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3,16

sur 241 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Pas mal... Mais sans plus...
Je ne sais pas pourquoi... Vers la fin je me suis lassé...
Belle écriture mais je ne le recommanderai pas particulièrement.
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Je viens de refermer "Soyez imprudents les enfants" et je suis perplexe. À l'origine je voulais lire "Ce que je sais de Vera Candida" mais il n'était pas disponible à la bibliothèque.
Il y a de très beaux passages dans ce livre. En témoignent les nombreuses citations que j'ai relevées.
Mais j'ai trouvé tout cela est assez "foutraque". de disgressions en histoires de famille, je me suis perdue dans les personnages. D'autant que le roman s'ouvre sur une Matilda pour une seule page, puis poursuit avec Atanasia qui est la narratrice de tout le reste du roman (excepté les retours dans l'histoire familiale qui finiront heureusement par expliquer qui est Matilda). Et on se retrouve avec des passages comme :
"Constat : Atanasia est à Paris, les platanes sont encore verts mais ça sent le début de la fin, les avenues sont peuplées de gens bruyants, dégourdis, déterminés. Comme s'ils trouvaient tous normal de marcher dans Paris. J'ai le sentiment de me déplacer trop lentement, je vais à un rythme et eux à un autre."

Je ne sais pas si ces changements de personne en cours de route sont un genre, mais cela a gêné ma lecture qui a d'ailleurs traîné en longueur. C'était mon premier livre de Véronique Ovaldé, et je ne suis pas sûre d'avoir envie de poursuivre ma découverte de cette auteure.
Mais je suis à l'écoute de vos suggestions !
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A treize ans, Atanasia Bartolome découvre lors d'une sortie scolaire un tableau qui l'émeut profondément. Celle pour qui "juste avant cette exposition tout était immobile et pétrifié" veut en savoir plus sur le peintre Roberto Diaz Uribe qui semble d'être volatilisé depuis plusieurs années. Après avoir contemplé ce tableau, la vie d'Atanasia se focalise sur ce peintre. Si le nom du peintre semble tabou pour ses parents, à dix-huit ans elle part à Paris pour étudier où un professeur d'origine russe s'intéresse de très près à Roberto Diaz Uribe.

Indéniablement, on retrouve dans ce roman l'écriture singulière de Véronique Olvadé . Enchanteresse, fantasque où elle déploie une narration qui passe aisément de "je" à "elle".
La quête d'Atanasia nous entraine sur les traces de la mission Voulet-Chanoine au Tchad ou encore au Brésil. Car sa recherche a dépassé son but initial et elle remonte les branches familiales.
Un récit émaillé de digressions qui bout à bout se rejoignent, une ambiance qui oscille entre réalité et fable, un univers où l'art et l'imprudence comptent avec des personnages féminins souvent hauts en couleurs.
Mais trop souvent, je me suis retrouvée perdue en me demandant où l'auteure voulait me conduire.
Et même si la fin m'a permise de me raccrocher à l'histoire, c'est une lecture manquée pour moi.
Lien : http://claraetlesmots.blogsp..
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Voici un livre que j'avais depuis un certain temps sur ma liste des livres à lire. Lorsque je l'ai trouvé à la bibliothèque, j'avais vraiment hâte de le débuter.
Hélas, je dois dire que je suis déçue.
Certes, il est magnifiquement bien écrit. Mais je n'ai pas vraiment réussi à rentrer dans l'histoire. Les personnages m'ont laissés indifférentes, certains passages étaient tirés en longueurs.
Je vais laisser passer un peu de temps et je pense lire un autre livre de Véronique Ovaldé. On verra ...
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La lecture de ce livre m'a semblée interminable. Je n'ai pas réussi à avoir une empathie quelconque envers les personnages.
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Je ne sais pas pourquoi, ce livre manque quelque chose, pourtant il à tout pour me plaire, un intrigue, un personnage étrange, une écriture soigné, mais je ne sais pas pourquoi, ce livre ne m'a pas vraiment convaincue. C'est peut etre ça son mystère, savoir ce qui lui manque pour qu'il me plaise.
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Impression d'avoir été promenée de bout en bout pour finalement me retrouver dans une impasse. Et si ça n'est pas le cas de l'héroïne, s'il s'agit d'un roman d'initiation, je trouve la chute bien décevante. Atanasia a 13 ans lorsqu'elle tombe nez à nez avec un tableau de femme qui la fascine. Elle n'aura alors de cesse de mener une enquête sur le peintre, Diaz Uribe, dont elle va découvrir qu'il s'agit d'un cousin de son père. Sa quête contemporaine alterne alors avec des chapitres consacrés aux ancêtres. L'idée étant sans doute de mettre en évidence le fil rouge utopiste qui les mène tous à leur déclin au fil des siècles. Après un petit détour par Paris et la rencontre avec un auteur russe désabusé qui reste mon personnage préféré Atanasia comprendra enfin qui elle est, se débarrassera de son obsession et... la fin m'a laissée sur ma faim.
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Cette situation est rarement arrivé mais j'ai de la difficulté à terminer ce livre. L'écriture ne m'emballe pas. Difficile de m'y retrouver.
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