De Palaniuk, j'avais lu la nouvelle Guts et je l'avais trouvé dégueu.
Snuff, c'est un peu pareil, il y a une critique mais relativement simple de la société (exemple : il compare la course à la masculinité à l'élevage des boeufs, surtout pour la production séminale). Cette critique malheureusement passe inaperçue puisque le roman est crade, vulgaire... Maintenant, un gang bang à 600 contre une, si ça devait être poétique, on le saurait mais bon...
Les motivations des personnages apparaissent rapidement, le dénouement est dans le titre du livre, finalement, on est rarement surpris (plus souvent choqué, d'ailleurs).
J'avais découvert
Palahniuk avec le film
Fight Club et je pensais aimer l'univers de l'auteur. Je pense m'être fourvoyé et qu'en réalité, c'est la patte de Fincher qui m'avait plu.