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Ramiro Oviedo (Éditeur scientifique)Augusto Rodríguez (Éditeur scientifique)
SENAMI (01/01/2011)
4/5   1 notes
Résumé :
Il y a au moins deux parties-strates- dans ce volume, qui opèrent comme le masque en relation avec le visage, et vice-versa.
Le visage pour ce masque c'est les poèmes des trente trois écrivains qu'Augusto Rodríguez et Ramiro Oviedo ont décidé de choisir avec leur œil critique et distancié. Le masque pour ce visage c'est les traductions des poèmes sous la responsabilité de Rémy Durand et de ses complices traductrices Anne-Marie Durand-Kenett et Gabrielle Lécri... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Le poète y exhibe ses avatars réels ou métaphysiques et tache de rouge la zone blanche de la littérature. Il s'expose. Il en prend plein la gueule. Il révèle le manque de confiance et ses chemins scabreux par le biais de la langue parlée. Il gratifie les distances qu'il a prises avec la réalité ou son envie d'en découdre, ses orphelinages, ses échecs, mais aussi la grâce de ses pérégrinations, l'élégance de l'ironie, la violence de l'humour, la blessure de la tendresse ou la réflexion comme chemin de découverte, quand il se gratte le corps considéré comme espace, la tête comme une usine à questions, à érotismes, à identités, à disparition, productrice de cité et de parole.

Ramiro Oviedo et Augusto Rodríguez
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Elle marche dans d'autres rues.
Elle succombe dans une autre langue. (...)
Elle n'a pas voulu revenir quand elle pouvait,
il se fait tard
pour rattraper les caravelles.
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Déformation
La déformation couvre son innocence, l'exhibe
dans la fatuité du champ inclément.
"Il n'y a pas de beaux monstres?" demande Octavio Paz.
-Tais-toi et fais moi plaisir- réponds-tu.
-Les vis dans les veines, elles s'insèrent et grossissent jusqu'à la douleur?
Tu acquiesces en tremblant, petits papiers de salive, bâillements d'un fauve fripé
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Je volais.
Je détestait le froid
parce que j'étais un voyeur abusif des nus
et on me punissait pas
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