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Citations sur L'apprentissage de Victor Frankenstein, tome 1 (16)

Cela viendrait plus tôt, dis mère, si l'éducation des filles n'avait pas pour but de faire d'elles des créatures faibles et simples d'esprit qui gaspillent leur véritable potentiel.
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La fièvre ne retrouva jamais sa virulence du début, mais elle refusait de disparaître. Après une embellie en matinée, elle était de retour en fin d’après-midi, telle une tempête infernale qui s’apaise un instant pour mieux renouveler sa fureur.
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Il y a savoir et il y a croire, dit Elizabeth. Ce sont deux choses entièrement différentes. Le savoir repose sur des faits. La croyance repose sur la foi. Si on avait la preuve de l’existence de Dieu, on ne parlerait pas de foi, non ?
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Kenneth Oppel...quoi dire de plus; - qu'Excellent auteur! -, j'ai pratiquement tout ces livres, reste à voir..

Ce premier tome d'un deux....seulement me suis-je dit avec déception à la fin du deuxième tome.
J'ai carrément dévoré ce roman, il était dans mes mains en voiture(en tant que passager..), en mangeant, au matin sitôt éveillé, avant de dormir, vécu de beaux moments, sauf peut-être ma femme qui a trouvée que deux tome, était assurément assez pour le bien de notre couple. hihi!

Il m'a agréablement surpris avec l'histoire de Frankenstein qui, sous sa plus, m'a vraiment séduit voir même, envouté.
Sortir du personnage que l'on connaissait tous, et en modeler un tout autre différente avec toute l'histoire familiale et les personnages très attachants, ne serait surement pas aisé pour la majorité, sauf pour Mr.Oppel.
Passant du triangle amoureux cliché..heu non détournez-vous, ce n'est habituellement mon genre ce cliché blasant des triangles amoureux, mais ici, il nous le sert différemment, des sciences occultes, secrets familiales obscurs oubliés, passages secrets dans le château des Frankenstein,, le drame et de belles intrigues qui se succèdes sans cesses.

Un magnifique roman d'aventure fantastique, sombre, au concentré des sciences alchimiques, mais..
précisons-le, pas tout à fait pour les moins de 13-14 ans, à mon avis, tout dépend de nos convictions et valeurs.

Depuis ce premier roman lu de Kenneth Oppel, Canadien tout comme moi, je n'ai cessé d'acheter et lire ces livre, et ce même s'ils étaient dédiés à un public plus jeune, je suis devenu un fan de Mr.Oppel.
Merci pour d'avoir un jour, mit ta plume sur le papier et partager tes univers.

Respectueusement,
veda

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Si je détestais autant ces repas, c’était notamment parce que Konrad y brillait beaucoup plus que moi, comme d’habitude. Lorsque nous nous assîmes enfin, maîtres et domestiques formant une grande famille inusitée, mon jumeau engagea sans effort la conversation avec les uns et les autres. Il demanda à Maria, notre gouvernante, si le bras cassé de son neveu guérissait bien. Il s’informa auprès de Philippe, notre palefrenier, de l’état de Prancer, notre jument enceinte. Et bientôt, les domestiques se mirent à raconter des histoires les concernant, ce qui me plaisait bien, car leurs vies étaient très différentes de la mienne. Ex-soldat, Kurt, notre valet de pied, avait participé à une bataille sanglante au cours de laquelle il avait perdu plusieurs orteils ; Céleste, la femme de chambre de ma mère, avait servi une méchante duchesse française qui la battait à coups de pantoufle quand le gâteau était rassis.
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J’entrepris devant eux l’ascension des marches hérissées d’éclats de bois et je m’arrêtai devant la porte. Même en tenant la flamme près du petit trou, je ne voyais rien. Je passai la chandelle à Elizabeth et, en avalant ma salive, tendis ma main vers l’ouverture sombre.

— Qu’est-ce que tu fais, Victor ? demanda Konrad.

— Il y a peut-être un loquet à l’intérieur, dis-je en ricanant pour masquer ma nervosité. Je parie que quelque chose va m’attraper la main.

Je serrai les doigts, puis je glissai ma main dans le trou et aussitôt quelque chose la saisit.

Les doigts, froids et très, très puissants, m’agrippèrent, si fort que je poussai un cri de douleur et de surprise mélangées.

— C’est une blague, Victor ? demanda Elizabeth avec colère.

De toutes mes forces, je tirais, tentais de dégager ma main.

— La chose m’a attrapé ! rugis-je. Elle m’a attrapé la main !

Derrière moi, Konrad cria :

— Quelle chose ?

En proie à l’hystérie, je n’avais qu’une seule pensée : Si la chose a une main, elle a une tête, et si elle a une gueule, elle a des dents.
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Julius Polidori, de la ruelle Wollstonekraft...
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Il faudrait un homme remarquable pour me décider à me marier. Les hommes sont inconstants. Changeants.
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Le problème, c’est que la littérature, ça ne se mange pas, dit Henry. J’ai essayé, et c’est très, très sec. Et pas du tout nourrissant. Il faut bien gagner sa croûte.
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Je suis parfaitement au courant de ce qu’il affirme. Qu’il s’agit d’un système de croyances désuet qui a contraint et abusé les gens et qui s’étiolera sous l’influence de la science.
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