Ce tapuscrit, préservé pendant 90 ans, a été précieusement transmis de génération en génération, de Nice à Bois-Colombes, en passant par Asnières, au gré des déménagements de la famille Kourakine.
Au décès d’Anna Alexandrovna, le 10 septembre 2012, il a été retrouvé, toujours aussi bien emballé dans un fin papier kraft, probablement originel, maintenu par un solide cordon de ficelle.
Ecrit pour que l’histoire de Madame Marie Olive soit connue, comme el...
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