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3,38

sur 59 notes
Je ne connais pas la série des années 1960, et je n'ai pas encore vu le film, mon avis est donc celui d'une néophyte. Ce roman est centré essentiellement sur le personnage d'Angélique, dont nous découvrons la vie, et sa rencontre avec Barnabas. Ce dernier est aussi présent, à la fois à travers ses souvenirs, et sa vie dans les années 1970, juste après sa "guérison".

Disons-le tout de suite, les autres personnages, exceptée Josette, sont très peu présents. Je me concentrerai donc sur ceux-là. Nous suivons Angélique depuis sa toute jeune enfance en Martinique, et nous découvrons comment elle est devenue sorcière. Arrachée à sa mère guérisseuse par son "père", transformée en déesse enfant à 10 ans, captive et droguée, on lui trouve quelques excuses pour son évolution assez démoniaque. Barnabas découvre ce passé à travers le journal d'Angélique, et il semble comprendre ainsi l'origine de son caractère. D'après ce que j'ai compris, Angélique est la "méchante" de la série télé et du film. Les fans seront contents de découvrir son histoire.

Pour ma part, j'ai surtout été surprise et j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire (je m'attendais à voir des vampires), mais la romance de la seconde partie a ensuite aidé ma lecture. Ce roman plaira sûrement aux adeptes de Dark Shadows, et aux amateurs de sorcellerie et autres pratiques vaudou.

L'univers est assez oppressant, noir, bercé par les croyances des esclaves, le vaudou, le Mal... Angélique découvre progressivement ses pouvoirs, avant de les refouler suite à des événements tragiques, puis de se laisser déborder par cette noirceur et ce lien intime avec le Mal. J'ai eu du mal à accrocher avec les personnages, entre Angélique dont le caractère évolue de manière assez abrupte, et dont on ne sait pas trop quoi penser lorsqu'elle devient servante de Josette... Barnaba quant à lui paraît attachant et passionné au début, il montre son amour à Angélique, et sans réelle raison, tourne sa veste... Ce revirement de situation, qui explique la radicalisation d'Angélique dans la magie noire, est mal géré à mon goût.

Bref, même si je n'ai pas été totalement convaincue, je dois dire que l'ambiance générale est assez bien plantée, l'univers vaudou oppressant et mystérieux, et certains trouveront leur compte dans les débuts de la romance torturée entre Angélique et Barnabas. L'écriture est fluide et agréable, on ressent à travers la plume de Lara Parker les émotions des personnages, et on perçoit bien les odeurs et les images de la Martinique. Je pense que le film ne suit pas l'intrigue de ce premier tome, mais s'inspire plus directement de la partie années 1970 de l'histoire, ici juste évoquée au fil du récit.
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Avec une accroche telle « l'histoire qui a inspiré Tim Burton », je ne pouvais pas passer à côté de ce roman. Ce n'est ni le maquillage, ni les décors, ni le jeu de ses acteurs excentriques qui m'attirent dans l'univers burtonien, mais bien les grandes aventures à la fois gothiques et romantiques de ses personnages.

Alors qu'en est-il de l'histoire qui a inspiré le film Dark Shadows ?

L'atmosphère crée par Lara Parker est consciemment plus sombre et moins fantasque que celle de Tim Burton. Loin de m'en étonner, j'ai été totalement conquise par cette histoire qui mélange fantastique, historique et romance.

Premier point à notifier, Lara Parker était l'actrice qui jouait le personnage d'Angélique dans la série Dark Shadows diffusée dès 1967. Si j'ignore ce que vaut son jeu de comédien, je peux en revanche affirmer qu'elle est un très bon écrivain. Son style est plein de finesse, très bien adapté à l'époque qu'elle décrit. Les dialogues retranscrivent très bien la classe sociale à laquelle appartiennent les personnages (notables, esclaves,…). Elle a une écriture littéraire maitrisée et fluide.

Le livre s'ouvre sur Barnabas, un vampire fraichement redevenu humain. Il est parvenu à rompre une malédiction vieille de plusieurs siècles avec l'aide de Julia, jeune femme riche qu'il prévoit d'épouser. Il nous apprend l'existence d'une certaine Angélique, qu'il semble haïr au plus haut point… et du coup nous aussi !

Sauf que très vite, le roman se centre sur l'intrigue principale, à savoir la vie de la dite Angélique. Et quand on connaît son histoire, on se demande : je suis sensée détester qui ? Entre le point de vue de Barnabas et celui d'Angélique, on ne sait plus qui est la victime dans toute cette affaire. C'est frustrant, mais j'aime beaucoup !

Ce qui a le plus retenu mon attention dans ce roman est l'aspect historique. En effet, Angélique est une jeune martiniquaise, née d'une mère métisse et d'un riche propriétaire blanc. Elle est utilisée par son père pour contenir la colère des esclaves en la faisant passer pour une déesse vaudou. A travers sa vie, on découvre donc aussi celle des esclaves de Martinique, la façon dont ils étaient traités, leur non-place dans leur île occidentalisée et christianisée. Nous avons aussi le droit à une romance absolument tragique. Elle tient une grande place dans la deuxième partie de l'histoire qui m'a moins passionnée que la première partie.

J'ai malheureusement mis trop peu de temps à le lire. J'ai regretté de l'avoir terminé. D'abord ,parce que pendant que je lisais, je ne révisais pas mes partiels (addiction quand tu nous tiens ….). Mais aussi parce que, du coup, je n'ai plus rien à me mettre sous la dent avant la sortie de la suite. Celle-ci n'est pas nécessaire dans le sens où l'histoire m'a plu telle quelle. En revanche, j'ai hâte de pouvoir retrouver ces personnages auxquels je me suis terriblement attachée !
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Dark Shadows est une très belle découverte. On est vraiment loin des romans bit-lit et c'est tant mieux. L'atmosphère m'a souvent rappelé Entretien avec un vampire (pour l'époque et son côté malédiction) avec en plus de la magie et du vaudou.

Le roman mélange deux époques. Il s'ouvre en 1971 sur celle de Barnabas, ancien vampire guéri par Julia, son médecin personnel. Hanté par son passé et en proie à des cauchemars, il retourne sur les lieux de son ancienne demeure dans laquelle est découvert le journal intime d'Angélique, la sorcière à l'origine de sa malédiction. Avec la lecture de ce cahier, l'auteure nous entraîne au XVIIIème siècle en Martinique. Angélique grandit avec sa mère (une guérisseuse métisse) jusqu'à ce qu'elle soit confiée à 10 ans à son père (un propriétaire terrien) dans l'espoir de lui apporter une vie meilleure. Mais très vite, il utilise sa fille et l'a fait passer pour une déesse aux yeux de ses esclaves. Elle se retrouve obligée de participer à des cérémonies vaudou et à des sacrifices. Son enfance, baignée dans la sorcellerie, réveille rapidement ses pouvoirs pour invoquer les esprits et ses aptitudes pour le vaudou.

J'ai vraiment passé un bon moment avec ce premier tome de Dark Shadows. L'écriture de Lara Parker est pleine de finesse, pas toujours facile mais d'une grande fluidité. La malédiction d'Angélique est une belle surprise car je ne m'attendais pas à un roman misant autant sur les sentiments : rancoeur, remord, compassion, haine, jalousie, amour, passion, mépris, amertume, résignation…Les personnages sont riches et eveillent l'empathie du lecteur. On se laisse vite prendre dans le tourbillon des émotions passant de la haine à l'amour d'un personnage à l'autre.

Lara Parker a très bien construit son roman en mêlant le passé et le présent.....La suite sur ma page :-)
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C'est en 1998 que Lara Parker, actrice jouant Angélique dans la série télévisée Dark Shadows, décide de nous conter la genèse de son personnage. le roman, paru sous le nom « Dark Shadows : Angélique's Descent » ne sortira donc que 14 ans plus tard en France aux éditions Michel Lafon, surement décidée suite à la sortie du film « Dark Shadows » de Tim Burton. Ainsi, il ne faut pas faire de rapprochement entre le film et ce livre, ni avec la série d'ailleurs. Cela tombe bien, je ne les ai pas vus et c'est donc avec une totale ignorance que je me suis lancé dans la lecture de ce livre gentiment offert par Babelio et les éditions Michel Lafon que je remercie grandement encore une fois.

L'auteur nous raconte ainsi l'histoire d'une fille des îles de son enfance à son mariage avec Barnabas, personnage principal de la série. On y découvre comment celle-ci est devenue ce qu'elle est dans la série originale et on se prend volontiers au jeu de la compassion alors que je suppose qu'elle était vue comme la méchante dans la série. Surement une envie de l'actrice de donner un peu plus d'humanité à son rôle et c'est très réussi !

Ainsi direction la Martinique, au pied de la montagne pelée pour une aventure folle au coeur du XVIIIe, au coeur d'une époque d'esclavage. La pauvre fille n'est ici qu'une victime. Tout d'abord victime d'un individu se faisant passer pour son père où elle deviendra une déesse vaudou très appréciée des esclaves, une aventure très sombre qui l'initiera à la sorcellerie. Puis nous assistons à son évasion, à sa rencontre avec Barnabas, à sa formation en tant que Sorcière, à ses aventures comme femme de chambre puis son arrivée à Collinwood.

L'histoire ne manque pas d'aventure et de découverte : Voyage dans les îles, vampire, rite vaudou, esclavage, amour impossible... Bref ce livre rassemble tous les ingrédients pour créer une histoire réussie et passionnante.

Et pourtant ! On se retrouve avec une histoire d'une longueur qui n'en finit pas, des scènes qui se répètent sans fin, sans apporter plus. Je pense surtout au passage où Angélique est une déesse, c'est long trop long et on est à deux doigts de lâcher la lecture. Heureusement que la suite est plus fluide et plus rapide et que les rebondissements via le duel Josette/Angélique se font sentir !

De plus, cette histoire est en parallèle avec l'histoire de Barnabas au XXe siècle, un Barnabas qui lit le journal intime d'Angélique. Une histoire parallèle qui pour moi est totalement inutile mais je suppose que cela sert à faire un lien avec le tome 2 mais aussi avec la série. Seulement voilà, dans ce livre, ça n'apporte rien et c'est bien dommage.

En conclusion, je dirais donc que ce livre est assez inégal, tantôt trop long, tantôt passionnant, il faudra tout de même attendre la moitié du livre pour vraiment apprécier l'histoire. le second tome « The Salem Branch » paru en 2006 outre Atlantique devrait, je suppose, sortir en France si ce premier tome se vend bien et je me laisserai peut être prendre à la lecture de cette suite qui s'annonce bien plus captivante.
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J'ai adoré ce roman tous les ingrédients y sont réunis pour passer de bons moments, j'ai hâte de lire la suite
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Avec une entête telle que « l'histoire qui a inspiré Tim Burton », je ne pouvais pas passer à côté de ce roman.
Je ne suis pas déçue bien au contraire, l'histoire est prenante et fantastique, triste certes et un peu longue sur l'enfance d'angélique, mais nécessaire pour expliquer le pourquoi de ses actes. C'est avant tout une histoire d'amour tragique, bien avant d'être une histoire de vampire.
Une malédiction jetée par angélique sorcière vaudou sur la personne de Barnabas, va servir de vengeance à son amour et sa confiance bafouée par celui-ci!
Perso, je pense qu'il ne la pas volée!!!! ;-)
vite ce soir je commence le tome 2 réminiscences.
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Après avoir visionner la superbe adaptation de Tim Burton , il faut dire que j'adore le duo Burton/Depp, une "copinette" m'a gentiment prêté le livre.
Pourtant je ne lis rarement après avoir vu l'adaptation, mais le contraire, et bien cela confirme mon idée. Je suis trop influencée par le film pour apprécier le livre, je n'ai pas retrouvé la poésie et la magie auxquelles je m'attendais.

Bon roman mais pas le coup de coeur.
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Passée la première surprise vis-à-vis de l'intrigue (je ne m'attendais pas à ce que l'on remonte ainsi dans le temps), j'ai aimé l'idée de savoir comment la méchante de l'histoire en était arrivée à tant de noirceur, comment elle avait évolué. Il est toujours appréciable de se plonger dans le passé d'un « méchant » et d'essayer de le comprendre.

Lara Parker a su donner à ce roman une atmosphère assez particulière, très sombre. Ce roman a une forte dimension mystique, la magie est très présente, on passe beaucoup de temps avec la sorcellerie vaudou. Si j'ai apprécié cette atmosphère, cette noirceur, j'ai tout de même trouvé que l'initiation au vaudou était trop longue, et ma lecture de cette première partie a parfois été un peu lablorieuse.

En revanche, j'ai davantage aimé la seconde partie du roman, lors de laquelle Angélique fait la connaissance de Barnabas. On voit naître en elle l'amour, on ressent avec violence la jalousie et le sentiment de trahison qui en résultent. Lara Parker nous présente ainsi une femme prête à tout par amour, face à un homme insouciant et léger.

Bien qu'ayant globalement adhéré à cette histoire, j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages. le personnage d'Angélique est assez fouillé, l'auteur développe sa psychologie. Lara Parker essaie de nous montrer comment Angélique est devenue mauvaise suite à une enfance malheureuse et des amours inassouvis. Néanmoins, si elle souffre, ses réactions lui appartiennent, et ces dernières sont parfois détestables. J'ai ressenti alternativement de la pitié et du dégoût envers ce personnage.

Quant à Barnabas, son personnage n'a pas beaucoup d'épaisseur, et il n'est pas très plaisant lui non plus. Seul son amour pur pour sa fiancée Josette lui permet de trouver quelque peu grâce à mes yeux. Mais il est d'un égoïsme très prononcé, et sa manière de toujours rejeter les torts sur Angélique m'a un peu agacée. Finalement, le personnage le plus attachant de ce roman, c'est Césaire, un esclave affranchi qui vient en aide à Angélique lorsqu'elle est adolescente.

Ce roman est bien écrit, bien que le style soit parfois un peu vieillot. Mais cet aspect « ancien » participe à l'atmosphère bien particulière du roman. Au final, l'auteur écrit d'une manière particulière, mais agréable, j'ai aimé ce style.

Pour résumer, j'ai bien aimé l'idée de ce « retour aux origines », de découvrir pourquoi la relation entre Barnabas et Angélique avait si mal tourné, débouchant sur une malédiction. L'auteur a réussi à donner une atmosphère particulière et inquiétante à ce livre. Néanmoins, la lecture en a été un peu laborieuse pour moi, du fait de personnages peu attachants et d'un passage dédié à la sorcellerie vaudou un peu trop long. Je suis pourtant suffisamment curieuse pour avoir envie de découvrir la suite.
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Voici venu un moment redouté par les blogueurs : chroniquer un livre envoyé par l'éditeur, alors qu'au final on n'a pas aimé ce livre. Bon, finalement, j'ai fait le plus dur dans mon entrée en matière, pas de suspense donc, ce livre ne restera pas dans les titres marquants de l'année 2012 pour moi.
Ça avait pourtant pas mal commencé : j'ai plutôt apprécié le début de l'histoire, surtout grâce à l'ambiance un peu mystérieuse et aux descriptions de la Martinique et des conditions de vie des esclaves. le culte qui entoure Angélique donne envie d'en savoir plus, et c'est là que ça va se gâter ; alors que la couverture nous appâte à renforts de dents de vampire et de poupée vaudou, toute la partie qui aurait dû développer l'apprentissage de la sorcellerie et du vaudou par Angélique est complètement zappée, sous le prétexte que ce passage de son journal intime est brûlé. Est-ce que l'auteure ne se sentait pas capable de décrire des rituels sanglants ? Bien possible, parce qu'après cette ellipse, Angélique est devenue une jeune femme, et on découvre son histoire d'amour avec Barnabas, et l'auteure semble plus dans son élément dans la partie "romantique" de l'histoire. Sauf que moi, lectrice alléchée par la référence au film Dark Shadows et pensant donc lire un roman fantastique ou d'épouvante, je m'ennuie carrément. C'est bavard, ça raconte 18 fois la même chose (à savoir que jamais, non, jamais, Angélique ne renoncera à son amour pour Barnabas, qui est tellement puissant et blablabla), ça se répète sur 200 pages, ça n'avance pas, ça délaye, ça touille, ça en rajoute encore une louche, pff, ça en devient vraiment pénible. La psychologie des personnages n'est pas assez développée, il n'y a pas d'action non plus, bref, un peu une impression d'arnaque par rapport à la façon dont est présenté le roman, puisqu'on s'attend à lire quelque chose de sombre et que ça n'est pas le cas. D'ailleurs, seul le début du résumé concerne réellement ce tome, et raconte d'ailleurs l'intégralité de l'intrigue, c'est dommage et induit le lecteur en erreur.
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Dark Shadows a été remis au goût du jour par Tim Burton, mais avant ça, c'est une série extrêmement connue aux États-Unis. Diffusées de 1966 à 1971, les mésaventures de la famille Collins ont passionné les Américains pendant 1225 épisodes et font encore régulièrement l'objet de rétrospections ou de conventions.
L'auteur du roman, Lara Parker, est en réalité l'actrice qui interprétait le rôle d'Angélique, la sorcière ayant transformé Barnabas en vampire.

Mais qu'en est-il du roman ? Malgré quelques appréhensions après avoir appris que le roman avait été écrit par l'interprète du rôle d'Angélique, le livre est en fait très bien écrit, malgré quelques descriptions un peu trop fleuries et même si on sent peut-être un peu trop que l'actrice défend son personnage. On nous présente une Angélique douce, mais avec un caractère affirmé et un courage qui va lui permettre de surmonter des épreuves terribles, épreuves douloureuses qui justifieront ce qu'elle est devenu. D'accord, elle a été malheureuse, c'est triste, mais quel besoin de légitimer un personnage méchant ? Moi j'aime les vrais salauds, qui sont démoniaques juste pour le plaisir.

Le récit est extrêmement riche. En moins de 500 pages, Lara Parker retrace toute la vie d'Angélique, de son enfance en Martinique à sa mort en Angleterre, en passant par sa rencontre avec Barnabas et son arrivée sur le sol britannique. Il est question de magie, de hasard de la vie, de rencontre, d'amour, de trahison et de mort. Parallèlement, on suit aussi Barnabas dans le présent (enfin façon de parler puisqu'on n'est pas au 20e siècle...) avec Julia, ses déboires personnels et ses soucis avec ses héritiers. Ce récit-là par contre est bâclé et présente des personnages lâches, faibles et sans intérêt, comme ses intermèdes, d'une manière générale.

L'histoire d'Angélique est vraiment captivante, mais pas passionnante. La faute à une narration sans sentiment, sans émotion. Il arrive énormément de choses à notre héroïne, des choses tristes pour la plupart, mais je ne me suis jamais sentie désolée pour elle. de même, le lecteur est complètement extérieur à la descente au enfer de la jeune fille. Je n'ai pas compris si elle avait souffert ou si elle avait vraiment méchante. du coup, la lecture en était vraiment laborieuse et je n'avais qu'une hâte : que ça se finisse !
C'est vraiment dommage car il y avait pourtant des éléments sympas.
Lien : http://biblio-steph.over-blo..
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