposé.

Ce n'est pas un livre triste ni larmoyant. Mais l'auteure nous fait prendre conscience qu'il faut voyager, profiter, tâcher de mener à bien ses projets sans attendre, pour ne pas avoir de regrets comme Daisy en a eu.

SI le début de lecture a accroché mon intérêt, certains passages m'ont paru faire certains détours pour lesquels je ne voyais pas vraiment où l'auteure voulait nous amener.
Cependant, ce livre aborde aussi le ressenti et les effets lourds des traitements, les efforts à ne pas lâcher pour tenir les objectifs fixés même si ces derniers ne sont peut-être pas les plus importants.

Daisy s'apprête à fêter sa 3eme année de guérison de son cancer lorsque la nouvelle tombe, il est de retour. En phase terminale. Elle se met en quête de trouver la femme parfaite pour son mari Jack.
C'est mon second livre de cet auteur cette année. J'apprécie beaucoup sa plume légère tout en traitant de sujet grave. Comme pour son premier livre lu en janvier : j'ai apprécié le livre jusqu'à la fin.